Vendredi 19 décembre 5 19 /12 /Déc 19:17

Je ne sais pas Messieurs, s’il vous est déjà arrivé  d’avoir envie d’une femme moche et âgée. J’ai vécu cette expérience avec Odette une veuve de 65ans, dont j’avais fait la connaissance grâce à un banal dialogue sur minitel. Comme elle habitait dans les environs de Nancy comme moi, elle m’avait invité à venir boire une bière chez elle tout en me prévenant que ce n’était pas son genre de faire l’amour avec le premier venu. Sa voix sensuelle et un brin salope m’avait incité à accepter le défi. J’avais surtout envie de me défouler sexuellement avec une vieille cochonne.

 

  Tout de suite je me rendis compte que j’avais devant moi une vieille salope en manque de sexe. Ce n’était pas mon cas au contraire et à cette époque là les occasions sensuelles ne me manquaient pas. J’avais 45a soit presque 20ans de moins qu’elle. Odette me dévisageait et me dévorait des yeux derrière ses lunettes. Elle se trémoussait sur son siège cachant mal son agitation. Elle n’était pas bandante, mais elle avait quelque chose qui m’excitait et me donnait envie de la prendre sauvagement. Elle avait du avoir du charme plus jeune, et être un bon coup sexuellement. Il lui restait un œil pétillant exprimant ses envies sexuelles. J'eus envie d'en savoir plus sur elle.

  Quand je revins des WC où j’étais allé soulager une envie pressante après les quelques bières avalées, je me présentai à elle avec le sexe en érection qui sortait de la braguette et je lui dis avec provocation en m’approchant d’elle.
- A mon tour de t’offrir à boire Odette, suce ma queue.

C’était gagné d’avance elle ne demandait que cela cette vieille salope. Déguster une belle queue bien dure et bien juteuse, c’était inespéré pour elle, elle n’attendait que cela cette chienne affamée. Dans ce genre de situation, il faut savoir faire le premier pas et imposer ses envies. Je n’avais rien à perdre, si elle n’était pas d’accord, je la remettais dans ma culotte et je me cassais ni vu ni connu après m’être masturbé devant elle. J’avais prévu plusieurs scenarios possibles. Ses yeux brillèrent derrière ses lunettes. Elle minauda comme une petite pucelle mais prit possession de mon engin sans se faire prier. J’avais affaire à une connaisseuse, elle s'en empara délicatement, l’admira, le caressa, le huma avec sensualité, dégagea mes bourses qu’elle soupesa et me lécha avec gourmandise.

J’avais envie de la prendre avec violence, aller au fond de sa gorge et lui ramoner l’œsophage, elle acceptait mes allées et venues brusques avec soumission.

Je ne me gênais pas de la traiter de vieille salope tout en lui demandant de me sucer plus fort et plus vite. Elle obéissait à toutes mes demandes et était devenue mon jouet. Pendant qu’elle me suçait, j’avais ôté ses lunettes la rendant myope et mes mains avaient déballé ses seins lourds et flétris qui maintenant pendaient le long de son corps ridé. Je lui pinçais les bouts et elle gémissait de plaisir la bouche pleine de ma queue.

 

Puis Pendant que je me masturbais entre ses deux seins elle se dévêtit complètement dégageant sa chatte abondamment poilue d’une touffe poivre et sel. Elle s’allongea sur le canapé jambes écartées m’offrant son corps usé. Les lèvres de sa chatte s’ouvrirent et je pénétrai sans difficulté dans une mer d’huile tellement elle mouillait. Mon sexe ne rencontrait aucune résistance dans cet univers liquide et distendu. Je la basculai pour la prendre en levrette espérant trouver une meilleure position contre ses fesses flasques.

La vue de son petit trou du cul serré me fit envie, alors je décidai de changer d’endroit, tout en la limant de façon régulière je commençai par lui masser l’anus de sa mouille abondante quand je la sentis se contracter du cul.

- Non, pas là fit-elle quand je tentai de lui doigter le petit trou.

- Non pas de sodomie redit-elle.

Cette résistance imprévue aviva mon envie de l’enculer, je la maintins en levrette et alternai mes pénétrations dans sa chatte molle avec des frottements contre la raie de ses fesses. Mais sa porte restait hermétiquement fermée. Je dus ruser en lui pinçant violemment les tétons et lui donnant des clques sur les fesses, ce qui la  détendit. Je la sentis s’ouvrir sous la douleur tout en râlant. Mon bout profita de ce moment d’égarement pour enfiler son petit cul tant désiré. Mais elle se cabra aussitôt pénétrée telle une jeune pouliche refusant sa monture. Je dus pendant quelques minutes la maintenir et la limer en douceur le temps de lui faire accepter ce plaisir inconnu.

Alors je pus m’abandonner et jouir dans ce corps usé et flétri par les ans. Son trou du cul était intact, serré à souhait. Sous la pression ma bite reprit du volume et j’eus l’orgasme violent tant désiré. Ma giclée chaude la fit crier tout en se raidissant. Je la fessai pour qu’elle relâche la contraction sur ma queue et quand je me retirai elle se précipita sur ma bite pour la sucer et gouter mon sperme. Elle était triste et déçue de n’avoir pu apprécier que quelques gouttes de mon jus. Je lui promis de revenir un autre fois avec les couilles pleines pour décharger abondamment dans sa bouche gourmande.

 

Quelques jours plus tard je revins la voir pour tenir ma promesse. Elle était tellement contente de déguster ma liqueur de banane qu’elle me proposa de l’enculer une nouvelle fois. Je ne me gênais pas pour aller au fond de ses reins et la défoncer avec brutalité, elle apprécia cette violence et l’exprima avec des mots crus et des cris expressifs.

Une fois de plus je me rendis compte qu’une femme laide avait autant d’atouts qu’une femme canon pour faire jouir un homme.

 

 

Par kamasoutra
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Mercredi 3 décembre 3 03 /12 /Déc 16:39

J’avais promis de vous raconter la suite de mes aventures avec Isabelle mon médecin. Vous vous souvenez celle, qui m’avait fait le plaisir de me doigter.

Pour ceux qui n’ont pas lu : Doigté par une femme médecin

Quelques semaines après, je la rencontre tout simplement en boite accompagnée de son mari et d’un groupe d’amis dans lequel j’ai un copain. Cela me permet de m’intégrer à eux. Bien sur elle me reconnait et nous bavardons longuement dans la soirée.

Je profitai de l’occasion pour l’inviter à danser un slow, elle accepta. Ce moment d’intimité noyé au milieu des couples serrés les uns contre les autres sur la piste me permit d’aller à la découverte de son corps. Elle ne refusa pas mes caresses, bien au contraire excitée par l’alcool et par la situation j’eus l’impression qu’elle allait au devant d’elles. Le désir était réciproque. Ce slow devint de plus en plus chaud, ma bite dure frottait contre sa chatte excitée, ses seins se soulevaient contre mon torse, mes mains prenaient possession de ses fesses fermes et rondes, que je pétrissais avec bonheur. Sa robe était si légère et si fine que j’avais l’impression de la caresser à même la peau.

Rompant le charme de nos excitations Isabelle me demanda des nouvelles de mes hémorroïdes, je lui avouai alors que j’étais venu la consulter par jeu simplement pour le plaisir de m’exhiber devant elle et de me faire doigter. Je sentis à son regard vicieux qu’elle ruminait une vengeance, et elle ajouta.

- Puisque tu aimes les jeux érotiques, prends donc rendez-vous à mon cabinet pour jeudi 19h, je te réserverai une petite surprise.

 

 

Quand j’arrivai dans la salle d’attente deux personnes patientaient. Après avoir attendu une bonne heure, j’entrai enfin dans son cabinet, émoustillé comme un jeune puceau à l’idée de sauter le pas. J’avais eu le temps de faire monter ma pression interne rêvant de milles folies avec les superbes mannequins vus sur les quelques revues de mode féminines, que j’avais feuilleté fébrilement pour patienter. Ces beautés diaphanes avaient eu le temps de me chauffer.

Quand elle me fit entrer, je remarquai qu’elle avait changé de tenue par rapport aux patients précédents. Une fois de plus elle était habillée de manière sexy et provocante. Elle avait troqué son pantalon pour une robe boutonnée sur le devant ne demandant qu’à s’ouvrir et à montrer une chair excitante.

 

Elle m’ausculta de nouveau comme si on ne se connaissait pas, me demanda de me déshabiller, de m’allonger nu sur sa table basse et de me relaxer. Je fermai les yeux et essayai de me détendre. Elle en profita pour me bander les yeux, m’attacher les mains et les pieds aux montants de la table. Docile je me laissai faire essayant de deviner ses intentions et savourant l’excitation qui montait en moi. Je la sentis écarter mes fesses.

- Ne bouge pas pendant que je te prends la température me dit-elle puisque tu aimes être doigté cela ne doit pas t’être désagréable.

Et elle enfonça un thermomètre glacé au plus profond de mon anus.

 

 

Puis ses mains expertes pendant de longues minutes massèrent mon corps avec douceur évitant mes parties sensibles. Ce massage relaxant et sensuel permit de me détendre totalement. C’est un bruit de frottement de vêtements qui me sortit de ma rêverie. Je l’imaginai se dévêtir et se caresser devant mon corps nu allongé. Puis elle enleva mon bandeau et le remplaça sur ma figure par sa culotte chaude et humide chargée d’odeurs, me masquant partiellement la vue. Elle déboutonna entièrement sa robe laissant entrevoir une poitrine ferme, porte-jarretelles et bas blancs mettant en valeur une touffe châtain fournie. Je respirais profondément savourant les odeurs épicées de sa petite culotte. A travers la dentelle je l’aperçus se dandiner sensuellement vêtue uniquement de ses bas stay-up blancs, qui galbaient à merveille ses cuisses.

Elle mesura la taille de mon sexe avec son mètre roulant.

- 18cm de long, 4.5cm de diamètre pas mal me dit-elle.

Puis elle sortit son Canon et me prit en photo sous différents angles et fit des gros plans sur mon sexe, qui se dressait fièrement turgescent.

 

Puis elle se pencha pour fouiller dans un tiroir du bureau m’offrant une vue superbe sur son cul bien rond et sur la fente de sa chatte. Elle sortit quelques ustensiles du tiroir qu’elle posa sur mon corps : martinet, pince à linge, sextoy, rasoir.

- Je préfère les corps lisses, je vais te raser complètement me dit-elle.

Elle me savonna le corps et les cuisses et se mit à jouer du rasoir. Au bout de quelques minutes elle s’attaqua à mon sexe et à mes couilles, là j’étais moins serein. Je me raidis quand elle prit ma tige en main. Elle donnait des coups de rasoirs rapides, je craignais la coupure à tout moment. Mais non , tout se passa bien.

Mon rasage terminé je l’entendis uriner d’un jet puissant et bruyant dans le bidet situé derrière moi.

- Tu es mon dernier patient de la journée, j’espère que tu n’as pas prévu de rdv pour la soirée, car tu es à moi pour la nuit.

Elle retira la petite culotte et elle s’installa à califourchon sur mon visage. Alors que je sentis les lèvres mouillées de sa chatte sur ma bouche, je flairai une odeur d’urine, qui peu à peu se dissipa sous ses frottements sur ma bouche.

Ma figure était prisonnière de ses cuisses qui m’enserraient et m’étouffaient. Elle s’agita avec frénésie sur moi se masturbant sur ma bouche et sur mon nez sans se préoccuper de moi. Ma langue n’hésita pas à lécher profondément sa chatte et son trou du cul. J’étais son jouet sexuel, j’acceptai le jeu avec plaisir. J’avais du mal à respirer mais je savourai ce mélange d’odeurs subtiles pendant que les poils de sa touffe me chatouillaient les narines. Elle pendant ce temps prenait appui sur ma verge dure et mes couilles, qu’elle saisissait à deux mains, de temps en temps elle la lapait, la lèchait, la suçait, l’aspirait, la secouait, la branlait. Ma bite était malmenée. J’étais à la limite de la jouissance complètement à la merci de ses agissements et dut lui crier.

- Arrête, je vais jouir

Alors elle se redressa, se saisit du martinet et me donna des coups appuyés sur la verge, les couilles, le bas-ventre et les cuisses pour me punir de ma faiblesse. Je me cabrai sous la douleur surpris.

- Retiens toi il est trop tôt pour juter, ce sera quand je te le dirai.

Et elle sortit de son frigidaire quelques glaçons, qu’elle promena sur toutes les parties de mon corps. La encore la surprise et le contact glacé me firent me contorsionner, elle continua jusqu’à ce que je m’arrêtai de bouger.

M’ayant bien glacé le corps elle prit le sextoy qu’elle pénétra dans sa chatte et après quelques minutes de masturbation me le fit lécher et sucer comme si c’était une bite avant de me l’enfiler dans le cul sans ménagement.

- Il parait que c’est bon de se faire enfiler l’anus ironisa-t-elle. J’acceptai l’engin sans broncher poussant pour qu’il pénètre mieux. Une fois en place, elle mit la vibration au maximum tout en le faisant coulisser. Elle prenait plaisir à me sodomiser. Moi aussi je jouissais de ses gestes et lui fit savoir par mes gémissements.

 

Cette brutale pénétration anale me chauffa le bas-ventre et redonna vigueur à mon membre, qu’elle équipa d’une capote avant de s’empaler dessus. Isabelle s’agitait sur moi et donnait des violents coups de reins, elle dirigeait les opérations avec vigueur, j’étais toujours attaché je ne pouvais donc peu bouger juste donner des ondulations pour aller à la rencontre de sa chatte en folie. J’avais toujours son sextoy qui me vibrait dans les fesses ce qui limitait mes gestes.

A force de me retenir de jouir, j’eus toutes les peines du monde à éjaculer quand elle me le demanda, heureusement mon érection restait intacte. Alors Isabelle se mit à rejouer du martinet sur mes cuisses telle une jockeytte montant son étalon et le menant au plaisir. Ses agissements et ses gémissements accentués me provoquèrent un sursaut de vitalité et je finis par trouver une superbe jouissance ponctuée d’un grognement sourd témoin de mon plaisir accompli.

Après avoir repris son souffle et récupéré le précieux contenu de la capote, elle se mit à lécher avidement mon sexe, à le pomper avec vigueur et à l’aspirer goulument pour en extraire les dernières précieuses gouttes de jus.

 

 

Elle pesa le contenu de la capote :

- 3.8g de sperme me dit-elle. Je fais des statistiques sur les performances masculines.

En tout cas cela va ravir une de mes copines lesbiennes qui veut un enfant, je lui mettrai moi-même ta semence dans la chatte. C’est demain son jour d’ovulation.

Tu seras l’heureux géniteur d’une lesbienne sans l’avoir baisée. Je te rassure elle n’est pas de la région, et tu ne la connais pas. Je n’ai jamais su si elle avait dit vrai ou si elle avait bluffé.

 

Elle m’emmena finir la nuit dans son lit, où je retrouvai une liberté de mouvement pour la faire jouir à son tour. Je lui défonçai le cul sans ménagement et au petit matin elle eut droit à une belle giclée chaude dans la gorge pour le petit déjeuner.

 

Par kamasoutra
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Vendredi 14 novembre 5 14 /11 /Nov 18:52

Caroline était une belle bourgeoise salope, qui aimait provoquer les hommes de ses yeux ravageurs et allumeurs. Mais Caroline était aussi un charmant petit boudin, n’y voyez pas là un propos désobligeant à son encontre, car j’adore les petits boudins. Son gros cul qui se tortillait sensuellement en marchant, me donnait des idées lubriques et des envies. Elle était vraiment mignonne avec ses rondeurs sympathiques et sensuelles.
Son seul défaut, je pense, était d’être la femme de mon chef de service antipathique, sévère, et désagréable.

J’entendais souvent Caroline au téléphone quand elle appelait au bureau car la ligne personnelle de son mari était souvent occupée. Sa voix douce et sensuelle me faisait frémir et battre mon cœur. La première fois où je l’ai vue c’était lors d’une sortie de fin d’année entre collègues où nous étions allés nous détendre à Thermopolis .
(vous vous souvenez  de Thermapolis?   L'amour à la piscine
)

J’avais du lui taper dans l’œil car dans le jacuzzi où nous nous trouvions avec d’autres personnes, elle était venue se placer face à moi, pas par hasard je pense, car à un moment alors que délirions et rions tous dans les remous de l’eau bouillonnante, j’avais senti sa main prendre mon pied pour le frotter contre sa chatte tout en me lançant des regards allumeurs et complices. J’avais même senti mon pied fouler sa toison drue avant de pénétrer son intimité. Elle en jouait comme d'un sextoy.

 Depuis cette sortie j’avais remarqué qu’elle appelait souvent au bureau avec prétexte d’avoir son mari absent du bureau. Elle en profitait pour me draguer me rappelant cette sortie excitante. Evidemment je n’avais jamais osé répondre à ses avances surtout parcequ’ elle était la femme de mon chef. Le hasard allait combler nos désirs sexuels communs.

Un vendredi soir, son imbécile de mari en déplacement à Paris me téléphone au bureau me demandant de déposer chez lui un document qu’il avait oublié de prendre la veille. Il en avait besoin pour une réunion le lundi matin. Bel aubaine pour sa femme qui avait laissé les enfants chez ses parents car elle avait projeté de se faire un restau avec des copines, son mari devant rentrer tard dans la soirée. Mon passage imprévu allait lui offrir un bel amuse-gueule.
Elle m’offrit l’apéro, et quel apéro un cocktail à base de rhum, de mirabelle et jus de fruit plutôt musclé. Très vite nous eûmes chaud aux oreilles et les joues rouges. Elle s’empressa de me rappeler cette sortie jacuzzi et me donna en détails ce qu’elle avait ressenti : cela voulait dire fais moi jouir comme j’en avais envie ce jour-là, mais pour de vrai cette fois ci.

Caroline se trémoussa sur son canapé se caressant tout en me lançant des regards enjôleurs. Elle dégrafa doucement sa chemise tout en se caressant dévoilant ses seins lourds. Alors je répondis à ses provocations et j’ouvris ma braguette faisant ressortir mon engin, ses yeux se rivèrent dessus et elle se caressa la chatte pendant que j’astiquais mon joujou. Pendant de nombreuses minutes on se masturba en se regardant les yeux dans les yeux. C’est elle qui craqua la première, et elle ne tarda pas à venir prendre mon sexe en bouche pour le déguster sensuellement. Je me retrouvai vite la tête entre ses cuisses à lui lécher la chatte baveuse tout en lui malaxant les seins gonflés de désir. Ses gros tétons pointaient tels des obus.

Nos ébats furent interrompus par le téléphone, ce fut d’abord le mari qui s’inquiétait de savoir si j’étais passé, elle répondit oui bien sur me regardant dans les yeux et continuant de me branler vigoureusement. Visiblement Caroline prenait plaisir à ce trio improvisé.
Puis ce fut au tour des copines déjà rassemblées pour l’apéro chez l’une d’elles qui s’impatientaient et s’inquiétaient de son absence.
- Je vous rejoindrai directement au restau à 21h, désolée j’ai un contretemps plutôt agréable, je ne vous en dis pas plus pour l’instant, je vous raconterai plus tard gloussa-t-elle alors que je continuai de la défoncer en levrette. Sa copine dut se douter de ce qui se passait en entendant sa voix chevrotante et haletante.
Nous reprîmes avec passion nos folies essayant de nombreuses positions du kamasoutra, Caroline manifestait bruyamment son plaisir et ses envies.

Je repartis de chez elle les couilles vides et la déposai à son restau juste au moment ou ses copines arrivaient. Caroline jubilait de pouvoir exposer l’objet du délit à ses amies. J’allais être au centre de la conversation toute la soirée, aucun détail ne serait oublié, je pouvais lui faire confiance. Ma réputation serait faite pour ses quatre copines, que je connaissais de vue et que j’avais eu l’occasion de rencontrer en boite. A la première occasion je pouvais m’attendre à récolter les dividendes de cette soirée chaude. Ses copines n’hésiteraient pas à tenter leur chance avec moi, et vérifier les propos de Caroline au sujet de ma virilité.  

Caroline me sollicita par la suite, mais je répondis avec mesure à ses envies, je ne voulais pas qu’elle en prenne l’habitude d’autant que je la recevais chez moi. Je tenais à la discrétion, et malheureusement ses cris d’amour et de plaisir devaient être entendus bien au-delà des limites de mon appartement.
Je jubilais toujours les lendemains de sexe avec Caroline quand je voyais son mari au bureau, heureux d’avoir joui de sa femme, heureux de l’avoir fait cocu, mais c’était un plaisir intérieur qu’hélas j’aurais aimé partager avec mon entourage professionnel. J'aurais aimé lui dire en face que je le faisais cocu.
Mais prudence.
La vengeance est un plat qui se mange froid.

 

Par kamasoutra
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Mercredi 5 novembre 3 05 /11 /Nov 18:12

Vous me reprochez souvent que mon blog manque de photos excitantes, alors je vais publier quelques photos de culs, qui m’excitent, qui me donnent envie de me branler, de les enfiler, de rêver que je gicle dedans.

J’espère qu ces beaux petits culs vous inspireront et vous donneront envie de jouir.

Un cul bien rond à prendre en levrette

Un beau petit cul à lécher:

Avec un oeillet bien ouvert et un peu de jus:

Un cul bien épilé

Soyons gourmand, deux pour le prix d'un:chacun son tour!!.



Et pour finir le dessert :

Un beau petit cul noir avec l’intérieur bien rose

Un régal .
 Mesdames si vous souhaitez nous montrer votre beau petit cul , n'hesitez pas à m'envoyer la photo.






Par kamasoutra
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Samedi 25 octobre 6 25 /10 /Oct 12:06

Pour la onzième fois je visitais un appartement guidé par Delphine une commerciale de l’agence immobilière, que j’avais choisi en espérant séduire la responsable une superbe blonde bimbo. Mais je ne devais pas être à son goût car elle me délégua très vite son assistante. Elle me trouvait difficile à satisfaire car il y avait toujours un détail qui ne me plaisait pas dans les locations qu’elle me proposait.
- C’est pour avoir le plaisir de vous rencontrer de temps en temps plaisantais-je et d’ajouter.
- Je vous offre un restau en récompense quand j’aurai trouvé la perle rare, promis.

 

Delphine n’était pas super jolie, cette blonde aux cheveux frisés  avait quelque chose qui m’excitait, et chaque fois que je la voyais, elle me paraissait toujours plus élégante et sexy. En tout cas toujours habillée très féminine et de bon goût. Et elle avait un regard de salope provocant, qui semblait dire :
- Tu me plais, baise moi, fais moi jouir comme une chienne, encule moi !!!.
J’étais envouté par ses yeux qui exprimaient le désir et me provoquaient.
Ce jour-la son beau cul de pouliche perché sur ses hauts talons se déhanchait lentement avec grâce et sensualité. Je la suivais de pièce en pièce détaillant plus sa silhouette que l’appartement, devinant ses dessous assortis à la couleur de son soutien gorge que j’avais aperçu dans son décolleté avenant. Je l’imaginais aussi avec une petite culotte en dentelle et un porte jarretelle sous sa jupe volante. Son parfum différent des autres jours m’envoutait et me donnait envie de la prendre par derrière comme une chienne en chaleur. De temps en temps nos corps se frôlaient et nous prenions ce prétexte pour nous toucher. Une certaine complicité et un jeu de cache-cache s’installaient entre nous. Qui allait faire le premier pas ?, qui avait le plus envie de l’autre ? Qui allait céder le premier à la tentation ?

Arrivés dans la salle de bain je m’accroupis pour inspecter la tuyauterie, louchai sur ses bas noirs, fis semblant de basculer et perdre l’équilibre, et me retins à ses chevilles fines. Elle retint ma tête, attira ma chevelure contre elle. Mon visage se retrouva à la hauteur de son sexe la joue contre son pubis juste séparé par sa jupe. Je la soulevai et enfouis ma tête dessous cramponnant l’arrière de ses cuisses fermes. Elle se laissa faire, j’en fus encouragé à aller à la découverte de son intimité. Elle ne portait pas de porte-jarretelles comme je l’imaginais mais des bas résilles. Cela me rassura et je trouvai cela plus sexy que des collants. La chaleur humide de son sexe m’envahit, je le humai avec délice, excité par des senteurs poivrées. Ses mains cramponnées à ma chevelure maintenaient ma tête pendant que je faisais glisser doucement son slip. Sa touffe caressa mon visage, et me chatouilla les narines. Ma langue s’aventura entre ses lèvres humides et lécha son miel, qui perlait. Je sentis son bassin onduler et rechercher le contact de ma bouche. Elle m’encouragea de la voix par des gloussements et des petits cris plaintifs. Ses cuisses s’écartaient, son clitoris gonflait sous mes aspirations.
Pendant que je la sentais monter au 7ème ciel, je dégageai mon chibre au garde à vous. Son cri de jouissance lancé, je m’assis sur le bord de la baignoire et elle s’installa à genoux entre mes cuisses. J’eus droit à la pipe royale : elle se déchaînait de toutes parts sur mon sexe ravi.
Je me retins pour ne pas jouir, préférant gicler dans sa chatte, mais elle s’obstina à vouloir gouter mon nectar, et elle me branla violemment me disant excitée :
- Oh Pine moi ton jus dans la bouche vite!
Et elle s’empare de nouveau de ma bite l’aspirant goulûment avec gourmandise. Je ne pus résister à ce traitement et je déchargeai dans sa bouche poussant un violent cri de bête. C’est elle qui à son tour s’affola sur ma queue la léchant dans tous les sens pour récolter la moindre goutte de sperme. Ma queue tétanisée était douloureuse sous ses coups de langue, alors je me dégageai vivement et la pris sauvagement en levrette.
 Je voulais l’entendre gueuler de plaisir, lui rendre ma jouissance. Une fois installé dans sa chatte, je déballai sa poitrine, massai ses doudounes et pinçai la pointe de ses tétons de plus en plus brutalement. Son bassin se mit à s’agiter recherchant la vigueur de mon sexe. Ses râles puis ses cris, qui s’amplifiaient m’encouragèrent. Son corps s’offrait à mes violences physiques et verbales. Tout en lui donnant la fessée je la traitai de tous les noms de salopes, je sentais que cela l'excitait.
- Petite chienne, je vais te faire jouir sale pute mal baisée.
- Oh OUIII fais-moi mal.

Je décidai de l’enculer pour la terminer. Son cul était bien ouvert et n’offrit aucune résistance. Ses fesses rougies par ma fessée étaient brûlantes sur mon bas-ventre. Quand je parvins au fond du trou en la serrant fort contre moi, elle poussa un grand cri rauque et resta tétanisée.


Je m’agitai dans ce cul raidi jusqu’à faire sortir une petite giclée chaude. Elle poussa de nouveau un cri violent. Nous basculâmes par terre ou nous restâmes allongés de longues minutes enlacés et haletants. Ses bas étaient troués aux genoux, les cheveux en bataille. Elle ressemblait à une bête battue. Son regard soumis me fit comprendre qu’elle avait eu sa part de plaisir et qu’elle m’en était reconnaissante.
Elle m’avoua :
- Cela faisait plusieurs visites que j’avais très envie que tu me fasses jouir comme une chienne en chaleur. Merci c'était super.

Et elle s’installa entre mes cuisses, redonna vigueur à mon sexe par des coups de langues affamés et des succions vigoureuses. Et elle me chevaucha à en perdre haleine. Je me contentai d’accompagner ses mouvements hystériques et l’observai en pleine action. Je me faisais baiser par une nymphomane.

 

Une si belle jouissance dans cet appartement était un bon présage pour l’avenir : la première d’une longue série. Je décidai donc de le prendre et offrit un restau à Delphine comme promis en récompense de sa patience. Mais elle préféra avoir la possibilité d’y venir de temps en temps en pèlerinage se faire défoncer le cul par ma queue raide et virile.

Par kamasoutra
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Jeudi 16 octobre 4 16 /10 /Oct 18:18

Contactée sur minitel, Frédérique m'invita à venir boire un pot chez elle me promettant de s'offrir à moi contre une exigence qu'elle ne me dévoila pas de suite au tétéphone:
- La surprise de notre rencontre me dit-elle
Elle s’était décrit comme une ravissante blonde plantureuse 1m80 120F sans toutefois me préciser son poids. J’avais accepté car sa voix sensuelle m’avait envouté au téléphone, sa poitrine 120F et sa surprise m’avaient intrigué, excité et décidé.

 Elle m'accueillit dans une djellaba bien remplie par ses formes généreuses. Au premier regard j'estimai son poids à plus de 100kg, et fut un peu effrayé de mon inconscience, mais elle avait un superbe visage, qui me fit oublier ses rondeurs. Elle était nue sous sa djellaba, portait juste un soutien-gorge à balconnets pour soutenir ses 2 énormes seins, dont les tétons pointaient . C’était une femme d’autorité cela se sentait, cela se voyait elle aimait diriger, elle avait le sens du contact, alors je décidai de la laisse faire. Elle m'offrit le thé, me demanda d’un ton supérieur si elle me plaisait : j'acquiesçai timidement. D'autorité elle voulut vérifier si je correspondais à ses critères en inspectant ma bite. Elle fouilla dans ma braguette, et en sortit mon engin presque raide, se mit à le lécher à le gouter, à l’inspecter.
Alors elle s’allongea sur moi, m'embrassa sur la bouche pour me dire qu'elle était ok. Sa langue tournoyait dans ma bouche et ses lèvres pulpeuses aspirèrent avec fougue ma salive. Puis elle se leva, se positionna devant moi et se mit à se déhancher entamant une danse du ventre sensuelle libérant petit à petit sa djellaba et découvrant son corps nu.
- Je fais 125kg me dit elle, je ne le dis pas sur le site car cela peut décourager des bites peu courageuses et avides de petit cul. Elle s’approcha de moi m’invitant à découvrir sa peau douce. Sa toison blonde bien taillée et soyeuse se retrouva à la hauteur de mon visage, qu’elle caressa.Tout en me resservant un thé elle m'expliqua son fantasme, plutôt son envie, car ce n’était pas une première pour elle.
- Se faire pipi sur la bouche et la figure dit-elle d’un ton anodin.
J’ai du faire la grimace, car elle me rassura aussitôt.
-  J’ai bu beaucoup d’eau avant ton arrivée, l’odeur sera légère ne t’inquiète pas.
Et elle m'entraina dans sa salle de bain, me mit nu, m’installa sur le bord de la baignoire, se positionna entre mes cuisses prenant mon tuyau entre les mains qu’elle dirigea vers sa bouche et me dit :
- Vas-y arrose moi, pisse moi dessus
Evidemment j’étais sur la réserve. J’avais bien envie d'uriner après ce qu'elle m’avait fait boire mais je me retenais inconsciemment, car cette situation était particulière. Elle fit couler un robinet pour stimuler mon envie, me caressa les couilles, me lécha et me branla pour me décontracter. Je fermai les yeux pour essayer de l'oublier, me libérer et me concentrer sur mon envie. Au bout de quelques minutes je me laissai aller et ne pus retenir son désir. Mais j’avais l’impression honteuse de pisser dans ma culotte. Frédérique était à l’affût et dirigea le jet d'urine sur son visage et dans sa bouche. En ouvrant les yeux je vis mon eau dorée dégouliner de sa bouche. Elle semblait se repaitre de mon urine chaude et colorée et apprécier son odeur acide.

 

Après bien sur m'avoir montré l'exemple nous inversâmes les rôles et je me retrouvai entre ses cuisses écartées face à sa fente ouverte. Je me mis à flairer sa chatte, elle sentait bon, cela me mit en confiance. Elle me maintint la tête avec les mains à une distance de 20cm.
- J'ai un jet puissant au début. Laisse toi guider, je te rapprocherai au moment opportun me dit-elle et elle ajouta :
- Attention c’est parti.


Alors je vis sa chatte s'ouvrir et un jet puissant jaillit, arrosa mon torse puis arriva sur mon visage. Moi qui ai horreur des douches chaudes je fus surpris par la chaleur de son urine. Cela me fit oublier l'odeur. Puis je m'habituai et Frédérique m'attira contre sa chatte, ma bouche reçu son liquide chaud et amer tout en léchant sa chatte. Bien sur je recrachai son millésime, mais je fus terriblement excité par cette situation et lui bouffai la chatte de façon si animale qu'elle apprécia ma férocité. Je lui enfonçai la main entière dans sa chatte, l'agitai tout en léchant son clitoris ce qui lui fit émettre quelques grognements de plaisir. 

 

Comme promis Frédérique s'offra à moi. Vu ses rondeurs, il était exclu que je la prenne à la cosaque, ni que je sois sous elle, même la levrette ne fut pas confortable, alors après une cravate de notaire entre ses deux gros seins, elle s’allongea et s’abandonna à mes désirs. Je la chevauchai essayant les positions les plus agréables. Celle qui me fit le plus jouir fut un 69 ou je déchargeai entre ses seins quand sa langue vigoureuse me pénétra et me sodomisa.

 

Par kamasoutra
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Mercredi 8 octobre 3 08 /10 /Oct 20:44

Une fellation dans le métro c’est assez commun, mais tout dépend des circonstances. En fait cette aventure réelle ne m’est pas arrivée, c’est un copain qui l’a vécue et me l’a racontée, mais j’avoue j’aurais aimé la vivre.
Et j’en rêve  souvent : voilà un beau fantasme à réaliser.
Alors je vais la raconter comme si je la vivais.

 

Il n’y avait pas foule dans le métro ce soir là vers 23h. Je rentrais à mon hôtel en banlieue. J’étais plongé dans un livre érotique, quand à la station Chatelet de nombreuses personnes entrèrent dans le wagon. Je ne fis pas attention à la personne, qui s’installa en face de moi. Je ne la remarquai que quelques arrêts plus loin quand le métro freina brusquement, nos yeux se croisèrent et se fixèrent.
C’était une brune bien charpentée à la peau mate et aux yeux profonds, qui me regardait avec un regard intense. Elle portait un chandail avec col roulé, qui moulait sa poitrine forte. Je remarquai surtout ses mains soignées qui étaient dans le champ de vision de mon livre.
J’avais l’impression d’avoir déjà vu cette femme, peut-être allait-elle comme moi au terminus, et j’avais du l’apercevoir dans le métro un jour précédent. Elle semblait intéressée par ma lecture, je la vis plusieurs fois me dévisager et regarder la couverture.
Je me replongeai dans le bouquin et j’imaginai cette voisine dans la peau du personnage principal. L’histoire était excitante et j’avais un début d’érection.
A la station Montparnasse, nos voisins descendirent, elle profita du vide autour de nous pour engager la conversation avec un petit sourire.
- Manuela a-t-elle déjà sucé Michel ? C’est le chapitre que je préfère dans ce livre.
- Je lis justement ce passage excitant, lui répondis-je.
C’est bien ce qu’il me semblait à voir la bosse, qui enfle dans votre pantalon.
- Non ! ! C’est parce que je vous imaginais en train de me sucer: osais-je lui répondre à sa provocation.
- Pourquoi pas je devine votre queue agréable enchaîna-t-elle du tac au tac

Mon sourire amusé à sa réponse l’encouragea et aussitôt elle se pencha en avant et sa main vint caresser mon sexe qui gonflait de plus en plus sous le jean. Surpris par son geste, je me retourne craignant d’être observé.
-Rassure toi, personne ne nous regarde me dit-elle en me tutoyant.
Il y avait bien un couple au fond du wagon, mais il nous tournait le dos. Je me laissai faire, elle déboutonna ma braguette et extirpa mon engin tout baveux avec délicatesse. Elle le branla doucement avec ses mains fines et se pencha pour le lécher avec sensualité.
Ses lèvres pulpeuses s’entrouvrirent et je sentis son souffle chaud sur ma queue. Sa langue pointa sur mon prépuce et le titilla. Puis elle l’enfourna, le pompa par quelques mouvements rapides, et l’aspira jusqu’à la garde pendant que ses doigts fins me malaxaient les couilles.

Le métro arriva en station, je lui retirai la tête de peur que quelqu’un n’entre dans le wagon et nous voie.
Personne, Ouf !!!
J’espérais qu’elle allait me reprendre dans sa bouche divine.
Mais elle se leva et alla regarder si quelqu’un pouvait nous voir du wagon voisin.
- Il n’y a personne à coté me dit-elle et elle ajouta.
- J’ai deux minutes jusqu’au terminus pour te faire jouir, laisse toi faire et crache moi ton venin mon loulou.

La sonnerie de fermeture des portes retentit et lui donna le signal de départ de sa sucette endiablée, elle s’empara de nouveau de mon jouet et l’utilisa avec brio. Elle alterna branlette, succions, coups de langue. Je haletai et ne pus retenir des râles de plaisir heureusement couverts par le bruit de la rame. Je jouis au fond de sa gorge en lâchant un cri rauque. Elle garda ma bite en bouche le temps de recueillir tout mon jus. Puis elle le cracha entre mes jambes.
- Désolée je n’avale pas s’excusa-t-elle et elle remit mon chibre maculé de rouge à lèvres là ou elle l’avait pris.

Elle se leva m’embrassant sur les lèvres la langue fouillant dans ma bouche.
- Merci Loulou pour ta queue bien juteuse me dit-elle.
J’étais interloqué, tout s’était passé si vite. Je lui proposai de venir à mon hôtel pour lui rendre le plaisir qu’elle m’avait procuré.
- Non pas ce soir, il est trop tard, et je suis attendue.
- demain soir ? Insistai-je voulant revivre cet instant magique de plaisir.

Elle me laissa son numéro de portable.
- Appelle-moi demain vers 18h et je te dirai si c’est possible.
Le lendemain son mobile ne répondit à aucun de mes appels. Mais le surlendemain c’est son répondeur qui m’accueillit :
- Bonjour vous êtes sur le mobile de Michel, Michou pour les intimes.

Je n’en revenais pas, j’avais failli coucher avec un travelo.

Par kamasoutra
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Mercredi 1 octobre 3 01 /10 /Oct 18:06

Me revoilà après une période de vacances bien méritée dans un club au soleil.
Cela m’a replongé 25ans en arrière alors qu’un copain m’avait incité à venir avec lui dans un club très connu pour ses aventures sexuelles faciles. Nous étions tous les deux jeunes et beaux au milieu de cette jungle de quadras bcbg où nous fîmes des ravages sans trop d’efforts d’ailleurs.
La première semaine avait bien débuté avec plusieurs femmes mariées en manque d’émois et délaissées par leurs maris avides de nouveautés. Ce furent des proies faciles mais leurs gourmandises répétées me lassèrent vite. Cela manquait d’originalité.
Je préférai jeter mon dévolu sur Muriel une ravissante brune de mon âge moins expérimentée et sexuelle mais plus fraiche et amoureuse . Notre passion affichée attisa encore plus les envies de ces gourmandes en manque.

Quelques jours avant la fin du séjour, Muriel décida d’aller en excursion toute la journée avec mon copain et tout un groupe. Je me retrouvai donc seul pour la journée entière. Devant se lever tôt Muriel décida d’aller se coucher de bonne heure, j’allai lui faire un câlin et sitôt endormie je partis me défouler dans la boite du club, où de nombreuses âmes en peine cherchaient tendre compagnie. Je m’amusai de voir ces regards d’envie qui me sollicitaient. Je décidai de ne pas les provoquer pensant à Muriel, qui dormait profondément.
Mais quand vers 2h du mat le disc-jockey mit une série de slow, je ne pus refuser l’invitation d’Annie la cinquantaine superbement conservée, qui m’entraina d’autorité sur la piste de danse.
Alors qu’elle frottait sensuellement ses rondeurs contre moi contente de m’avoir attiré face à tant de convoitises féminines jalouses, je lui chantonnai l’oreille :
- Annie aime les sucettes !!!
- Oui c’est vrai, c’est même ma spécialité me répondit-elle avec un sourire coquin. Et il ne te reste que quelques heures pour le vérifier, je pars à 5h, Cela me ferait plaisir de ramener un petit souvenir de toi:
- Ton sperme me susurre-t-elle.
Nous allons sur la plage déserte où elle me montre ses talents pendant que je la lèche et la doigte. Après avoir giclé dans sa bouche je lui défonce la chatte et le cul en levrette lui provocant cris et gémissements de chienne en chaleur.
- J’aime être prise pour une salope, car j'en suis une, m'avoue-t-elle !!
Nous prenons un bain de minuit pour nous calmer, elle me demande pour venir prendre une douche dans ma chambre. Alors je lui propose de sucer mon pote pendant son sommeil sans qu'il s'en rende compte. Elle accepte amusée et je filme la scène au caméscope dans l'obscurité. Mon copain ronfle comme d'habitude nu sur le lit, elle lui donne rapidement une érection, le suce, le fait éjaculer, goute son jus et le recrache sur son pubis le barbouillant pour lui faire croire à son réveil à une émission nocturne.

 

Le lendemain matin, je suis réveillé par la femme de ménage. Quand elle ouvre les volets elle me découvre surprise allongé nu sur le lit avec une mon érection matinale. Je décide profiter de l’aubaine, cette mignonne portugaise me faisait souvent des sourires.
Je me lève prestement et vais vers elle amusé devant son regard rivé sur mon joujou. Je l’entraine sur mon lit chaud, elle ne résiste pas. Je l’embrasse fougueusement, et lui met ma bite dans la bouche. Pendant ce temps je fouille sous sa jupe, écarte son slip, et lèche sa chatte abondamment poilue. Elle a une saveur poivrée.
Tout se passe très vite, elle se dégage essayant de me faire comprendre qu’elle a du travail et qu’on pourrait nous surprendre.   Moi j’ai envie de prendre sa chatte. Et je devine que l'envie est réciproque, alors je l’attire de nouveau vers moi, la prends par derrière et je m’enfonce dans son petit trou. En moins d’une minute elle me fait jouir. Je la laisse partir satisfaite rajustant sa tenue  et remerciant mon pote d’avoir voulu me faire une farce ce matin en ayant mis le panneau chambre à faire.

 

A ce moment-là je me dis jamais 2 sans 3 et là je pense à Camille l’animatrice du step. Je décide donc d’aller à son cours en fin de matinée. Elle nous fait transpirer par son rythme endiablé. A la fin du cours elle me fait part de sa joie de me voir participer à sa séance, je lui propose d’aller prendre une douche ensemble pour se rafraichir.- Désolée me répond-elle ma pause est entre 13h et 14h
- Alors viens faire la sieste dans ma chambre 225 tentai-je.
Elle ne répondit pas, mais son regard enjôleur était plein de promesses et c’est sans surprise qu’elle frappa timidement à la porte de ma chambre.
Camille n’était pas une gourmande, c'est une tendre, une amoureuse, elle se laisse faire et s'ouvre comme une huitre. Je profite de son corps superbe de  sportive.

 

 Ma journée ne s’arrêta pas la. Claudine la seule femme qui faisait des seins nus sur la plage me dévorait des yeux encore plus que d’habitude. Elle aussi avait noté l’absence de Muriel. Décidément.
Ce fut son mari qui favorisa les choses, alors qu’elle lui demanda de lui mettre de la crème solaire, celui-ci me demanda discrètement de le remplacer. Ce que je fis avec joie et avec douceur. Elle remarqua de suite le subterfuge et s’abandonna avec délices à mes caresses. Je sentais son corps onduler sous mes mains. Je m’attardai aux endroits sensibles et lui caressai les zones érogènes. Malgré le soleil brulant, sa peau avait de temps en temps la chair de poule. J'aurai aimé lecher sa chatte à ce moment là car elle devait dégouliner d'excitation.

Plus tard elle vint me rejoindre dans l’eau, où elle put plus discrètement me remercier de vive voix et me faire savoir le plaisir qu'elle avait pris sous mes caresses. 
-J'aurais aimé plus dit-elle avec regret.
Je saisis l’opportunité lui indiquant que ma chambre 225 était disponible jusque 21h.
- Super me réponds-t-elle mon mari va faire un tennis à 18h.
J’étais encore sous la douche quand elle frappa à ma porte, je l’accueillis simplement vêtu d’une serviette. Elle m’essuya et me chauffa en 2minutes. Elle prit les commandes je me laissai faire, cela me changea de Camille.
- A mon tour de te faire des caresses sensuelles.
Elle se retrouva nue en quelques secondes et se jetta mur moi sur le lit. Elle enchaina pipe, 69 , andromaque, balançoire, cosaque, levrette et voulut terminer par une sodomie. J’étais sur les rotules, heureusement elle agitait son petit cul avec frénésie et je me contentais de juguler ses déhanchements incontrôlés.
Ma giclée dans son petit cul la contenta et elle ne put réprimer un cri de jouissance et d’extase, je m’empalai sur elle ma main coincée entre ses cuisses, qu’elle agitait pour prolonger son plaisir.

 

En soirée je retrouvai Muriel fatiguée par son excursion. Je lui montrai que j’avais envie d’elle. Lasse, elle se laissa faire et accepta mes caresses, je lui broutai la chatte, l’enfilai et m’endormit chaudement installé dans sa douce intimité.

Par kamasoutra
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Jeudi 28 août 4 28 /08 /Août 12:25

La plage est l’endroit idéal pour réaliser les fantasmes d’exhibition, mais aussi satisfaire les plaisirs des sens en plein air. Pascale et moi aimons nous exhiber nus et faire l’amour à la sauvette, surtout si nous savons que des regards indiscrets peuvent nous observer pendants ces moments de jouissance.

Nous étions allongés sous un parasol sur une plage isolée et tranquille à quelques km au sud de Mimizan. On pouvait y faire du naturisme sans risque d’offusquer quelques culs-bénits avec leur marmaille. Ceux qui fréquentaient cet endroit étaient des personnes averties à la recherche de sensations et d’excitations. Ils ne se trouvaient pas là par hasard.

Et en cette journée de semaine de juin, c’était calme, la plage était déserte. Nous profitions lascivement du soleil, bercés par le flux et le reflux de l’océan. Pascale était couchée sur mon ventre, d’une main elle me branlait avec douceur, de l’autre elle me caressait les couilles. De temps en temps elle sentait ma verge se ramollir sous l’effet de la chaleur alors sa bouche aspirait mon gland, le suçait délicatement, sa langue se promenait le long de ma tige en la titillant ce qui me provoquait inévitablement des soupirs de plaisir. Elle connaissait mon corps par cœur et toutes mes zones sensibles.
Je me laissais faire savourant ses douceurs, je maintenais son sextoy dans la chatte, caressais son clito, enfilais mon pouce dans son cul, ou je lui caressais les fesses et les seins en alternance. De temps en temps je jetais un œil aux alentours pour éviter une rencontre indésirable.
Nous inversions les rôles assez fréquemment et là je m’installais entre ses cuisses, lui léchais sa moule et la faisais jouir avec son gode. Pascale aimait crier son plaisir sans retenue surtout pour m’encourager et diriger mes actions. Ses gémissements se mêlaient aux cris des mouettes, qui nous survolaient en rase motte.
Il arrivait de temps en temps qu’un homme seul à pied ou à vélo passe à proximité de nous, ce n’était jamais par hasard. Ils venaient mater les couples isolés, certains même tentaient leur chance montrant leur queue raide à notre proximité espérant une invitation à participer à notre plaisir. Mais nous les voyions toujours arriver de loin et nous avions le temps de reprendre une position décente : alors je la prenais par derrière allongés sur le coté comme deux amoureux tendrement et sagement enlacés.

Ce jour-là nous avions pris notre place habituelle, la plage semblait vide. Si quelques avions de chasse de la base aérienne voisine n’avaient pas survolé la plage, nous nous serions cru sur une ile déserte. Nous avions fait l’amour dans toutes sortes de positions sans retenue, quand une envie pressante d’uriner me prit. Comme la mer était très basse, je décidai d’aller me soulager dans la dune la queue encore en semi-érection, et Oh stupeur je découvre un couple installé juste derrière la dune à une dizaine de mètres plus haut que nous. Manifestement ils avaient bénéficié de notre spectacle et s’étaient bien rincés l’œil. Ils s’enfilaient tout en nous matant. Mon passage imprévu à quelques mètres d’eux ne les dérangea pas et ils continuèrent leurs ébats comme s’ils ne m’avaient pas vu. Sur le moment j’étais un peu fâché d’avoir été surpris si bêtement, mais quand je repassai devant eux ma bonne humeur et mon excitation revinrent. La voir à quatre pattes chatte ouverte et luisante au soleil en train de sucer son homme avec ardeur me donna envie de la prendre en levrette. Peut-être étais-ce une invitation à mon égard, car ils n’avaient pas cette position indécente à mon premier passage. Pendant quelques secondes j’ai cru que j’allais céder à la tentation.

Finalement je me retins et allai raconter super excité la scène à Pascale, qui était surexcitée par mes détails. Je lui défonçai la chatte et la sodomisai nos regards tournés dans leur direction. De temps en temps on voyait leurs têtes se soulever, nous matant et comme nous se prendre en levrette.


Le lendemain, Julien et Carole nous demandèrent pour s’installer à quelques mètres de nous. Nous fîmes connaissance nous racontant nos expériences libertines.. Ils nous remercièrent pour le spectacle offert la veille et nous proposèrent de faire l’amour devant nous en compensation. Ce fut notre tour de les mater tout en surveillant les alentours. Julien nous proposa même de les filmer avec leur caméra.

 

Après cette séance érotique, je remarquai que Pascale était excitée comme une petite puce, cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vue aussi excitée. Ses yeux pétillaient de désir pour Carole. Nos femmes tendrement lovées contre nous se lançaient des regards d’envie et d’invitation. C’est Carole qui provoqua les …. en invitant Pascale à se baigner avec elle. Ma chérie accepta avec joie et elles s éloignèrent se tenant enlacées.

- Pascale est bi ? me demanda Julien
- Oui bien sur, avec les femmes qui lui plaisent, et Carole la fait mouiller je l’ai remarqué.
- Carole aime prendre les initiatives, fais moi confiance.
Arrivées dans l’eau elles s’arrosèrent et très vite Carole enlaça Pascale et l’embrassa. Elles se roulèrent dans le sable mouillé. Pascale se laissait faire, offrait son corps à Carole, qui en profitait.

 

Nous étions allongés cote à cote à regarder ce spectacle touchant, cela m’avait donné une érection, qui ne laissa pas insensible Julien. Je le vis lorgner sur mon sexe avec envie, il allongea la main pour le caresser. Comme je ne dis rien, il le prit en bouche et me suça.

Quand nos chéries revinrent vers nous heureuses et rayonnantes, Carole nous proposa un petit jeu.
- Concours de pipe et de branlette dit-elle ajoutant
- Je règle une alarme pour dans environ dix minutes, en attendant Pascale et moi nous  vous suçons  et nous vous branlons . Interdit de jouir avant la sonnerie. Quand l’alarme sonne le premier homme qui gicle a gagné . Le couple perdant a un gage.
Excité par la pipe de Julien je gagnai le jeu d’un superbe jet, j’étais un peu avantagé car Julien avait joui un peu plus tôt devant nous avec Carole. Je me sentis soulagé d’avoir gagné car je craignais d’avoir un gage épicé de la part de Julien et Carole que je devinais plutôt pervers. Je me contentai de demander à Carole de venir me caresser le corps avec mon sperme. Bien sur elle ne se contenta pas de cela. Elle me montra ses talents de suceuse, redonna vigueur à ma bite qu’elle enfourcha en Andromaque se déhanchant sensuellement sur moi pendant que nous regardions Pascale finir Julien, qui résistait à sa masturbation et à ses succions. Ma chérie finit par le faire jouir bruyamment, elle récupéra son jus dans la paume de la main et lui fit avaler et lécher jusqu’à la dernière goutte. Je me doutais de cela ayant déjà subi cela de la part de Pascale.

 

Les jours qui suivirent furent moins osés, c’était le week-end et la plage retrouva son animation habituelle. Nous furent beaucoup plus discrets mais nous continuâmes malgré tout à faire l’amour sur la plage à l’insu des autres vacanciers.

Par kamasoutra
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Jeudi 21 août 4 21 /08 /Août 12:31

Elle passait l’aspirateur dans le couloir penchée en avant offrant aux regards indiscrets son superbe cul excitant. Sentant une présence l’observant, elle se retourna, s’écarta légèrement pour me laisser passer en me gratifiant au passage d’un sourire aguichant. Attiré par son visage d’ange, je la fixai d’un regard tendre et mielleux mais je ne vis pas le traineau de l’aspirateur et je butai dedans. Je me rattrapai et m’agrippai à ses hanches lui susurrant un "  oh excuse me, sorry "  Cela la fit rire et elle me débita une longue phrase en anglais dont je ne compris pas un mot. Amusée, elle me fit un au revoir de la main tout sourire. J’en ressortis tout troublé, cette fille était charmante, et manifestement j’avais le sentiment de ne pas lui être indifférent. Ces quelques jours dans ce coquet Bed & Breakfeast de Brighton s’annonçaient bien.
J’espérais séduire une anglaise pendant mon séjour dans cette ville: aurais-je trouvé ma victime ?

Le lendemain en fin de matinée, elle frappa à ma porte me faisant comprendre qu’elle voulait faire la chambre. Une nouvelle fois son sourire mit le feu en moi, je brulai intérieurement de lui arracher le tee-shirt, qui emprisonnait sa forte poitrine, mais je ne fis que répondre à son sourire, lui abandonner la chambre vide, lui offrir l’intimité de ma chambre et de mon lit en bataille. Je sortis l’imaginant renifler mon odeur dans mes affaires et dans mon lit encore chaud.
Arrivé en bas de l’immeuble je croisai la patronne qui sortait. Une idée me travailla l’esprit : et si je remontais dans la chambre et tentais ma chance avec ma délicieuse soubrette. Je remontai les escaliers et tout en réfléchissant à une excuse, il me vint en tête cette phrase de je ne sais plus qui "  le meilleur moment dans l’amour c’est quand on monte l’escalier ". C’est vrai, j’étais tout excité de penser à sa bouche, à ses seins, à son cul, à ses cuisses. Je m’imaginai la basculant sur le lit et enfilant sa petite chatte avec mon dard excité. J’avais le cœur qui battait très fort, et je bandais, je bandais très fort. Heureusement que mon short était large car inévitablement cela se remarquerait. Quand j’arrivai en haut la chambre était entrouverte, elle était en train de refaire le lit, je lui dis en mauvais anglais :
- J’ai oublié mon passeport.
Elle me sourit, je fis semblant de le chercher dans mon sac, et je la matai discrètement. Elle m’excitait avec sa jupe ample qui arrondissait son cul et la rendait encore plus excitante. Je m’imaginai soulevant sa jupe, baissant sa culotte et l’enfilant en levrette.
Elle me sortit de ma rêverie, quand elle me demanda :
- It’s OK ? Elle avait fini ma chambre.
Je lui répondis :
- Yes, Thanks.
Et j’en profitai timidement pour lui faire une bise en remerciement tout en installant mes mains sur ses hanches. Elle me répondit en me rendant la bise. J’en profitai pour plonger mes lèvres dans son cou tendre. Elle se laissa faire en gloussant, manifestement elle attendait mon initiative avec envie. Je prolonge mon baiser cherchant sa bouche et la pris dans mes bras. Nos lèvres se touchèrent, nos langues se caressèrent, nos salives se mélangèrent, nos mains explorèrent nos corps fébrilement, nos bas ventres se frottèrent, nos corps ondulèrent. Je caressai ses fesses et ses seins avec brusquerie comme le sont tous les affamés et je sentis sa main chercher ma bite. Elle plongea dans mon short et la dégagea en la massant sensuellement.

Pendant qu’elle me suçait je plongeai dans son tee-shirt, déballai sa poitrine que je caressai avec douceur, par moments je lui pinçai la pointe des seins la faisant gémir de plaisir. Elle aspirait ma queue avec ardeur et ronronnait aussi fort que son aspirateur.
Puis elle se dégagea, se retourna et me présenta ses fesses cambrant ses reins. Je humai sa petite culotte toute humide avant de la baisser. Quelques légers coups de langues la firent frissonner et lui donnèrent la chair de poule. Je réchauffai ce corps fiévreux en lui caressant les fesses. Elle se trémoussait sous mes doux lèchements gourmands de son jus acide.
Je l’entendis me dire impatiente :
- Fuck me quickly !!
Alors je l’enfilai sans rechigner et je sentis aussitôt la chaleur de son sexe brulant. Elle se déhancha et elle s’agita frénétiquement sur ma queue raide, j’avais du mal à la maintenir aux hanches tellement elle gigotait dans tous les sens. Sa danse endiablée nous fit jouir très vite. Elle sursauta et gémit sous mes giclées.

Nous restâmes une petite minute debout immobiles à reprendre nos esprits, puis elle se dégagea, lécha le bout de mon sexe et l’embrassa amoureusement du bout des lèvres.
Elle se rhabilla et quitta la chambre me laissant un dernier baiser :
– I wait you tonight at ten on the pier.
Je l’embrassai fougueusement en signe de réponse.

 

A l’heure dite Jane me retrouva sur le célèbre ponton, j’appris qu’elle se prénommait Jane. Elle me fit découvrir Brighton by night, m’emmena dans les endroits chauds et animés de la ville. De temps en temps elle se jetait sur moi et m’embrassait sauvagement telle une affamée. Nous avions du mal à nous comprendre, nos yeux étaient notre meilleur moyen pour nous exprimer. Le langage du désir et de l’amour. La bière dans les pubs faisait briller nos yeux et entretint notre complicité amoureuse.
Elle finit la nuit dans mon lit et nous fîmes l’amour jusqu'à l’épuisement testant avec bonheur de nombreuses positions du kamasoutra. Puis caresses et baisers nous entrainèrent dans le sommeil tendrement enlacés.
Au petit matin, elle s’esquiva pour aller retrouver son job. Je la retrouvai servant le petit déjeuner avec une mine fatiguée, des cernes ornaient ses yeux bleus, mais son sourire angélique était toujours la surtout à mon égard.

J’espérais la revoir et lui faire de nouveau un câlin lors de son passage pour le nettoyage de ma chambre. Hélas la patronne était dans les parages et surveillait son travail.

Par kamasoutra
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