Mercredi 3 décembre 3 03 /12 /Déc 16:39

J’avais promis de vous raconter la suite de mes aventures avec Isabelle mon médecin. Vous vous souvenez celle, qui m’avait fait le plaisir de me doigter.

Pour ceux qui n’ont pas lu : Doigté par une femme médecin

Quelques semaines après, je la rencontre tout simplement en boite accompagnée de son mari et d’un groupe d’amis dans lequel j’ai un copain. Cela me permet de m’intégrer à eux. Bien sur elle me reconnait et nous bavardons longuement dans la soirée.

Je profitai de l’occasion pour l’inviter à danser un slow, elle accepta. Ce moment d’intimité noyé au milieu des couples serrés les uns contre les autres sur la piste me permit d’aller à la découverte de son corps. Elle ne refusa pas mes caresses, bien au contraire excitée par l’alcool et par la situation j’eus l’impression qu’elle allait au devant d’elles. Le désir était réciproque. Ce slow devint de plus en plus chaud, ma bite dure frottait contre sa chatte excitée, ses seins se soulevaient contre mon torse, mes mains prenaient possession de ses fesses fermes et rondes, que je pétrissais avec bonheur. Sa robe était si légère et si fine que j’avais l’impression de la caresser à même la peau.

Rompant le charme de nos excitations Isabelle me demanda des nouvelles de mes hémorroïdes, je lui avouai alors que j’étais venu la consulter par jeu simplement pour le plaisir de m’exhiber devant elle et de me faire doigter. Je sentis à son regard vicieux qu’elle ruminait une vengeance, et elle ajouta.

- Puisque tu aimes les jeux érotiques, prends donc rendez-vous à mon cabinet pour jeudi 19h, je te réserverai une petite surprise.

 

 

Quand j’arrivai dans la salle d’attente deux personnes patientaient. Après avoir attendu une bonne heure, j’entrai enfin dans son cabinet, émoustillé comme un jeune puceau à l’idée de sauter le pas. J’avais eu le temps de faire monter ma pression interne rêvant de milles folies avec les superbes mannequins vus sur les quelques revues de mode féminines, que j’avais feuilleté fébrilement pour patienter. Ces beautés diaphanes avaient eu le temps de me chauffer.

Quand elle me fit entrer, je remarquai qu’elle avait changé de tenue par rapport aux patients précédents. Une fois de plus elle était habillée de manière sexy et provocante. Elle avait troqué son pantalon pour une robe boutonnée sur le devant ne demandant qu’à s’ouvrir et à montrer une chair excitante.

 

Elle m’ausculta de nouveau comme si on ne se connaissait pas, me demanda de me déshabiller, de m’allonger nu sur sa table basse et de me relaxer. Je fermai les yeux et essayai de me détendre. Elle en profita pour me bander les yeux, m’attacher les mains et les pieds aux montants de la table. Docile je me laissai faire essayant de deviner ses intentions et savourant l’excitation qui montait en moi. Je la sentis écarter mes fesses.

- Ne bouge pas pendant que je te prends la température me dit-elle puisque tu aimes être doigté cela ne doit pas t’être désagréable.

Et elle enfonça un thermomètre glacé au plus profond de mon anus.

 

 

Puis ses mains expertes pendant de longues minutes massèrent mon corps avec douceur évitant mes parties sensibles. Ce massage relaxant et sensuel permit de me détendre totalement. C’est un bruit de frottement de vêtements qui me sortit de ma rêverie. Je l’imaginai se dévêtir et se caresser devant mon corps nu allongé. Puis elle enleva mon bandeau et le remplaça sur ma figure par sa culotte chaude et humide chargée d’odeurs, me masquant partiellement la vue. Elle déboutonna entièrement sa robe laissant entrevoir une poitrine ferme, porte-jarretelles et bas blancs mettant en valeur une touffe châtain fournie. Je respirais profondément savourant les odeurs épicées de sa petite culotte. A travers la dentelle je l’aperçus se dandiner sensuellement vêtue uniquement de ses bas stay-up blancs, qui galbaient à merveille ses cuisses.

Elle mesura la taille de mon sexe avec son mètre roulant.

- 18cm de long, 4.5cm de diamètre pas mal me dit-elle.

Puis elle sortit son Canon et me prit en photo sous différents angles et fit des gros plans sur mon sexe, qui se dressait fièrement turgescent.

 

Puis elle se pencha pour fouiller dans un tiroir du bureau m’offrant une vue superbe sur son cul bien rond et sur la fente de sa chatte. Elle sortit quelques ustensiles du tiroir qu’elle posa sur mon corps : martinet, pince à linge, sextoy, rasoir.

- Je préfère les corps lisses, je vais te raser complètement me dit-elle.

Elle me savonna le corps et les cuisses et se mit à jouer du rasoir. Au bout de quelques minutes elle s’attaqua à mon sexe et à mes couilles, là j’étais moins serein. Je me raidis quand elle prit ma tige en main. Elle donnait des coups de rasoirs rapides, je craignais la coupure à tout moment. Mais non , tout se passa bien.

Mon rasage terminé je l’entendis uriner d’un jet puissant et bruyant dans le bidet situé derrière moi.

- Tu es mon dernier patient de la journée, j’espère que tu n’as pas prévu de rdv pour la soirée, car tu es à moi pour la nuit.

Elle retira la petite culotte et elle s’installa à califourchon sur mon visage. Alors que je sentis les lèvres mouillées de sa chatte sur ma bouche, je flairai une odeur d’urine, qui peu à peu se dissipa sous ses frottements sur ma bouche.

Ma figure était prisonnière de ses cuisses qui m’enserraient et m’étouffaient. Elle s’agita avec frénésie sur moi se masturbant sur ma bouche et sur mon nez sans se préoccuper de moi. Ma langue n’hésita pas à lécher profondément sa chatte et son trou du cul. J’étais son jouet sexuel, j’acceptai le jeu avec plaisir. J’avais du mal à respirer mais je savourai ce mélange d’odeurs subtiles pendant que les poils de sa touffe me chatouillaient les narines. Elle pendant ce temps prenait appui sur ma verge dure et mes couilles, qu’elle saisissait à deux mains, de temps en temps elle la lapait, la lèchait, la suçait, l’aspirait, la secouait, la branlait. Ma bite était malmenée. J’étais à la limite de la jouissance complètement à la merci de ses agissements et dut lui crier.

- Arrête, je vais jouir

Alors elle se redressa, se saisit du martinet et me donna des coups appuyés sur la verge, les couilles, le bas-ventre et les cuisses pour me punir de ma faiblesse. Je me cabrai sous la douleur surpris.

- Retiens toi il est trop tôt pour juter, ce sera quand je te le dirai.

Et elle sortit de son frigidaire quelques glaçons, qu’elle promena sur toutes les parties de mon corps. La encore la surprise et le contact glacé me firent me contorsionner, elle continua jusqu’à ce que je m’arrêtai de bouger.

M’ayant bien glacé le corps elle prit le sextoy qu’elle pénétra dans sa chatte et après quelques minutes de masturbation me le fit lécher et sucer comme si c’était une bite avant de me l’enfiler dans le cul sans ménagement.

- Il parait que c’est bon de se faire enfiler l’anus ironisa-t-elle. J’acceptai l’engin sans broncher poussant pour qu’il pénètre mieux. Une fois en place, elle mit la vibration au maximum tout en le faisant coulisser. Elle prenait plaisir à me sodomiser. Moi aussi je jouissais de ses gestes et lui fit savoir par mes gémissements.

 

Cette brutale pénétration anale me chauffa le bas-ventre et redonna vigueur à mon membre, qu’elle équipa d’une capote avant de s’empaler dessus. Isabelle s’agitait sur moi et donnait des violents coups de reins, elle dirigeait les opérations avec vigueur, j’étais toujours attaché je ne pouvais donc peu bouger juste donner des ondulations pour aller à la rencontre de sa chatte en folie. J’avais toujours son sextoy qui me vibrait dans les fesses ce qui limitait mes gestes.

A force de me retenir de jouir, j’eus toutes les peines du monde à éjaculer quand elle me le demanda, heureusement mon érection restait intacte. Alors Isabelle se mit à rejouer du martinet sur mes cuisses telle une jockeytte montant son étalon et le menant au plaisir. Ses agissements et ses gémissements accentués me provoquèrent un sursaut de vitalité et je finis par trouver une superbe jouissance ponctuée d’un grognement sourd témoin de mon plaisir accompli.

Après avoir repris son souffle et récupéré le précieux contenu de la capote, elle se mit à lécher avidement mon sexe, à le pomper avec vigueur et à l’aspirer goulument pour en extraire les dernières précieuses gouttes de jus.

 

 

Elle pesa le contenu de la capote :

- 3.8g de sperme me dit-elle. Je fais des statistiques sur les performances masculines.

En tout cas cela va ravir une de mes copines lesbiennes qui veut un enfant, je lui mettrai moi-même ta semence dans la chatte. C’est demain son jour d’ovulation.

Tu seras l’heureux géniteur d’une lesbienne sans l’avoir baisée. Je te rassure elle n’est pas de la région, et tu ne la connais pas. Je n’ai jamais su si elle avait dit vrai ou si elle avait bluffé.

 

Elle m’emmena finir la nuit dans son lit, où je retrouvai une liberté de mouvement pour la faire jouir à son tour. Je lui défonçai le cul sans ménagement et au petit matin elle eut droit à une belle giclée chaude dans la gorge pour le petit déjeuner.

 

Par kamasoutra
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