Vendredi 14 novembre 5 14 /11 /Nov 18:52

Caroline était une belle bourgeoise salope, qui aimait provoquer les hommes de ses yeux ravageurs et allumeurs. Mais Caroline était aussi un charmant petit boudin, n’y voyez pas là un propos désobligeant à son encontre, car j’adore les petits boudins. Son gros cul qui se tortillait sensuellement en marchant, me donnait des idées lubriques et des envies. Elle était vraiment mignonne avec ses rondeurs sympathiques et sensuelles.
Son seul défaut, je pense, était d’être la femme de mon chef de service antipathique, sévère, et désagréable.

J’entendais souvent Caroline au téléphone quand elle appelait au bureau car la ligne personnelle de son mari était souvent occupée. Sa voix douce et sensuelle me faisait frémir et battre mon cœur. La première fois où je l’ai vue c’était lors d’une sortie de fin d’année entre collègues où nous étions allés nous détendre à Thermopolis .
(vous vous souvenez  de Thermapolis?   L'amour à la piscine
)

J’avais du lui taper dans l’œil car dans le jacuzzi où nous nous trouvions avec d’autres personnes, elle était venue se placer face à moi, pas par hasard je pense, car à un moment alors que délirions et rions tous dans les remous de l’eau bouillonnante, j’avais senti sa main prendre mon pied pour le frotter contre sa chatte tout en me lançant des regards allumeurs et complices. J’avais même senti mon pied fouler sa toison drue avant de pénétrer son intimité. Elle en jouait comme d'un sextoy.

 Depuis cette sortie j’avais remarqué qu’elle appelait souvent au bureau avec prétexte d’avoir son mari absent du bureau. Elle en profitait pour me draguer me rappelant cette sortie excitante. Evidemment je n’avais jamais osé répondre à ses avances surtout parcequ’ elle était la femme de mon chef. Le hasard allait combler nos désirs sexuels communs.

Un vendredi soir, son imbécile de mari en déplacement à Paris me téléphone au bureau me demandant de déposer chez lui un document qu’il avait oublié de prendre la veille. Il en avait besoin pour une réunion le lundi matin. Bel aubaine pour sa femme qui avait laissé les enfants chez ses parents car elle avait projeté de se faire un restau avec des copines, son mari devant rentrer tard dans la soirée. Mon passage imprévu allait lui offrir un bel amuse-gueule.
Elle m’offrit l’apéro, et quel apéro un cocktail à base de rhum, de mirabelle et jus de fruit plutôt musclé. Très vite nous eûmes chaud aux oreilles et les joues rouges. Elle s’empressa de me rappeler cette sortie jacuzzi et me donna en détails ce qu’elle avait ressenti : cela voulait dire fais moi jouir comme j’en avais envie ce jour-là, mais pour de vrai cette fois ci.

Caroline se trémoussa sur son canapé se caressant tout en me lançant des regards enjôleurs. Elle dégrafa doucement sa chemise tout en se caressant dévoilant ses seins lourds. Alors je répondis à ses provocations et j’ouvris ma braguette faisant ressortir mon engin, ses yeux se rivèrent dessus et elle se caressa la chatte pendant que j’astiquais mon joujou. Pendant de nombreuses minutes on se masturba en se regardant les yeux dans les yeux. C’est elle qui craqua la première, et elle ne tarda pas à venir prendre mon sexe en bouche pour le déguster sensuellement. Je me retrouvai vite la tête entre ses cuisses à lui lécher la chatte baveuse tout en lui malaxant les seins gonflés de désir. Ses gros tétons pointaient tels des obus.

Nos ébats furent interrompus par le téléphone, ce fut d’abord le mari qui s’inquiétait de savoir si j’étais passé, elle répondit oui bien sur me regardant dans les yeux et continuant de me branler vigoureusement. Visiblement Caroline prenait plaisir à ce trio improvisé.
Puis ce fut au tour des copines déjà rassemblées pour l’apéro chez l’une d’elles qui s’impatientaient et s’inquiétaient de son absence.
- Je vous rejoindrai directement au restau à 21h, désolée j’ai un contretemps plutôt agréable, je ne vous en dis pas plus pour l’instant, je vous raconterai plus tard gloussa-t-elle alors que je continuai de la défoncer en levrette. Sa copine dut se douter de ce qui se passait en entendant sa voix chevrotante et haletante.
Nous reprîmes avec passion nos folies essayant de nombreuses positions du kamasoutra, Caroline manifestait bruyamment son plaisir et ses envies.

Je repartis de chez elle les couilles vides et la déposai à son restau juste au moment ou ses copines arrivaient. Caroline jubilait de pouvoir exposer l’objet du délit à ses amies. J’allais être au centre de la conversation toute la soirée, aucun détail ne serait oublié, je pouvais lui faire confiance. Ma réputation serait faite pour ses quatre copines, que je connaissais de vue et que j’avais eu l’occasion de rencontrer en boite. A la première occasion je pouvais m’attendre à récolter les dividendes de cette soirée chaude. Ses copines n’hésiteraient pas à tenter leur chance avec moi, et vérifier les propos de Caroline au sujet de ma virilité.  

Caroline me sollicita par la suite, mais je répondis avec mesure à ses envies, je ne voulais pas qu’elle en prenne l’habitude d’autant que je la recevais chez moi. Je tenais à la discrétion, et malheureusement ses cris d’amour et de plaisir devaient être entendus bien au-delà des limites de mon appartement.
Je jubilais toujours les lendemains de sexe avec Caroline quand je voyais son mari au bureau, heureux d’avoir joui de sa femme, heureux de l’avoir fait cocu, mais c’était un plaisir intérieur qu’hélas j’aurais aimé partager avec mon entourage professionnel. J'aurais aimé lui dire en face que je le faisais cocu.
Mais prudence.
La vengeance est un plat qui se mange froid.

 

Par kamasoutra
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