Jeudi 6 mars 4 06 /03 /Mars 18:09
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Aujourd’hui nous fêtons les Colette, c’est pour moi l’occasion de me souvenir d’une Colette avec qui j’ai fait l’amour dans le train : un fantasme classique et très recherché par les hommes.
Nous revenions d’un stage de ski dans les Alpes, j’avais 25a, Colette 20a, elle était du Nord et avait un petit ami, dont elle se disait très amoureuse. J’avais tenté de la séduire pendant toute la semaine avec hélas peu de réussite, elle n’avait accepté que quelques baisers et quelques caresses. Pourtant elle semblait attirée par moi et recherchait ma compagnie.

Nous sommes rentrés sur Paris en train couchettes. Bien sur j’ai tout fait à avoir la couchette au dessus d’elle, et je suis venu la rejoindre assez vite. Tout le monde était fatigué dans le compartiment après cette semaine de ski et dormait sauf sa copine chandelle, qui ne cessait de nous guetter de sa couchette voisine. Nous nous sommes recouverts de la couverture, et ainsi cachés je pouvais la caresser, je sentais qu’elle avait envie de moi bien qu’elle s’en défendait. Moi je me disais que j’avais la nuit pour y parvenir, et je fis preuve de patience, m’aventurant petit à petit, défaisant de temps en temps un bouton par ci, un bouton par la. Le bruit du train et la semi-obscurité étaient mes alliés. Je finis par caresser ses petits seins excités et durs, et à accéder à l’intérieur de sa petite culotte. Elle avait du mal à s’abandonner à mes tentatives de caresses, et je devais ruser pour progresser, tantôt ses seins, tantôt sa chatte.

Nos caresses furent interrompues par l’arrivée inattendue du contrôleur amusé de voir la tenue débraillée de Colette. Il devait avoir souvent l’occasion de voir des situations insolites avec des couples et s’amusait je pense d’arriver à l’improviste.

Après cet intermède, qui refroidit un peu les ardeurs de Colette, j’essayai de reprendre position dans son intimité. Je tentai de diriger sa main vers mon sexe, mais elle refusait préférant protéger le sien. Au bout d’un moment camouflés sous la couverture j’avais réussi à dégrafer son soutien gorge et à baisser son jeans jusqu’aux genoux, moi aussi ayant baissé le mien, nous étions cuisse contre cuisse, ma bite dure frottant contre ses fesses. Elle résistait à mes avances, mais je savais qu’elle allait céder, de temps en temps je réussissais à glisser un doigt dans sa fente mouillée et visqueuse, je lui murmurais à l’oreille mes envies . Elle me répondait hélas : non pas ici, on pourrait nous voir d’une voix laissant entendre oui j’aimerais mais je n’ose pas, alors je me faisais tendre, me contentant d’un doux et long baiser, mais aussitôt je repartais à l’assaut essayant de baisser son slip. J’y parvins enfin l’empêchant avec ma jambe entre ses cuisses de le remonter. J’avais sa chatte à portée de main. Pendant que je me masturbai avec sa main gauche, je lui caressai le clitoris avec nos deux mains droites enlacées. Je commençais seulement à la sentir se libérer et accepter mes caresses. Je me contentai pendant un moment de cette masturbation pensant qu’elle lui donnerait envie d’aller plus loin. Je lui demandai tout doucement dans l’oreille de me sucer. Elle refusa une fois de plus, alors je me dégageai et plongeai ma tète entre ses cuisses sous la couverture et je me mis à la lécher, ses mains essayèrent de m’en empêcher, alors je lui maintins les mains et je pus agir comme j’en avais envie. Je la sentais se trémousser, se raidir par moments, elle n’osait pas exprimer sa jouissance, j’en profitais au maximum. J’avais chaud sous la couverture j’étouffais, mais mon plaisir était immense. Sa chatte était parfumée et mouillait beaucoup, j’avalais sa mouillure, je pénétrai ma langue dans sa chatte, j aspirai son petit clitoris dur à force d’être caressé. Ses mains se crispaient contre les miennes. Je la sentais proche de la jouissance, alors je me relevais vers elle tout en lui maintenant les mains, ma bouche mouillée de son jus vint prendre sa bouche.
Elle essaya de se dégager, mais ma langue fouillant sa bouche la dissuada. Elle ne pouvait plus bouger, j’étais allongé sur elle, mon sexe dur frottant sur son sexe maintenant son excitation et cherchant l’entrée. Un petit coup de rein me permit de la trouver, je m’enfonçai doucement en elle, et sentit sa chaleur intime, elle tressaillit, je m’arrêtai car je sentais ma jouissance venir, j’essayai de me retenir. Une fois calmé je repris mes allées et venues lentement maintenant bien Colette contre moi, le balancement du train et son bruit sourd nous garantissaient une certaine discrétion.

Mais Anne sa copine ne dormait pas, je le voyais elle nous matait dans l’obscurité, je lui adressai de temps en temps un petit sourire pour lui montrer que je voyais son petit jeu. Je crois bien qu’elle se masturbait en nous regardant. Colette se laissait faire maintenant, je ne sentais plus de résistance de sa part, mais elle se cramponnait à moi et me serrait fort. Mon excitation montait très fort et quand je sentis que j’allais éjaculer je l’embrassai sur la bouche pour lui communiquer ma jouissance et étouffer ses gémissements. Je restais immobile un long moment le temps de reprendre mes esprits, elle était toujours passive, je lui demandai si elle avait joui ? Elle me répondit oui. Je me retournai sur la couchette tout en restant en elle, je lui caressai le dos et les fesses lascivement sous la couverture. J’avais envie qu’elle suce et me lèche, je lui demandai, elle refusa, alors je la menacerai de la découvrir. Elle accepta à contre cœur, elle descendit tout doucement sous la couverture et me suça du bout des lèvres. Je lui maintenais la tête avec mes deux mains et je lui imprimai le mouvement à faire, mais rien à faire elle ne voulait pas bouger gardant juste mon bout enfoncé dans sa bouche, et donnant par moments juste quelques coups de langue.
Nous sommes restés enlacés le restant de la nuit , je la caressais , par moments je titillai ses seins et son minou , mais elle était à moitié endormie, et ne répondait plus à mes sollicitations.

Au petit matin Colette était gênée, car elle ne retrouvait pas sa petite culotte. Elle dut remettre son jeans sans slip ne comprenant pas ou il pouvait être et n’osant pas avouer aux autres ce qu’elle cherchait. Je lui avouai plus tard par courrier que je l’avais cachée dans ma poche la gardant en souvenir. Cela l’amusa et elle reconnut qu’elle avait ressenti une excitation particulière à ne pas porter de slip sous son jeans. Je l’incitai à ne pas en mettre sous ses jupes. Moi je flairai longtemps sa petite culotte, qui avait gardé l'odeur de sa chatte. Je me masturbai en pensant à   cette situation excitante.

Avec Colette, je compris qu’avec nombre de femmes il fallait oser et insister même si elles disaient NON, car souvent elles pensaient OUI. La patience et la ténacité sont 2 grandes qualités quand on veut séduire.
Ah la psychologie féminine !!!!

Bonne fête Colette

 




Par kamasoutra
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