Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 18:24

J’avais une collègue mariée, que j’essayai de séduire depuis quelques mois, mais elle m’avait fait comprendre à de nombreuses reprises qu’elle était fidèle. J’étais assez déçu, car nous étions très complices, elle ne refusait jamais une discussion coquine et j’avais souvent le sentiment qu’elle m’allumait.
Un jour alors que nous allions à Strasbourg par le train, j’avais une nouvelle fois essayé de la brancher sexe, nous avions deux heures à tuer, et une fois de plus, elle entretenait la conversation par des allusions excitantes. Je tentai de connaître ses fantasmes, elle me répondit laconiquement : faire l’amour le long d’une voie ferrée lors du passage d’un train, mais personne ne veut le réaliser avec moi. Je crus à une plaisanterie.

Je n’y avais pas pensé et cela m’excita, me donna envie de le réaliser, alors je lui dis OK je suis d’accord pour le faire avec toi à condition de passer une nuit d’amour avec toi.
Elle accepta à ma grande surprise, et me posa comme autre condition que cela se passe le jeudi suivant vers 19h à un endroit qu’elle aurait défini elle-même. J’étais assez intrigué, et la laissai conduire les opérations du déroulement de son fantasme.

Il avait fait chaud ce jour la, nous étions en juin, elle avait choisi un pré fraichement coupé au bord de la voie ferrée, d’où nous étions nous pouvions voir le train arriver, j’étais super excité. Quelques minutes avant l’arrivée du train on se déshabilla, et se mit nus. Élisabeth se mit à me caresser les couilles, à me branler et me suça avec fougue. Je frémis sous ses folles caresses. Puis elle s’allongea et me dit lèche moi le minou pendant que je guette le train, je te préviens de son arrivée, et quand je te le dis, prends moi en levrette. Je m’exécutai, et plongeai avec plaisir vers sa foufoune soignée mouillée d’excitation. Une odeur suave s’en dégageait et se mélangeait à l’air aux senteurs d’herbes sèches.
Je la broutais avec délices, lapant ses lèvres, aspirant son clitoris, fouillant de ma langue l’intérieur de son sexe, tout en lui caressant les fesses. Elle se tenait jambes écartées remuant du bassin, et gémissant de plus en plus bruyamment. Brusquement elle se retourna et me dit : le voilà, vite pénètre-moi, défonce-moi. Elle se mit en position à quatre pattes, je l’enfilai et je m’activai tout en la maintenant par les seins. J’avais du mal à suivre le rythme fou de ses coups de reins.




Et puis un grand bruit, le train passait à notre hauteur, nous sentîmes un courant d’air chaud balayer nos corps unis dans l’acte sexuel. Je me laissai aller ne contrôlant pas ma jouissance, je déchargeai mon jus sans pouvoir me retenir et sans me soucier du plaisir d’Elisabeth. L’excitation avait été trop forte, elle aussi avait joui très fort. Je fus rassuré sur ce point par sa manière gloutonne de me sucer après avoir repris ses esprits.

 La semaine suivante Élisabeth m’offrit la nuit d’amour promise, avec une surprise à la suite. Alors que nous nous remettions de nos ébats fougueux, elle me fit visionner une cassette vidéo. On pouvait voir le paysage défiler filmé depuis un train, et soudain un homme et une femme nus en train de faire l’amour à cinquante mètres de la voie ferrée. L’action dura seulement quelques secondes, mais je reconnus sans hésitations nos deux silhouettes de dos enlacées. Il est évident que de nombreuses personnes dans le train ont pu apercevoir cette vision fugitive.

Elle avait fait un pari avec une copine, et bien sur avait gagné.

Par kamasoutra
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Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 12:19

Odile  était une belle brune de 35ans  avec qui je n’avais jamais eu l’occasion de faire l’amour. Je l’avais rencontrée chez des amis. A cette époque là, elle était comme moi divorcée et libre. Nos rapports étaient cordiaux et amicaux. Elle me taquinait souvent quand nous étions en groupe comme si elle cherchait à me provoquer. Un jour je lui répondis en plaisantant, qu’elle mériterait une bonne fessée comme on faisait autrefois aux enfants qui n’étaient pas sages, une fessée culotte baissée. A ce mot de fessée je vis son visage s’illuminer, ses yeux pétiller. Mes copains me conseillaient plutôt de lui donner un bon coup de bite. Je n’étais pas chaud pour la draguer, j’avais envie de garder mon indépendance, et je devinais en elle une femme collante et possessive.

Ce soir la nous avions tous bu plus que de coutume, et étions plutôt chauds et excités. Odile évidemment m’avait taquiné à de nombreuses reprises. Il était temps que je lui donne la leçon qu’elle méritait et qu’elle cherchait. Tout le monde me mettait au défi de le réaliser et m’incitait à leur offrir un spectacle excitant. Je profitai d’un moment d’inattention de sa part pour le maitriser. Ce soir la elle portait une jupe droite serrée et un bustier contenant avec difficulté sa grosse poitrine.

Je l’avais basculée sur mes genoux moi-même installé confortablement sur le canapé, je lui maintenais les bras derrière le dos, elle gigotait, se débattait sans trop d’énergie pensant que je faisais semblant, elle paraissait se complaire dans ce jeu de caresses mutuelles . Je la maitrisais bien , je lui caressais les fesses à travers la jupe, lui donnai des petites tapes, rien de bien méchant.




Bien sur l’entourage criait "sans culotte, sans culotte". Les hommes surtout avaient envie de se rincer l’œil et de voir la chatte et le cul d’Odile. Je faisais durer le suspens. Je la maintenais bien et lui caressais les fesses avec douceur, et de temps en temps j’exerçai de petites pressions discrètes sur son anus qu’elle ne manquait pas de ressentir, et je balançais son bas ventre sur mon genou.  Les boutons de sa jupe étaient justes devant moi, j’étais tenté de les dégrafer. J’en enlevai un, puis 2 puis 3, et enfin le dernier, passai ma main sous la jupe, sentis la douceur de sa peau, enfilai un doigt dans la raie des ses fesses jusqu’à sa chatte que je sentis mouillée. Odile se débattit et criait "NON".
Elle commençait à se rendre compte , que j'irai jusqu'au bout de mes envies. Je retirai ma main et fis glisser la jupe, le bas des reins d’Odile apparut, son string en dentelle noire aussi, nous commencions tous à être émoustillé par ce strip-tease involontaire.  Je sentais sa forte poitrine frotter contre ma cuisse.
J'avais une superbe erection, Odile devait sentir mon membre dur contre son ventre.

Elle avait des fesses bien rondes, bien charnues et dodues, agréables au toucher, j’écartai la jupe qui tomba à ses genoux offrant une vue superbe à mes amis. Odile essayait de se dégager, mais je la maintenais fermement et commençais  à lui donner des claques douces sur les fesses , puis appuyées et enfin fermes. De temps en temps je glissai  un doigt dans la raie de ses fesses que je sentais se contracter, je profitai de ma position dominante, descendant même ma main jusque sa chatte qui était mouillée. Je demandai qui veut sentir. ? Bien sur les hommes étaient aux premières loges.Elle avait des fesses bien rondes, bien charnues et dodues, agréables au toucher, j’écartai la jupe qui tomba à ses genoux offrant une vue superbe à mes amis. Odile essayait de se dégager, mais je la maintenais fermement et commençais  à lui donner des claques douces sur les fesses , puis appuyées et enfin fermes. De temps en temps je glissai  un doigt dans la raie de ses fesses que je sentais se contracter, je profitai de ma position dominante, descendant même ma main jusque sa chatte qui était mouillée. Je demandai qui veut sentir. ? Bien sur les hommes étaient aux premières loges.

Plus Odile se débattait, et plus j’avais envie d’aller plus loin. Odile se retrouva les fesses à l’air, elle serrait les genoux afin de cacher son intimité, et je sentais ses fesses contractées.
Je me retrouvai avec plusieurs ustensiles pour lui donner la correction, mes mains bien sur, un martinet héritage du temps de notre jeunesse, une cravache, une raquette de ping pong  fournis par Martine maitresse de maison très copine d'Odile, apparament adepte de la fessée. Je les utilisais en alternance. Je me rendis vite compte que les fesses et les cuisses d’Odile devenaient vite roses puis bien rouges. Ses gémissements et ses pleurs s'amplifiaient aussi au rythme  des allées et venues, et étaient pour moi comme des encouragements à lui donner du plaisir jusqu'à l'orgasme.

Pour que la punition soit totale je demandai à tout le monde de participer à la fessée et chacun et surtout chacune y alla de bon coeur sur les fesses d'Odile. Martine nous montra ses amitiés particulières avec la punie allant jusqu'à lui lécher la chatte et lui embrasser les fesses brulantes.
Odile fut vexée d'avoir été l'objet de cette humiliation publique et nous bouda quelques semaines. Je fus tranquille, elle ne me taquina plus, car en plus je l’avais menacé de recommencer à la prochaine méchanceté.

 Un an  plus tard, j’eus l’occasion de me retrouver seul avec elle dans son appartement, comme j’avais mal au dos, elle me proposa de me faire un massage. Je m’installai le dos nu sur son lit. Ses mains douces  procurèrent énormément de bien à mes vertèbres douloureuses. Elle profita de mon abandon total pour m’attacher à son lit. Elle me rappela ce jour où je l’avais humiliée devant tous nos amis en lui donnant une fessée. Bien sur ce souvenir étant bien présent dans mon esprit. Elle décida de se venger. Mais là j’étais consentant, et il n’y avait pas de public. Alors ce ne fut qu’une demi-vengeance, mais je pus quand même apprécier sa fessée érotique agrémentée de quelques doigtages et punitions physiques.

Ensuite bien sur après  nous fîmes l’amour, l’envie était réciproque, et la fessée nous avait terriblement excités.

 

Par kamasoutra
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Lundi 31 mars 1 31 /03 /Mars 18:04

De notre groupe d’une dizaine de copains ce weekend là,  Monique et moi étions les seuls à rester à Paris. Quand elle me proposa d’aller au cinéma le samedi soir revoir "L'Empire des sens " avec sa sensuelle fellation, je n’étais pas très chaud mais je n’eus  pas le courage de lui refuser. Monique était une brune aux cheveux mi-longs, un beau corps, mais des yeux foncés tristes, et elle avait les mains moites. Personne dans le groupe n’était sortie avec, c’était une copine sympa et gentille, mais elle ne nous faisait pas frissonner d’envie. Pourtant je fantasmais beaucoup sur Monique, je me masturbais souvent en pensant à elle, et elle me suscitait de superbes jouissances. Mais en sa présence mes envies et mes pulsions retombaient. J’y pensais souvent quand je la voyais et je ne parvenais pas à m’expliquer la raison.

 

Ce soir-là Monique portait une mini jupe plissée au dessus du genou. Assise je pouvais admirer ses superbes cuisses galbées. Je lui jetais de temps en temps des regards furtifs d’envie, elle s’en apercevait et à chaque fois elle me souriait. Dans l’obscurité, mes fantasmes et mes envies avec Monique me reprenaient, et de plus excité par les images de cette pipe sensuelle à l’écran mes sens  et mon corps s’échauffaient, j'aurais aimé être sucé par cette geisha, qui nous excitait à l'écran.


 

Je m'aperçus que Monique avait mis sa main gauche sous sa jupe, et je guettais pour voir si elle se caressait. Nous étions peu nombreux dans la petite salle de cinéma, on s'était installé au fond à l'écart bien isolés des autres spectateurs. Il y avait toutefois un couple deux rangs plus bas enlacés tendrement. Je  fis une tentative d’approche, en direction de sa cuisse tout en fixant l’écran. Elle ne me repoussa pas, au contraire je sentis ses cuisses s’écarter comme pour m’accueillir. Je la caressai doucement, sa peau était aussi douce que du satin et très agréable au toucher. Je m’aventurai vers sa petite culotte, rejoindre sa main. Je la sentis bien installée sous son slip pianotant sa chatte les yeux fermés. Monique se laissait faire, cela m’encouragea.

Je me penchai vers elle cherchant son cou à  embrasser, mais elle ouvra les yeux et  m’offrit sa bouche. Nous nous embrassâmes tendrement, pendant que ma main droite vint rejoindre la gauche sous sa jupe. Je lui proposai : " enlève ta culotte, tu seras plus à l’aise" .

Elle s’exécuta sans rechigner amusée regardant à droite et à gauche. Je l’aidai et récupérai son slip humide que je reniflai avec plaisir, une odeur de mouille chaude excitante  s’en dégageait.

Nous nous caressions mutuellement. Ma  gauche pénétrait sa chatte mouillée, sa droite me caressait mon pantalon prêt à craquer, ma bite bandait fort. Je dus l’aider à  dégrafer les boutons. Ses doigts fins et agiles extrairent ensuite avec facilité mon jouet, et elle se mit à  branler doucement ma tige avec deux doigts. Sa main moite ne m’était plus désagréable au contraire, je la désirais ferme sur ma queue.  J’étais au paradis, je ne m’attendais pas à cela en venant au cinéma avec elle, et je ne regrettais plus d’avoir  accepté à contrecœur. Peut-être avait-elle une idée derrière la tête  en me proposant de revoir ce film. De temps en temps je guettais à droite une éventuelle arrivée. Mon blouson posé en boule sur le siège voisin à ma droite protégeait mon sexe des regards éventuels. Ma bite se dressait en attente d’être avalée par sa bouche, elle me donnait des coups de langue qui me faisaient frissonner de plaisir, me léchait les couilles, l’attente me parut interminable, allait elle me faire jouir dans sa bouche ? J’haletais, ma respiration s’accélérait.  J’avais le cœur qui battait à 150 à l’heure. Alors je retirai ma main mouillée de sa chatte, la léchai avec délice devant son regard mutin, lui prit la tête que j’attirai vers mon sexe, elle ne résista pas et le happa, je sentis une chaleur humide m’envelopper le bout. Quel délice, elle l’avait pris en bouche comme une sucette, aspirait avec ses lèvres et léchait le bout avec sa langue, ramenant de temps en temps sa salive chaude. Moi pendant ce temps ma main caressait  avec douceur ses fesses rondes lisses, et vagabondait entre  la raie de ses fesses et sa chatte.

Je gémissais de plaisir et l’encourageai du geste à me pomper pour me faire jouir, mais elle maintenait ma bite enserrée dans sa main évitant une gorge profonde et ne me suçait que le bout. Sentant ma jouissance monter, elle agita mon manche tout en caressant mes couilles. Je ne résistai pas longtemps à ce doux supplice, et lui lâchai une giclée de jus dans la bouche en poussant  un râle de plaisir, poussant d’une main  sa tête à avaler mon sexe et malaxant de l’autre ses fesses rondes et fermes. Le couple se retourna surpris, ne vit rien et se replongea dans le film.

 Monique  laissa retomber le sperme qui  coula sur ma bite tout en continuant une lente masturbation de ma queue, qui ramollissait.  J’en avais partout, j’étais trempé, elle m’abandonna dans cet état, se remit dans son siège, repris sa masturbation regardant le film.

 

 Je ne voulus pas avoir l’air d’un égoïste, alors je me mis accroupis entre ses jambes, plongeai la tête sous sa jupe et partis à la conquête de son intimité. Je sentais son bassin remuer, son sexe venir à la rencontre de ma bouche. J’avais la tête prisonnière de ses mains et de ses cuisses tel un vibromasseur qu’elle agitait dans sa chatte. Elle était super excitée. Mais la position n’était pas idéale, et j’étais trop grand. Je dus renoncer et me contenter de la masturber avec mes doigts. Je lui donnai la jouissance qu’elle avait méritée dans son lit. Je ne l’imaginai pas si gourmande et si salope. Quelle nuit tu m'as offert!! .

Par kamasoutra
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Mercredi 19 mars 3 19 /03 /Mars 19:05
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Je dédie cette expérience à Nathy dont c’est le fantasme d’être prise par plusieurs hommes. Je la remercie de m’avoir envoyé la photo de sa chatte pour illustrer mon histoire.

 

J’avais répondu à une petite annonce sur un site X minitel. Un homme marié cherchait plusieurs hommes virils Bcbg quarantaine pour donner du plaisir à sa femme lors d’une soirée conviviale. Cet homme m’avait téléphoné pour me donner des détails et voir si je correspondais au profil recherché. Après avoir satisfait à nombre de questions, il me proposa de participer à la soirée prévue le mercredi soir suivant .
Ils habitaient une superbe maison moderne chichement décorée dans une petite ville en Moselle. Je fus le dernier à arriver, Philippe le mari bedonnant et jovial me présenta mes 2 compagnons de soirée Denis et Alain. Il nous avait choisis tous les trois dans le même style BCBG et environ 35-40a.


Sa femme Bernadette nous apparut un peu plus tard superbe dans une robe légère noire, fendue au milieu laissant entrevoir ses superbes jambes gainées de bas résilles. Elle était brune aux cheveux longs frisés, avait la peau mate et lisse et de superbes yeux verts. Elle avait des airs d’ Ava Gardner.
Philippe nous servit le Champagne en apéritif et anima la conversation dans un cadre très intimiste : lumière tamisée, chandelles et musique douce. Nous trois n’avions d’yeux que pour Bernadette et ses formes généreuses. Ses yeux pétillaient de désir pour les 3 hommes offerts à ses fantasmes. Philippe nous donna carte blanche pour donner un maximum de plaisir à Bernadette dans le respect , la sensualité et la non-violence.
A chaque déplacement de Bernadette nous recevions les effluves de son parfum délicat et enivrant. De son décolleté provocant débordait une poitrine généreuse, dont les tétons durcis par l’excitation perçaient la robe légère.

Pendant que Philippe nous entretenait de divers sujets, Bernadette nous invitait à tour de rôle à danser slow ou danse endiablèe avec une sensualité sans égal. Sa robe si fine laissait deviner ses charmes. Je me rendis vite compte qu'elle ne portait ni soutien-gorge, ni petite culotte? juste des bas et porte-jarretelles. Elle nous donna vite le ton de ses envies. Ses caresses, ses effleurements, et ses baisers étaient autant d'invitations au plaisir sans équivoques. Mes scrupules et ma pudeur tombèrent très vite pour satisfaire ses désirs. Il ne fallait pas décevoir Bernadette, et bien sur en profiter au maximum de cette soirèe magique et irréelle. Elle ne cessait de me caresser avec sensualité le torse, les fesses, le bas du ventre, et de temps en temps glissait sa main dans ma braguette, puis dans mon slip pour récupérer la mouillure de mon sexe et  la léchait  avec gourmandise.
Pendant le repas, Bernadette joua le rôle de la soubrette, elle avait enlevé sa robe et nous servit en petite tenue avec un ensemble guêpière, porte-jarretelles et bas résilles. Elle avait la chatte à l’air et les seins, qui débordaient de son bustier . Elle passait entre nous, nous offrant ses tétons à sucer et à lécher, sa chatte soyeuse à caresser, son trou humide à doigter et à lécher, ses fesses fermes à masser. Elle picorait dans notre assiette pendant que nous caressions ses fruits délicieux.
Alors que nous buvions le café et dégustions le dessert au chocolat, Bernadette se faufila sous la table , à l’abri de nos regards nous déshabilla et se mit à caresser, à lécher, à sucer nos bites nues, qu’elle sollicitait en alternance. Son petit jeu dura un bon moment, Philippe nous parlait toujours, mais nous avions du mal à suivre la conversation sous l’influence de ses faveurs.

  Bernadette nous invita ensuite un par un à lui faire l’amour à notre fantaisie, je choisis la levrette j’appréciai beaucoup son coup de rein endiablé et son déhanchement. Alain plus sportif la prit debout, la faisant sauter sur sa longue queue . Denis se fit plus classique et la prit en missionnaire prisonnière.

   Pour finir elle voulut être prise par nos trois en même temps, décida qu’Alain avec sa bite longue et fine la sodomiserai, désigna ma banane recourbée pour ramoner sa chatte et garda la queue trapue aux couilles pendantes de Denis pour sa bouche gourmande. Elle donna le tempo de nos allées et venues, et nous suivions le rythme de ses gémissements veillant à ne pas être en avance sur elle, ne pas jouir trop vite, trop tôt. C’était elle la maîtresse de toutes nos jouissances.

Allongée sur le canapé, prise par derrière par Alain, qui lui pétrissait les fesses, elle s’accrochait aux couilles de Denis, qui bramait comme un cerf en rut, aspirant sa queue dans sa bouche gourmande. Moi je la tenais jambes écartées j’allais et venais lentement dans sa chatte rendue étroite par la présence d’Alain dans son cul. Elle tressaillait et gémissait sous nos coup de boutoirs répétés. Nous l’encouragions de la voix à jouir.
De temps en temps Philippe prenait sa caméra et filmait Bernadette en action pompant ardemment la queue libre et se faisant défoncer par les deux autres. Elle ne se libéra que quand Denis lui gicla son sperme dans la bouche. Alors son cul et ses reins accélérèrent la cadence et nous firent faillir notre foutre. Ce fut un concert de râles et de gémissements . Après avoir enlevé nos capotes elle finit par le nettoyage de nos outils se délectant de notre sperme et nous adressa ses dernières caresses à nos couilles …vides

 

  Je participai à une autre soirée gang-bang chez Philippe, qui nous convia tous les trois avec 4 autres hommes pour fêter dignement les 40a de Bernadette. Cette fois là nous firent jouir Bernadette chacun à notre tour.
Puis Bernadette fut allongée sur une petite table, Philippe lui défonça la chatte pendant que nous faisions cercle tous debout autour d’elle. On se masturbait dirigeant nos bites raides vers elle, qui nous avait à portée de main et nous touchait les couilles.
Ce fut Philippe qui nous donna le signal de jouissance. Ce fut alors un feu d’artifice de jet de sperme, chacun à notre tour nous déchargions notre semence chaude sur Bernadette, qui bouche grande ouverte en reçut partout. Nos seize mains répandirent sur son corps notre liquide gluant la massant avec sensualité et délicatesse. Une lourde odeur de foutre flottait dans la pièce. Bernadette termina son festin sexuel en léchant nos queues dégoulinantes de jus.

 


Par kamasoutra
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Vendredi 14 mars 5 14 /03 /Mars 18:19
Proposer à inconnue de faire l’amour

Voilà un jeu sexuel que j’aimais beaucoup avec mon copain Michel : proposer à une femme accostèe dans la rue de faire l’amour. C’est un gag que nous avions vu dans un film avec Michel Giraud. Alors un jour nous nous mîmes au défi de le réaliser.

Mais le plus amusant et intéressant c’était la réaction des femmes, qui étaient diverses et parfois imprévisibles. La plupart bien sur s’offusquaient de notre démarche et nous répliquaient vendicatives : ca va pas la tête ? , ou espèce de débile, taré, détraqué, malade mental, grossier personnage, va te faire soigner, tous les noms d’oiseaux pleuvaient. Plus la réaction était épidermique, plus nous étions amusés, alors attention aux baffes si vite envoyées.
D’autres prenaient cela avec détachement, ignoraient notre demande, haussaient les épaules et passaient leur chemin imperturbables.
Certaines refusaient poliment avec le sourire et une pointe d’humour: impossible j’ai mes règles, j’ai rendez vous avec mon amant, ou encore je viens de le faire il y a 5minutes alors une autre fois.
D’autres faisaient planer le suspens posant des questions : on va ou ? Combien de temps ? Vous faites bien l’amour ? Vous êtes monté comment ? 
Quelques unes plus pragmatiques étaient d’accord et avec aplomb réclamaient 150euros.


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Les jolies femmes n’étaient pas nos seules cibles, nous le proposions aussi à des femmes laides ou sans attrait physique. En fait chacun désignait à l’autre à tour de rôle la personne qu’il devait inviter. Parmi celles qui nous firent le bonheur d’accepter, il y en eut si peu, les doigts de la main étant suffisant pour les compter, signalons Audrey, qui dans un 1er temps refusa poliment, nous observa un long moment en retrait, puis revint nous voir pour nous faire savoir qu’elle acceptait. Elle voulut même le faire avec nous deux. Ce fût un trio endiablé.
Il y eut aussi Gilberte âgée de plus de 15 ans que Michel, superbement conservée, très BCBG dans son tailleur Chanel, qui exigea d’aller boire un café avant à la brasserie toute proche, où elle se montra très câline avec Michel. Manifestement elle avait envie de s’afficher publiquement en compagnie galante.
Hélène divorcée depuis peu et très en manque de câlins d’après Michel fût sa 3ème victime.
Moi j’eus la chance de tomber sur une jolie femme mariée à un homme volage, l’occasion était trop belle pour elle de se venger des infidélités de son mari. Il faut savoir être là quand il faut. J’eus ce bonheur avec Aurèlie. Et je pus constater que les femmes cocues sont délicieusement tendres et câlines.
Nadège accepta avec beaucoup de chichis, mais ensuite j’eus toutes les peines du monde à lui faire comprendre que je ne cherchais qu’une aventure sans lendemain.

Finalement victoire de Michel, qui me battit : 3 succès à 2.

Si vous voulez tenter l’expérience Messieurs, faites preuve de persuasion, d’humour, de ténacité, et de patience, je suis sur que vous récolterez de beaux fruits de la passion.
Quant à vous Mesdames, si on vous le propose, acceptez si le monsieur vous plaît, ce serait dommage d’avoir des regrets après, et si le monsieur ne vous plaît pas tendez-lui un piège. Dans tous les cas montrez-vous joueuse.
La vie n’est qu’un jeu.

 

 Nous avons recommencé l’expérience dans une boite de nuit, là aussi ce fut très amusant, car toutes les femmes à qui nous avons posé la question nous regardaient faire ensuite se demandant si nous allions réussir à trouver une femme consentante. Là ce fût un échec total, mais nous sommes sortis de la boite la tête haute avec chacun une femme à nos côtés sous leurs regards ébahis et jaloux peut-être. Mais elles ne surent pas que c’étaient 2copines complices de notre jeu.

 

Par kamasoutra
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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 07:29
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La position préférée de ma femme

Voila une position que j’apprécie beaucoup, car je sais qu’elle donne énormément de jouissance à ma femme.
Pour ceux qui ne la connaissent pas, l’homme est allongé sur le dos, et sa partenaire le chevauche agenouillée ou accroupie le buste redressé . Dans cette position la femme peut assouvir son fantasme de domination sur l’homme. C’est elle qui dirige les ébats par ses mouvements de hanches et de reins, qu’elle impose au rythme souhaité pour l’amener à l’orgasme. Elle a la maitrise de l’acte sexuel.

L’homme n’est pas totalement prisonnier, au moment crucial il a toujours la possibilité d’accélérer la cadence en donnant des impulsions avec ses pieds qui ont la liberté suffisante pour soulever sa partenaire, tout en la maintenant avec ses mains.

La position d’Andromaque est la plus propice à la stimulation du point G, car elle sollicite l’avant du vagin. De plus elle permet toutes les caresses appréciées par les femmes: les cuisses, les fesses, les reins, les seins, le clitoris et le mont de Vénus peuvent être facilement caressés avec douceur et sensualité par les mains de l’homme, qui peut aussi lui lécher et aspirer ses tétons, qui pointent devant sa bouche.

Elle favorise le frottement du clitoris contre le pubis de l’homme.
Elle permet un moment de tendre complicité amoureuse, car les 2 amants se font face, et peuvent se regarder, se sourire, se parler les yeux dans les yeux, se voir jouir.
C'est la position idéale pour ceux et celles, qui aiment faire partager leur plaisir.

Quelques petites variantes:
Elle se penche en avant et s’allonge sur son homme soumis jambes écartées, c’est la revanche du missionnaire.
Elle se renverse en arrière se maintenant sur les pieds de son partenaire pour donner une impulsion plus intense.

Par kamasoutra
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Jeudi 6 mars 4 06 /03 /Mars 18:09
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Aujourd’hui nous fêtons les Colette, c’est pour moi l’occasion de me souvenir d’une Colette avec qui j’ai fait l’amour dans le train : un fantasme classique et très recherché par les hommes.
Nous revenions d’un stage de ski dans les Alpes, j’avais 25a, Colette 20a, elle était du Nord et avait un petit ami, dont elle se disait très amoureuse. J’avais tenté de la séduire pendant toute la semaine avec hélas peu de réussite, elle n’avait accepté que quelques baisers et quelques caresses. Pourtant elle semblait attirée par moi et recherchait ma compagnie.

Nous sommes rentrés sur Paris en train couchettes. Bien sur j’ai tout fait à avoir la couchette au dessus d’elle, et je suis venu la rejoindre assez vite. Tout le monde était fatigué dans le compartiment après cette semaine de ski et dormait sauf sa copine chandelle, qui ne cessait de nous guetter de sa couchette voisine. Nous nous sommes recouverts de la couverture, et ainsi cachés je pouvais la caresser, je sentais qu’elle avait envie de moi bien qu’elle s’en défendait. Moi je me disais que j’avais la nuit pour y parvenir, et je fis preuve de patience, m’aventurant petit à petit, défaisant de temps en temps un bouton par ci, un bouton par la. Le bruit du train et la semi-obscurité étaient mes alliés. Je finis par caresser ses petits seins excités et durs, et à accéder à l’intérieur de sa petite culotte. Elle avait du mal à s’abandonner à mes tentatives de caresses, et je devais ruser pour progresser, tantôt ses seins, tantôt sa chatte.

Nos caresses furent interrompues par l’arrivée inattendue du contrôleur amusé de voir la tenue débraillée de Colette. Il devait avoir souvent l’occasion de voir des situations insolites avec des couples et s’amusait je pense d’arriver à l’improviste.

Après cet intermède, qui refroidit un peu les ardeurs de Colette, j’essayai de reprendre position dans son intimité. Je tentai de diriger sa main vers mon sexe, mais elle refusait préférant protéger le sien. Au bout d’un moment camouflés sous la couverture j’avais réussi à dégrafer son soutien gorge et à baisser son jeans jusqu’aux genoux, moi aussi ayant baissé le mien, nous étions cuisse contre cuisse, ma bite dure frottant contre ses fesses. Elle résistait à mes avances, mais je savais qu’elle allait céder, de temps en temps je réussissais à glisser un doigt dans sa fente mouillée et visqueuse, je lui murmurais à l’oreille mes envies . Elle me répondait hélas : non pas ici, on pourrait nous voir d’une voix laissant entendre oui j’aimerais mais je n’ose pas, alors je me faisais tendre, me contentant d’un doux et long baiser, mais aussitôt je repartais à l’assaut essayant de baisser son slip. J’y parvins enfin l’empêchant avec ma jambe entre ses cuisses de le remonter. J’avais sa chatte à portée de main. Pendant que je me masturbai avec sa main gauche, je lui caressai le clitoris avec nos deux mains droites enlacées. Je commençais seulement à la sentir se libérer et accepter mes caresses. Je me contentai pendant un moment de cette masturbation pensant qu’elle lui donnerait envie d’aller plus loin. Je lui demandai tout doucement dans l’oreille de me sucer. Elle refusa une fois de plus, alors je me dégageai et plongeai ma tète entre ses cuisses sous la couverture et je me mis à la lécher, ses mains essayèrent de m’en empêcher, alors je lui maintins les mains et je pus agir comme j’en avais envie. Je la sentais se trémousser, se raidir par moments, elle n’osait pas exprimer sa jouissance, j’en profitais au maximum. J’avais chaud sous la couverture j’étouffais, mais mon plaisir était immense. Sa chatte était parfumée et mouillait beaucoup, j’avalais sa mouillure, je pénétrai ma langue dans sa chatte, j aspirai son petit clitoris dur à force d’être caressé. Ses mains se crispaient contre les miennes. Je la sentais proche de la jouissance, alors je me relevais vers elle tout en lui maintenant les mains, ma bouche mouillée de son jus vint prendre sa bouche.
Elle essaya de se dégager, mais ma langue fouillant sa bouche la dissuada. Elle ne pouvait plus bouger, j’étais allongé sur elle, mon sexe dur frottant sur son sexe maintenant son excitation et cherchant l’entrée. Un petit coup de rein me permit de la trouver, je m’enfonçai doucement en elle, et sentit sa chaleur intime, elle tressaillit, je m’arrêtai car je sentais ma jouissance venir, j’essayai de me retenir. Une fois calmé je repris mes allées et venues lentement maintenant bien Colette contre moi, le balancement du train et son bruit sourd nous garantissaient une certaine discrétion.

Mais Anne sa copine ne dormait pas, je le voyais elle nous matait dans l’obscurité, je lui adressai de temps en temps un petit sourire pour lui montrer que je voyais son petit jeu. Je crois bien qu’elle se masturbait en nous regardant. Colette se laissait faire maintenant, je ne sentais plus de résistance de sa part, mais elle se cramponnait à moi et me serrait fort. Mon excitation montait très fort et quand je sentis que j’allais éjaculer je l’embrassai sur la bouche pour lui communiquer ma jouissance et étouffer ses gémissements. Je restais immobile un long moment le temps de reprendre mes esprits, elle était toujours passive, je lui demandai si elle avait joui ? Elle me répondit oui. Je me retournai sur la couchette tout en restant en elle, je lui caressai le dos et les fesses lascivement sous la couverture. J’avais envie qu’elle suce et me lèche, je lui demandai, elle refusa, alors je la menacerai de la découvrir. Elle accepta à contre cœur, elle descendit tout doucement sous la couverture et me suça du bout des lèvres. Je lui maintenais la tête avec mes deux mains et je lui imprimai le mouvement à faire, mais rien à faire elle ne voulait pas bouger gardant juste mon bout enfoncé dans sa bouche, et donnant par moments juste quelques coups de langue.
Nous sommes restés enlacés le restant de la nuit , je la caressais , par moments je titillai ses seins et son minou , mais elle était à moitié endormie, et ne répondait plus à mes sollicitations.

Au petit matin Colette était gênée, car elle ne retrouvait pas sa petite culotte. Elle dut remettre son jeans sans slip ne comprenant pas ou il pouvait être et n’osant pas avouer aux autres ce qu’elle cherchait. Je lui avouai plus tard par courrier que je l’avais cachée dans ma poche la gardant en souvenir. Cela l’amusa et elle reconnut qu’elle avait ressenti une excitation particulière à ne pas porter de slip sous son jeans. Je l’incitai à ne pas en mettre sous ses jupes. Moi je flairai longtemps sa petite culotte, qui avait gardé l'odeur de sa chatte. Je me masturbai en pensant à   cette situation excitante.

Avec Colette, je compris qu’avec nombre de femmes il fallait oser et insister même si elles disaient NON, car souvent elles pensaient OUI. La patience et la ténacité sont 2 grandes qualités quand on veut séduire.
Ah la psychologie féminine !!!!

Bonne fête Colette

 




Par kamasoutra
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Vendredi 29 février 5 29 /02 /Fév 18:40

Je ne suis pas homo, mais il est vrai que depuis le service militaire je ressentais des envies nouvelles, des pulsions qui hantaient mes rêves érotiques. J’avais envie d’un homme. Je m’imaginais le caresser, le sucer, l’enfiler, le faire jouir, et lui me faisait de même. Pourtant quand j’étais en présence d’hommes ces fantasmes disparaissaient et je ne comprenais pas que je puisse avoir ce fantasme. Je ne me voyais pas le réaliser. J’étais souvent contacté sur minitel par des hommes dans les sites de dialogues que je fréquentais, je répondais rarement car la plupart proposaient des plans culs homo sans le moindre érotisme. Gèrome lui était différend, il me parlait de ses envies mais aussi de ses difficultés à rencontrer des femmes. Et nous avons sympathisé.

Un samedi soir alors que je ne pouvais pas sortir, j'étais en dialogue avec lui sur notre site et il me proposea une petite soirée à 2 à visionner des photos et films pornos, à se caresser et à se sucer. Je finis par luidire demain soir peut-être. Le lendemain  soir je lui téléphonai pour lui dire que j'acceptai sa proposition  de le rencontrer histoire d’oublier ce week-end insipide sur le plan sexuel. Il m’invita chez lui. C’était un garçon au physique agréable un peu timide, 15ans plus jeune que moi, il avait de la fraîcheur dans l’âme, le feeling passa très bien tout de suite entre nous. On se raconta notre petite vie sexuelle tout en regardant son écran d’ordinateur qui laissait défiler des photos d’hommes et de femmes nus. Il me confirma qu’il aimait sucer des bites. Il me mit en confiance car je le sentais soumis et prêt à accepter ce que je lui demanderai. 
Je lui proposai un jeu érotique : enlever le slip de l’autre uniquement avec la bouche sans s’aider des mains, celui qui échoue à un gage. Bien sur j’étais entraîné à ce jeu, l’ayant déjà proposé à des femmes, j’étais sur de gagner. Evidemment il ne réussit pas à enlever mon slip, moi en moins de 2minutes j’avais mis à nu son sexe tout en prenant le temps de le flairer, de le lécher, de le mordiller à travers le tissu pour le faire gonfler.
Il se soumit bien volontiers à mon gage : accepter mes envies sexuelles  avec lui pour la soirée. Je commençai par lui bander les yeux et je me mis à le caresser doucement sur les parties sensibles de son corps, il frémissait de plaisir à chaque attouchement. J’admirai son corps jeune offert à ma vue et à ma bouche inexpérimentée. Je pris son sexe en main et me mis à le lécher, à le sucer comme j’aurai aimé l’être c’est à dire avec beaucoup de sensualité. Sa verge mouillait beaucoup et avait une odeur d’une douceur exquise. Je prenais mon temps et faisais durer mon plaisir, qui était aussi le sien. Je jouai avec sa bite, que je branlai avec vigueur, mais hélas il ne sut pas se retenir et je vis deux jets de sperme jaillir. J’étais un peu décu de n’avoir pu le sucer plus longuement, alors pour le punir je lui fis lécher et avaler son sperme recueilli dans ma main. Il ne refusa pas et apprécia beaucoup  léchant mes mains avec délice.
Après lui avoir redonné la vue, je décidai ensuite de lui raser le sexe, les couilles, et l’anus entièrement, il n’était pas très poilu mais je trouvai cela tellement plus agréable à caresser et à lécher. Je lui demandai d’en faire de même avec moi . 
Nos sexes qui se frottaient sur une peau douce, lisse et imberbe de poils cela nous donna une sensation de plaisir intense .

Quand moi je fus bien chaud, je lui demandai de me sucer et de me faire jouir dans sa bouche. Je sentis très vite que je n’étais pas la première bite qu’il dégustait. Il était expert dans l’art de sucer alliant douceur et rapidité. Sa langue léchait avec autant d’ardeur que ses lèvres pompaient mon gland. Je me laissais aller à ses douceurs buccales. Ma verge maintenue par sa main gauche coulissait avec bonheur dans sa bouche alors que les doigts de sa main droite caressaient mes couilles avec délicatesse. La pression montait doucement en moi, j’avais le feu aux joues. Je me retenais pour ne pas jouir trop vite. Mes doigts agrippés à ses cheveux imprimaient le rythme et donnaient les accélérations nécessaires à l’apparition de mon orgasme. Mes gémissements lui firent comprendre sa venue imminente. La pression de ses lèvres s’accentua et quand je giclai par saccades dans sa bouche je le sentis m’aspirer le gland et tétaniser mon sexe. Je me raidis sous cette sensation violente. Il tira sur mon sexe de bas en haut pour faire remonter les dernières gouttes de sperme qu’il lécha avec gourmandise. J’avais joui en lui et le traitai de petite salope soumise, il en rit et apprécia mes railleries en bisoutant le bout lisse et rougeoyant. 

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Alors pour le remercier de cette jouissance, je décidai de l’enfiler.

Je lui demandai de se mettre en levrette sur son canapé et commençai à lui caresser les fesses, les reins, les couilles et de temps en temps je lui branlai la bite pendant que mon bout que je venais de protéger d’un préservatif lui caressait la rondelle. Je lui lubrifiai le trou, que je vis s’ouvrir sous mes pressions. Ma bite raide mais moins gonflée d’avoir déjà joui le pénétra sans difficulté sous ses râles. Il tortillait des fesses et cambrait ses reins pour faciliter l’introduction de mon membre. Je m’enfonçai avec délicatesse tout en me collant à son corps mes 2mains ayant pris possession de ses couilles et de son bout que je masturbai en cadence. Il remuait ses fesses avec frénésie et ma bite devenait de plus en plus serrée dans son petit cul. Je dus mettre plus de vigueur dans mes allées et venues, ce qui provoqua de sa part des gémissements rauques accentués. Il ne tarda pas à jouir. Je lui lâchai un petit jet de sperme chaud qui le fit tressaillir et se raidir.

 

Je n’étais tenté par la sodomie, mais vu le plaisir que venais de prendre Gèrome, je décidai d’essayer ne voulant pas avoir de regrets par la suite. J’avais fais le plus dur autant en profiter au maximum. Pendant que Gèrome léchait mon bout encore mouillé de sperme, j’enfilai une capote sur son sexe après l’avoir titillé et bisouté car il commençait à perdre de sa vigueur. Il avait un petit sexe bien droit, et je me dis que pour une 1ère fois c’était la bite idéale. Je lui demandai de se mettre assis sur le canapé et je m’installai accroupi sur lui guidant moi-même ma sodomie. Je voulais rester maître de mes gestes et des siens. Une chaleur interne m’envahit le bas ventre quand sa bite s’enfonça en moi. Je pus ainsi appuyé sur ses genoux m’agiter sur son petit bout raide. Il me caressait les couilles et le sexe ballotés par mes mouvements.
Je ne ressentis pas d’orgasme violent mais un doux plaisir terminé un jet chaud. J’aurai aimé que cela dure plus longtemps . Hélas j’eus beau continuer de m’agiter. Je ne sentais plus sa bite, qui avait perdu de sa raideur après l’éjaculation.

 

Après cette soirée Gèrome me sollicita souvent, mais je n’acceptai que 2 fois juste pour me faire sucer et lui juter dans la bouche.

Par kamasoutra
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Lundi 25 février 1 25 /02 /Fév 18:04
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Ce scénario, je l’ai réalisé avec plusieurs personnes, je voudrais profiter de ce blog pour les remercier, car cette expérience est vraiment excitante à vivre. Je la recommande à ceux qui sont à la recherche de sensations. Hélas les femmes acceptant de se prêter à ce jeu sont rares. Il faut les comprendre. Accepter de recevoir un inconnu ou d’aller chez lui dans les conditions décrites n’est pas évident. Aussi la mise en confiance par téléphone est nécessaire et indispensable.
Petite précision : j'ai omis de relater dans le récit le port du préservatif, mais il a bien été utilisé, même si ce n'est pas facile de le mettre en place dans le noir.

Merci à Françoise d'Heillecourt ma première, qui m’a reçu en pleine nuit dans le noir chez elle, nous avons fais l’amour en silence car sa fille adolescente dormait dans la pièce à coté.
Merci à Martine de Nancy avec qui je l’ai fais trois fois, et la dernière avec un programmateur nous donnant la lumière à un moment imprévu.
Merci à Mireille qui s’est déplacée de Thionville ( 100km ) pour vivre ce moment magique.
Merci à Nadine femme mariée de Nancy dont le mari a appelé plusieurs fois sur son mobile pour s’assurer que tout se passait bien. On a du faire l’amour trop longtemps. Avec elle j’ai un peu triché car j’ai filmé son arrivée dans mon appart avec une caméra cachée dans ma cuisine. Mais je ne l’ai visionnée qu’après son départ. J’ai eu la surprise de la croiser et de la reconnaitre plusieurs fois dans un hypermarché près de chez moi, bien sur elle ne s’est douté de rien.
Merci à Corinne de Vandoeuvre, avec qui j’ai fais l’amour gentiment, sans grande folie, ni passion, corps superbe mais beaucoup trop passive. Mais elle a osé quand même. Bravo !!!
Merci à Patricia d’Épinal, qui m’a donné des frayeurs car j’ai eu le sentiment qu’il y avait tout près de nous une troisième personne présente dans la pièce. Homme ou femme je ne sais pas.
Merci à Danielle de Nancy dont j’ai encore en mémoire les superbes rondeurs fermes.
Merci à Jennifer de Marange la dernière à avoir joui avec moi ainsi dans un motel de Metz. La aussi j’ai triché car je l’avais rencontré suite à un dialogue minitel, et elle m’avait avoué cherche quelqu’un de sérieux. Je l’ai recontactée plus tard avec un autre pseudo et Bingo !!! Comme quoi il faut savoir tenter sa chance et tout peut arriver. Une femme peut en cacher une autre.

J’aimerais beaucoup tenter à nouveau cette expérience intense, pleine d’adrénaline, alors si vous êtes tentée faites moi une proposition. Osez et vous verrez.

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Par kamasoutra
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Jeudi 21 février 4 21 /02 /Fév 18:13
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Mon fantasme préféré

Le fantasme qui m’a le plus excité et donné du plaisir, est de faire l’amour avec une inconnue dans le noir. J’ai eu l’occasion de le réaliser à de nombreuses reprises, avec des personnes différentes et en y mettant chaque fois une petite variante. La trame était la suivante : je contactais une personne par minitel, quand le dialogue était sympa et que je devinais une personne coquine et aventurière, je lui proposai mon fantasme. Il y avait souvent une réticence, que je tentai d’effacer avec un contact téléphonique, pendant lequel j’essayai d’inspirer confiance à ma future partenaire de jeu libertin. Ce n n’était pas facile à trouver, mais de temps en temps une femme acceptait de venir chez moi incognito pour faire l’amour dans le noir sans que nous nous soyons vus. Alors imaginez que vous êtes cette femme, que vous vous rendez à l’adresse que je vous ai indiquée à l’heure précise convenue.

La règle était simple, le lui donnais l’adresse avec les détails pour parvenir à ma porte.
Bien sur vous vous êtes fais belle et sexy comme si vous alliez rencontrer votre amoureux. A l’heure précise vous sonnez un long coup, vous ouvrez la porte, la lumière est allumée dans le couloir de l’appartement, refermez la porte et tournez le verrou, j’ai mis une petite musique d’ambiance sensuelle, une coupe de champagne frais vous attend sur la commode du couloir, vous la voyez ? Alors trempez vos lèvres et laissez vous enivrer par les bulles et l’excitation. Le champagne est euphorisant.

Je suis dans la salle de bains tout près de vous, derrière la porte où il est écrit sur une feuille : " je suis là, je me prépare, je me caresse, j’essaie de canaliser mon excitation ". En passant devant grattez la porte avec vos ongles et donnez-moi un coup d’adrénaline. Derrière votre passage éteignez la lampe du couloir. Ensuite allez dans ma chambre vous déshabiller et vous préparer. Quand vous serez prête éteignez les lumières, ce sera pour moi le signal que vous êtes prête.
Je viens de sortir d’où j’étais caché après que vous ayez éteint le couloir. Tout en me caressant le sexe, évidemment je suis en érection, normal dans une telle situation, j'essaie de sentir votre odeur, votre parfum, j’écoute les bruits venant de la chambre, il y a toujours de la lumière, je vous entends vous déshabiller, moi aussi je m’interroge : comment est-elle? Ai-je bien fait de lui proposer ce jeu, ne vais-je pas être pris à mon propre jeu.
La lumière de la chambre vient de s'éteindre. J’attends encore quelques minutes, rien ne sert de se précipiter, je me caresse toujours doucement entretenant un peu mon excitation, je mouille beaucoup, ma main en est pleine, je la lèche, je la hume pour renforcer mon excitation. Le grand moment commence.

J'arrive dans la chambre noire à pas de loup ne sachant où vous vous trouvez, allongée sur le lit je suppose. J’avance à tâtons, je sens votre présence. Je touche votre corps du bout des doigts. Vous êtes là debout. Je m'arrête et me prosterne à vos pieds que je baise. Mes lèvres effleurent la peau de vos jambes et mes joues apprécient la douceur de vos cuisses. Je remonte tout doucement et mon nez arrive à la hauteur de votre chatte que je flaire avec délice. Je respire avec délicatesse cette odeur subtile et excitante. Mes mains constatent la fermeté et le galbe de vos fesses. Je sens votre corps sur la défensive, vous êtes crispée et vous avez la chair de poule. J'essaie de vous détendre par des douces caresses et des baisers sensuels.

Je me relève complètement et vous enveloppe de mes bras comme pour vous protéger et vous réchauffer. Nos visages sont face à face, nos bouches s'effleurent: je sens votre souffle chaud et j'entends votre cœur qui bat très vite et très fort. Mon sexe dur et gonflé se frotte contre votre buisson. Je suppose que vous sentez son désir.
- Bonjour Muriel : Bienvenue dans mes bras, merci d'être venue, je vous félicite d'avoir osé. Je vous sens anxieuse, si vous souhaitez faire marche arrière et repartir, il est encore temps. A vous de décider, si vous voulez continuer embrassez moi sur la bouche.
Je sens votre corps qui se détend, vos mains partent à la recherche de mon corps, me tâtent et s'enroulent autour de mon cou, les miens vous enserrent la taille, nous deux corps s'épousent à merveilles, je sens votre poitrine ferme et vos tétons durcis par l'excitation contre moi. Je me laisse aller, ce doux baiser se prolonge comme si nos langues et nos bouches voulaient explorer la moindre fibre sensorielle de l'autre, je reprends ma respiration en humant votre cou, en léchant vos oreilles que je titille, votre parfum est léger et frais, il m’excite , j'essaie de me souvenir, je l'ai déjà senti, j'en suis sur, peut-être ma femme l'a déjà utilisé. Nos corps se découvrent en silence. Je me baisse un peu pour aspirer vos tétons l'un âpres l'autre, votre poitrine se soulève et votre respiration s'ouvre en laissant échapper un râle de plaisir. Mon sexe lui se frotte contre votre fente, nos deux sexes bavent, j'évite de vous pénétrer, et préfère faire un va et vient lent pour exciter votre clitoris, qui gonfle, je sens le bouton dur accrocher mon gland.
Alors je vous amène sur mon lit, et vous y dépose avec précaution dans le noir. Je vous propose : on se dit tu maintenant? Je t'entends rire et dire " Oui, bien sur Marc  ", alors je te caresse le corps avec une huile parfumée, je t ai mise en levrette dans la position de la chienne en chaleur, et je te masse le dos pour commencer, les hanches, les fesses, les cuisses, et de temps en temps je passe un coup de langue furtif sur ton sexe et ton anus, je les sens vibrer a chaque passage. Je te renverse et te mets sur le dos. Tu te laisses faire, tu es soumise à mes désirs, j'écarte tes cuisses, je sens ta chatte mouillée, je lèche tes lèvres, tes poils, ton clito, j’aspire le jus de ta mouillure, j'enfonce ma langue à l’intérieur de ton sexe et de ton anus bercé par tes gémissements et tes soubresauts. J'entends ta respiration qui s'accélère, ton ventre a des spasmes. Je sens que tu te crispes, les muscles de tes cuisses sont durs et raides, tu refuses l'orgasme on dirait, mais j’insiste pour que tu jouisses maintenant. Alors je m’installe en 69 la tête bien coincée entre tes cuisses ma bouche et ma langue bien au contact de ton sexe. Tu t’es agrippée à mon bâton et à mes couilles, tu les tritures, les lèches, les aspire par moments. Au bout de quelques minutes je te sens abandonner la lutte avec ma langue. Tu soupires et je t’entends ronronner de plus en plus fort, pour finalement pousser un cri de jouissance en essayant de te dégager vivement. Je continue de bien te maintenir et je continue mon cunnilingus sentant ton orgasme. Tu ne parle pas, mais je sens bien que tu es contente d'être là et que tu prends du plaisir, tu gémis, tu te contorsionnes, tu frémis sous mes caresses et mes coups de langue. Tu râles: je sens ton sexe tout mouillé s'ouvrir. Heureux j'aspire goulument ton petit clito bien raide. Je dégouline de partout. Je te laisse reprendre tes esprits écoutant vivre ton ventre chaud et gargouillant.Ta main caresse mes cheveux tendrement et tu m’avoues : " Humm que c’était bon !! " 
Alors je sens tes lèvres à la recherche de mon sexe tendu, à la moindre caresse ou effleurement il se contracte. Avec délice tu me lèches doucement toute la longueur, en partant du dessus des testicules jusqu'au gland, tu me titilles son petit trou, essaie d’y introduire le bout de ta langue. J’adore cela et je te le prouve en gémissant de plus en plus fort. Pendant ce temps allongé sur le dos je m’enivre des effluves de ta chatte mouillée qui me caresse le visage. Tu m’aspires le bout avec gourmandise, et tu fais coulisser ta bouche de plus en plus vite sur mon membre enserré entre tes mains. Je sens le plaisir m’envahir, je gémis de plus en plus fort, émettant des Oh oui suivi d’un grognement sourd pendant que je gicle plusieurs saccades de sperme dans ta bouche.
Tu te délectes de mon jus acre et salé, et viens m’en faire partager le goût en m’embrassant sur la bouche. Ce baiser passionné se prolonge et me permet de reprendre mes esprits.
  
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Une petite pose champagne s’imposait alors je suis allé chercher la bouteille, tu as bu au goulot, moi je t’en ai versé un doigt dans la chatte et en ai profité pour lécher le délicieux mélange mousseux sur tes lèvres et ton clitoris que j'ai happé. Malgré la jouissance dans ta bouche mon sexe n’a pas perdu de sa vigueur, car je l’ai aussitôt après mis au chaud dans ta chatte, où tes petits mouvements de rein ont entretenu sa raideur. Après avoir joui séparément j'ai décidé de te faire jouir avec toutes mes positions favorites. Je commence par Andromaque, qui me permet de lécher les larges aréoles et les tétons durs de tes superbes seins, qui pendent vers moi. Mes mains libres caressent la rondeur et la fermeté de tes fesses. Je te sens haleter, ton corps s’agite, tu domines la situation, tu profites des moments d’initiative que je te laisse.

Je te ramène sur le bord du lit, récupère un petit vibromasseur caché sous le matelas, et je l’enfile délicatement profondément dans ton petit cul serré. Et puis doucement je me relève, tu es toujours empalée sur mon sexe, tes mains s'accrochent à mon cou, je te soulève doucement avec mes mains et mon sexe donne un léger va et vient pour accompagner le mouvement. Cette position à la cosaque est très jouissive. Je te sens te crisper, te cramponner à moi. Tu t’agites, tes jambes s'accrochent à mes reins. Tu parais si légère sur moi, tu es comme une chienne en rut accrochée à son sexe. Tu suis le mouvement, tu es soumise à mes désirs. Cette position est fatigante, je ne résiste pas longtemps, alors je te redépose sur le lit.

Tu te retrouves sur le dos les jambes en arrière, que je fais balancer pour accentuer mon mouvement. Je te maintiens prisonnière, je veux que tu sentes que tu m'appartiens, et que je ferai de toi ce que j’ai envie. Tu es soumise comme je l'aime, ta chatte grande ouverte, je me retire furtivement arrose ta chatte ouverte d’un doigt de champagne et en profite pour lécher le délicieux mélange sur ta chatte, ton clitoris, tes lèvres que j'aspire. Je sens ton cul qui se trémousse nerveusement sous les vibrations du sextoy toujours biens enfoncé dans ton anus. Mon sexe est toujours dur, il cherche le trou de ta chatte, et la pénètre tout doucement, il s'enfonce profondément, très profondément. Il bute au fond de toi, alors après ces petits coups lents, il te donne des grands coups de bites qui te font crier.
Je te retourne, je décide de te prendre en levrette, ma position favorite. Je te mets en position de chienne en chaleur. Tu te laisses faire, je te pénètre violemment, et je m'agite en toi, tu réponds à mes coups de queue par des coups de reins en sens contraire. J'ai tes seins bien en main, je les caresse, je les masse, je tire dessus, je pince les tentons jusqu'a ce que tu cries,... tu cries, de temps en temps ma main gauche te caresse la chatte, je sens que tu aimes, je sens ma queue qui passe et repasse. Nous nous agitons toujours, parfois doucement parfois violemment. Nos deux corps sont unis dans la jouissance. De temps en temps je me relève, je caresse ta croupe soumise que j'imagine et ton beau cul qui se tortille sous les pénétrations de mon pouce.
 

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De la main droite, j’entretiens mon érection par des branlements lents, de la main gauche j’essaie de pénétrer ta chatte, j’enfile un doigt, puis deux, puis trois dans ta fente trempée, elle s’ouvre et absorbe de plus en plus ma main. Mes doigts caressent ton intérieur gluant et lisse, je sens une partie ferme, ton point G peut-être. A force d’allées et venues j’ai réussi à enfiler ma main jusqu’au poignet.
Et puis je retire doucement le vibro de ton cul, lui donne des mouvements de va et vient, il glisse tout seul. Je te fais jouir par les deux trous, tu râles les jambes écartées, le visage enfoui dans les draps, qui étouffent tes gémissements. Je retire ma main, que j’enduis de bave de ta chatte gluante, enlève le vibro de ton trou du cul et le remplace par ma bite raide à la recherche de ton plaisir. Elle le trouve très vite dans ton petit cul serré et agité. Nos deux corps d’agitent violemment en même temps.
Après cette superbe jouissance, nous avons versé sur le coté et nous nous sommes reposés allongés l’un contre l’autre dans la position des cuillères nous prodiguant caresses et baisers calmants. Le repos du guerrier après tant de sollicitations. Nous nous endormons repus de jouissance et d’excitation.

Au petit matin tu me réveilles, tu dois partir. Je te propose d’aller prendre une douche, mais tu refuses et préfère rester imprégnée de nos odeurs mélangées. On se promet de recommencer avec un scénario enrichi, il y a tant d’autres choses excitantes à faire. Un dernier baiser passionné Alors je me cache sous les draps pendant que je te fais un peu de lumière pour te rhabiller. Et tu disparais comme tu étais arrivée mystérieuse inconnue sans que nos visages ne se soient vus. 
Quel merveilleux moment !!!

 

 

 

Par kamasoutra
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