Jeudi 28 août 4 28 /08 /Août 12:25

La plage est l’endroit idéal pour réaliser les fantasmes d’exhibition, mais aussi satisfaire les plaisirs des sens en plein air. Pascale et moi aimons nous exhiber nus et faire l’amour à la sauvette, surtout si nous savons que des regards indiscrets peuvent nous observer pendants ces moments de jouissance.

Nous étions allongés sous un parasol sur une plage isolée et tranquille à quelques km au sud de Mimizan. On pouvait y faire du naturisme sans risque d’offusquer quelques culs-bénits avec leur marmaille. Ceux qui fréquentaient cet endroit étaient des personnes averties à la recherche de sensations et d’excitations. Ils ne se trouvaient pas là par hasard.

Et en cette journée de semaine de juin, c’était calme, la plage était déserte. Nous profitions lascivement du soleil, bercés par le flux et le reflux de l’océan. Pascale était couchée sur mon ventre, d’une main elle me branlait avec douceur, de l’autre elle me caressait les couilles. De temps en temps elle sentait ma verge se ramollir sous l’effet de la chaleur alors sa bouche aspirait mon gland, le suçait délicatement, sa langue se promenait le long de ma tige en la titillant ce qui me provoquait inévitablement des soupirs de plaisir. Elle connaissait mon corps par cœur et toutes mes zones sensibles.
Je me laissais faire savourant ses douceurs, je maintenais son sextoy dans la chatte, caressais son clito, enfilais mon pouce dans son cul, ou je lui caressais les fesses et les seins en alternance. De temps en temps je jetais un œil aux alentours pour éviter une rencontre indésirable.
Nous inversions les rôles assez fréquemment et là je m’installais entre ses cuisses, lui léchais sa moule et la faisais jouir avec son gode. Pascale aimait crier son plaisir sans retenue surtout pour m’encourager et diriger mes actions. Ses gémissements se mêlaient aux cris des mouettes, qui nous survolaient en rase motte.
Il arrivait de temps en temps qu’un homme seul à pied ou à vélo passe à proximité de nous, ce n’était jamais par hasard. Ils venaient mater les couples isolés, certains même tentaient leur chance montrant leur queue raide à notre proximité espérant une invitation à participer à notre plaisir. Mais nous les voyions toujours arriver de loin et nous avions le temps de reprendre une position décente : alors je la prenais par derrière allongés sur le coté comme deux amoureux tendrement et sagement enlacés.

Ce jour-là nous avions pris notre place habituelle, la plage semblait vide. Si quelques avions de chasse de la base aérienne voisine n’avaient pas survolé la plage, nous nous serions cru sur une ile déserte. Nous avions fait l’amour dans toutes sortes de positions sans retenue, quand une envie pressante d’uriner me prit. Comme la mer était très basse, je décidai d’aller me soulager dans la dune la queue encore en semi-érection, et Oh stupeur je découvre un couple installé juste derrière la dune à une dizaine de mètres plus haut que nous. Manifestement ils avaient bénéficié de notre spectacle et s’étaient bien rincés l’œil. Ils s’enfilaient tout en nous matant. Mon passage imprévu à quelques mètres d’eux ne les dérangea pas et ils continuèrent leurs ébats comme s’ils ne m’avaient pas vu. Sur le moment j’étais un peu fâché d’avoir été surpris si bêtement, mais quand je repassai devant eux ma bonne humeur et mon excitation revinrent. La voir à quatre pattes chatte ouverte et luisante au soleil en train de sucer son homme avec ardeur me donna envie de la prendre en levrette. Peut-être étais-ce une invitation à mon égard, car ils n’avaient pas cette position indécente à mon premier passage. Pendant quelques secondes j’ai cru que j’allais céder à la tentation.

Finalement je me retins et allai raconter super excité la scène à Pascale, qui était surexcitée par mes détails. Je lui défonçai la chatte et la sodomisai nos regards tournés dans leur direction. De temps en temps on voyait leurs têtes se soulever, nous matant et comme nous se prendre en levrette.


Le lendemain, Julien et Carole nous demandèrent pour s’installer à quelques mètres de nous. Nous fîmes connaissance nous racontant nos expériences libertines.. Ils nous remercièrent pour le spectacle offert la veille et nous proposèrent de faire l’amour devant nous en compensation. Ce fut notre tour de les mater tout en surveillant les alentours. Julien nous proposa même de les filmer avec leur caméra.

 

Après cette séance érotique, je remarquai que Pascale était excitée comme une petite puce, cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vue aussi excitée. Ses yeux pétillaient de désir pour Carole. Nos femmes tendrement lovées contre nous se lançaient des regards d’envie et d’invitation. C’est Carole qui provoqua les …. en invitant Pascale à se baigner avec elle. Ma chérie accepta avec joie et elles s éloignèrent se tenant enlacées.

- Pascale est bi ? me demanda Julien
- Oui bien sur, avec les femmes qui lui plaisent, et Carole la fait mouiller je l’ai remarqué.
- Carole aime prendre les initiatives, fais moi confiance.
Arrivées dans l’eau elles s’arrosèrent et très vite Carole enlaça Pascale et l’embrassa. Elles se roulèrent dans le sable mouillé. Pascale se laissait faire, offrait son corps à Carole, qui en profitait.

 

Nous étions allongés cote à cote à regarder ce spectacle touchant, cela m’avait donné une érection, qui ne laissa pas insensible Julien. Je le vis lorgner sur mon sexe avec envie, il allongea la main pour le caresser. Comme je ne dis rien, il le prit en bouche et me suça.

Quand nos chéries revinrent vers nous heureuses et rayonnantes, Carole nous proposa un petit jeu.
- Concours de pipe et de branlette dit-elle ajoutant
- Je règle une alarme pour dans environ dix minutes, en attendant Pascale et moi nous  vous suçons  et nous vous branlons . Interdit de jouir avant la sonnerie. Quand l’alarme sonne le premier homme qui gicle a gagné . Le couple perdant a un gage.
Excité par la pipe de Julien je gagnai le jeu d’un superbe jet, j’étais un peu avantagé car Julien avait joui un peu plus tôt devant nous avec Carole. Je me sentis soulagé d’avoir gagné car je craignais d’avoir un gage épicé de la part de Julien et Carole que je devinais plutôt pervers. Je me contentai de demander à Carole de venir me caresser le corps avec mon sperme. Bien sur elle ne se contenta pas de cela. Elle me montra ses talents de suceuse, redonna vigueur à ma bite qu’elle enfourcha en Andromaque se déhanchant sensuellement sur moi pendant que nous regardions Pascale finir Julien, qui résistait à sa masturbation et à ses succions. Ma chérie finit par le faire jouir bruyamment, elle récupéra son jus dans la paume de la main et lui fit avaler et lécher jusqu’à la dernière goutte. Je me doutais de cela ayant déjà subi cela de la part de Pascale.

 

Les jours qui suivirent furent moins osés, c’était le week-end et la plage retrouva son animation habituelle. Nous furent beaucoup plus discrets mais nous continuâmes malgré tout à faire l’amour sur la plage à l’insu des autres vacanciers.

Par kamasoutra
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