Le blog de kamasoutra
Un de mes collègues se vanta un jour à la cantine d’avoir une femme médecin super canon. Je fus évidemment intéressé d’en savoir plus. Discrètement je le questionnai à son propos et je réussis à lui faire avouer l’adresse de son cabinet. Le lendemain je prenais rendez-vous pour la consulter m’inventant une crise hémorroïdaire.
Il y avait plusieurs personnes avant moi dans la salle d’attente, j’eus donc la possibilité de l’apercevoir avant qu’elle ne me fasse pénétrer dans son cabinet. Mon
collègue n’avait pas menti, elle était classe, vraiment bien foutue, une superbe blonde à lunettes l’air intellectuelle, vraiment excitante. Ne me connaissant pas parmi ses patients, je lui
expliquai que j’étais à Nancy depuis quelques mois seulement. Je l’informai sur mon souci, et elle me posa quelques questions personnelles, m’invita à me déshabiller et me fit d’abord une
auscultation classique avec stéthoscope et prise de tension. Je savourai la douceur de ses mains sur ma peau, et humai son parfum délicat, qui excita mes sens. Discrètement je l’observai à la
dérobée et appréciai ses charmes. Je l’imaginai nue devant moi me provocant avec son corps de déesse.Venant au fait de ma problème, elle m’interrogea sur mes
pratiques sexuelles, bien sur je lui dis la vérité sur mes nombreuses conquêtes féminines, sur les trios avec des couples que j’avais eu le bonheur de pratiquer, mais je mentis et m’inventai
quelques relations physiques avec des hommes. Elle s’inquiéta de savoir je me protégeai bien. Je la rassurai.
Elle me demanda alors d’enlever mon slip
pour me faire une inspection complète. Elle avait mis des gants de protection en vinyle, mais malgré tout j’eus vite une belle érection. Je ne résiste pas quand une femme me tripote les couilles
et me touche la verge, médecin ou pas, une belle femme me fait bander, et là plus que jamais j’avais envie de lui montrer l’effet qu’elle me faisait. Devant mon attirail déployé, elle me fit ce
commentaire : je comprends que vos aventures soient si nombreuses, mais je me retins de lui répondre même si j’en avais très envie : " prenez la
queue. "
Elle me donna l’impression d’apprécier mon petit jeu, alors je décidai de la provoquer au maximum, c’est elle qui avait la position
dominante, moi j’étais obéissant. Les hommes sont très pudiques avec les femmes médecins c’est ce que m’avait raconté Marianne un toubib rencontrée sur internet. Elle me demanda ensuite de monter sur sa table, de m’accroupir et de pencher le corps en avant afin de pouvoir inspecter mon anus. J’offrais mes fesses bien écartées à sa vue,
avec en prime les couilles pendantes. J’avais l’impression de faire ma prière, et je me disais : doigte moi, fais moi jouir. Je l’imaginais excitée matant mon cul et mon sexe à l’abri de mon
regard. Elle m’indiqua qu’elle allait me faire un toucher rectal m’enfiler un doigt dans l’anus pour tâter d’éventuelles hémorroïdes et qu’elle en profitera
pour inspecter ma prostate. Cela peut être douloureux, m’avertit-telle. Bien sur je savais ce qui m’attendait, j’en étais ravi, j’en palpitais de plaisir et mon anus se dilatait d’avance.
Âpres avoir enduit son doigt d'un gel, j’eus le bonheur de le sentir me pénétrer avec douceur, j’avais le feu aux joues tellement elle me faisait de l’effet. Mon
cul n’offrait aucune résistance à son doigt glissant en moi avec agilité. Par moments je sursautai et gémissais feignant une petite douleur que je lui localisai à l’entrée de l’anus, elle repassa
plusieurs fois son doigt cherchant vainement quelque chose. Ma tige se redressa sous l’effet de ses caresses anales. J’avais le feu aux joues, le cul en feu, je me retenais pour ne pas me
trémousser. J’appréciai chaque toucher comme une caresse, chaque pénétration comme une jouissance. Je ne me retenais pas de lui montrer le plaisir de ses attouchements, ce qui lui laissa paraître
un regard coquin et amusé.
Elle me demanda alors si j’avais mal quand je me faisais enfiler, je lui répondis que je n’avais encore jamais essayé, je
sentis une gêne de sa part et je la vis même rougir en s’excusant d’avoir mal interprété mes propos. Elle ne me trouva que quelques rougeurs à l’orifice de mon anus, j’avais juste un peu abusé
quelques heures avant la consultation du vibro de ma copine, il fallait bien que je justifie mes douleurs par du visible. En tout cas voila une bonne idée pour se faire tripoter les parties et
vivre un moment excitant.
Depuis Isabelle est devenu mon médecin personnel, je lui suis resté fidèle comme patient plusieurs années jusqu’à ce qu’elle décide de partir vivre dans le sud. Je raconterai une autre fois dans quelles circonstances j’ai eu le bonheur de jouir avec elle.