Lundi 11 août 1 11 /08 /Août 18:49

France avait préparé un café bien serré que nous étions en train de boire tendrement enlacés. Elle était assise sur mes genoux la tête couchée contre mon épaule. Je la caressais lascivement savourant d’avance son corps que j’allais faire jouir. Elle portait une robe boutonnée sur le devant, qui me permettait de glisser ma main à l’intérieur sur sa peau douce. Je me rendis vite compte qu’elle était complètement nue dessous et cela m’excita encore plus. Cela me rappela ce soir où je l’avais rencontrée en boite. Elle m’avait tellement chauffé par ses trémoussements que j’avais joui dans mon slip en me frottant contre elle lors de ce slow d’enfer. Sentir ce corps nu sous la robe si fine et si légère m’avait mis hors de moi et je m’étais laissé aller. J’avais cette fois-ci l’intention de me contrôler pour la faire jouir le plus longtemps possible. Alors je prenais mon temps, je ne voulais rien précipiter, je savourais les minutes et les secondes qui passaient. J’avais l’impression d’avoir un ange endormi dans mes bras.

 

Je l’embrassais tendrement dans le cou , quand tout à coup elle se redressa brutalement, elle venait de voir passer la voiture de son mari devant la fenêtre du salon ou nous étions installés. Affolée elle débarrassa les tasses vides et les petits gâteaux secs en s’écriant :
- Je ne comprends pas, il devait travailler jusque 18h.
Heureusement, elle avait fermé la porte à clef et retiré celle-ci. Elle m’entraîna dans le large couloir de la maison et nous nous cachâmes dans une large penderie masquée par un rideau.
- France ma biche tu es là ?
Il monta à l’étage répétant sa question.
N’ayant pas de réponse, il prit son portable et composa son numéro. Heureusement France l’avait mis en silence pour ne pas être dérangée, et nous le sentîmes vibrer dans sa poche. Elle et moi nous retenions notre souffle plaqués l’un contre l’autre. Il laissa un message sur le répondeur.
- Allô ma bibiche t’es ou ? Je voulais te faire une surprise, je suis à la maison, j’ai envie de lécher ta petite chatte et de te faire un gros câlin, rappelle-moi vite ma chérie, je reprends le travail à 16h.
France me susurra à l’oreille:
- Ne t’inquiète pas, il ne vient jamais dans cette penderie, il n’y a que des vieux habits, il n’a aucune affaire
et elle ajouta tendrement :
- Fais-moi plutôt l’amour en attendant qu’il s’en aille.

Mais mes envies étaient tombées. Elle par contre avait enlevé les boutons de sa robe, et se mit à la recherche de mon sexe dans mon pantalon. Je me retrouvai debout avec le pantalon baissé aux chevilles, France essayait de réveiller mon chibre endormi par la situation.
Elle était à genoux, me le léchait de la pointe jusqu'aux couilles avec gourmandise. Au bout de quelques minutes je retrouvai mon érection habituelle, France m'avait promis qu'elle était une super pipeuse, sur ce point elle ne m'avait pas menti. Je me mordais les lèvres de peur de laisser échapper un petit gémissement. Mon cœur battait à tout rompre car de temps en temps son mari passait dans le couloir en sifflotant ou en chantonnant. Mes yeux fixaient droit devant moi de peur de voir le rideau s'écarter. Et pendant ce temps France continuait de me pomper, de me branler, de me caresser les couilles, de me doigter l'anus. Je lui tenais la tête pour refréner ses succions tellement elle mettait du cœur à l’ouvrage.

Ma jouissance fut un vrai supplice, j'avais envie de crier mon plaisir, mais quand je giclai dans sa bouche, j'étais totalement tétanisé, et complètement plaqué contre France pour essayer de la maintenir immobile. Mais le goût du sperme la fit repartir à un rythme endiablé. Je dus m'abandonner à la voracité de ses envies. Heureusement qu'entre temps son mari avait mis de la musique, qui a du couvrir mes gémissements et mes râles inévitables ainsi que les bruits de succions de France. Ce fut la pipe la plus interminable de ma vie, O combien délicieuse

Bien sur après cela France me demanda de la faire jouir, ce qui était bien naturel, la je dois avouer que je dus être un bien piètre amant. C'était la première fois que je lui faisais l'amour, je ne savais pas comment elle se comporterait. Je craignais ses débordements oraux. Alors je commençai par la caresser sur tout le corps lentement sans précipitation, je n'étais pas pressé de la faire jouir. J’espérais que son mari parte rapidement mais hélas il y avait encore une heure à tenir jusque 16h. Elle se laissait faire et semblait plus sage. Alors je me mis à la lécher. Sa chatte était trempée d'un jus acide. C’était délicieux mais j’aurais aimé le voir ce minou dont le duvet me caressai le visage. Elle me maintenait la tête entre ses cuisses et se déhanchait pour accompagner et accentuer mes mouvements de langue. Moi je la plaquai contre le mur pour lui éviter de bouger et de faire du bruit.

Je l'entendis gémir. Son mari aussi je crois dut entendre ses cris plaintifs car il baissa la musique brusquement. Je me relevai et l'embrassai à pleine bouche c'était la meilleure façon de lui éviter de faire du bruit en jouissant.
France toujours aussi affamée et excitée partit à la recherche de mon sexe en semi érection. Après quelques caresses expertes il avait repris sa rigidité habituelle.
Elle se l'enfila dans la chatte. Tout en continuant de nous embrasser nos corps se déhanchaient et s’agitaient lentement. Mon sexe coulissait dans sa chatte trempée avec un lent va et vient. Je sentais sa jouissance monter, sa poitrine gonflait et ses tétons devenaient durs. Je la maintenais fermement, elle avait ses bras enroulés autour de mon cou. Nos bouches étaient toujours avides l’une de l’autre. Seules nos oreilles étaient en alerte.

Son mari décida enfin à quitter la maison pour reprendre son travail, il était temps , le bruit de la porte qui claque déclencha le début de l’orgasme de France, qui m’enserra les reins avec ses jambes et se mit a s’agiter sur mon pieu telle une furie.

 

Moi je la pris sauvagement en levrette sur son lit lui défonçant la chatte et le cul encouragé par ses cris qu'elle avait réprimé dans la penderie. J’avais aussi besoin de libérer ma tension nerveuse.

 

Je ne revis jamais France, cette expérience m'avait calmé pour un moment des femmes mariées rencontrées au domicile conjugal.
Mais elle m’avoua quelques mois plus tard lors d'une discussion au téléphone qu'elle et son mari avait combiné ce scénario. Je n'avais été que le jouet de leur excitation.

Par kamasoutra
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Mardi 29 juillet 2 29 /07 /Juil 18:11

L’été 98 a été mémorable à cause de la victoire de l’équipe de France de football. Mais pour moi il s’y rattache d’autres souvenirs. La semaine qui suivit cet événement, je fus surpris par la folie sexuelle qui régnait. Depuis quelque temps, j’essayai vainement de rencontrer un couple et de satisfaire ce fantasme. Cette semaine là, celle du 14juillet j’eus la chance d’en rencontrer cinq. Ce fut un vrai feu d’artifice. J’avais été contacté sur mon site de rencontres Minitel par Thierry, qui voulait offrir une double pénétration à son amie Sandra. Nous avions convenu par téléphone d’un 1er contact visuel au parc de la Pépinière à Nancy. Ce samedi après-midi de   juillet le soleil était resplendissant. Les femmes étaient habillées légères et sexy, il régnait un air de vacances, d’insouciance et d’envie de liberté.


Thierry me présenta son amie Sandrine, une belle jeune femme brune cheveux  longs ressemblant à Vanessa Demouy, elle portait une robe légère, qui lui arrivait mi-cuisses et laissait entrevoir ses formes. J’appréciai de suite son visage souriant affichant  bonne humeur et joie de vivre.
Nous nous installâmes en terrasse un peu à l’écart des autres groupes, Sandra était placée face à moi, je fus vite troublé par  son  charme, emoustillé par ses belles jambes qu’elle croisait et décroisait pour m’exciter et me montrer qu’elle ne portait pas de petite culotte. J’apercevais de temps en temps sa toison brune, qui se détachait de ses cuisses bronzées. Thierry me reprécisa les envies de Sandra, qui fantasmait sur les quadras et avait envie d’une double pénétration. Pas de fellation, pas de cunnilingus, pas de French kiss, cela limitait les variantes, mais bon elle était si craquante, que je  sus m’en contenter  . Et évidemment le port du préservatif obligatoire, cela me rassurait, et me permettrait d’avoir une érection plus longue. C’est elle qui devait diriger les ébats, et seul son plaisir comptait. Le but à atteindre était de la satisfaire, de la faire jouir. Notre plaisir était secondaire. J’acceptai avec joie leur  proposition qui était une aubaine malgré les conditions imposées.

 

Après avoir bu une bière blanche rafraîchissante Thierry nous amena dans son  studio sous les combles d’un immeuble tout proche. En un éclair Sandra se retrouva  nue,  me déshabilla en silence prenant le temps de découvrir mon corps , me prit la main et m’entraîna sous la douche.

Elle me lava avec sensualité, ses mains jouaient sur mon corps avec douceur telle des caresses. Elle trouva vite mes points sensibles et les fis frémir sous l’eau fraîche. Je me laissais faire, mes mains  n’osaient  s’aventurer sur son corps ferme. Je craignais d’enfreindre une des règles sous le coup du désir. Me voyant timide, elle prit mes mains et les dirigea vers ses seins et son sexe m’incitant à les faire vibrer et les offrant à mes caresses. Nos corps enduis de savon glissaient l’un contre l’autre avec volupté, j’étais derrière elle l’entourant de mes bras, mes mains se promenaient sur son corps, mon sexe tendu entre ses cuisses frottait son sexe sans le pénétrer. Nous restâmes quelques minutes sous l’eau à nous imprégner l’un de l’autre et à nous masturber mutuellement.

 

Le studio était bien ventilé d’un air chaud qui nous sécha rapidement enlacés tendrement sous une douce musique pendant que Thierry se douchait. Sandrine se montrait sensuelle sans vulgarité. Ses caresses faisaient monter la sève en moi, mon sexe bavait dans sa main, qui l’agitait avec dexterité.

 Thierry insista pour me poser lui-même le préservatif. Sentir les mains d’un homme toucher mon sexe et mes couilles, les manipuler  pendant qu’il faisait glisser le condom fut pour moi une découverte, une sensation nouvelle et inattendue. J’en rêvais depuis longtemps et fantasmait sur cette situation. Il s’aperçut de mon trouble et de mon plaisir qu’il accentua en aspirant le bout avec sa bouche pendant quelques secondes.

-Pour que tu donnes du plaisir à Sandra me dit-il

 

Je m’allongeai sur leur grand lit, Sandra s’empara de mon sexe sous cellophane, le lécha à son tour avec le bout de la langue et vint le frotter sur son sexe, qu’elle masturbait lentement. Elle le dirigea habilement dans son trou et l’enfonça délicatement dans sa chatte mouillée par nos échauffements.


Elle était accroupie au dessus de moi, ses seins fermes pointaient dans ma direction. J’avais envie de les aspirer dans ma bouche et de les sucer. Elle se blottit contre mon corps et commença un lent déhanchement. Au bout de quelques minutes, elle dégagea mon sexe et se mit à le masturber, pendant ce temps Thierry avait pris position derrière elle et l’avait pris en levrette. Il s’agita dans sa chatte mouillée pour lubrifier sa queue, massa son trou du cul avec de la mouille, lui présenta sa bite qu’il enfonça sans difficulté. Sandra remit de nouveau ma bite dans sa chatte serrée  du fait de la présence de Thierry dans son petit cul. Je sentais ses allées et venues.


 

Sandra ne s’agitait plus, elle subissait les assauts de nos deux sexes, qui la pénétraient en alternance. Thierry la maintenait aux fesses, moi par le haut des cuisses. Nous avions trouvé le bon rythme. Elle était couchée sur moi, je sentais son haleine chaude me souffler sur le visage et la peau douce de son visage caressait le mien. Elle gémissait, grimaçait sous nos coups de pioche  de plus en plus désordonnés. De temps en temps j’avais un téton à portée de bouche, je l’aspirais goulûment et profitais de sa lascivité. Je sentais le plaisir et l’orgasme monter, j’étais sans cesse à la recherche d’un calmant pour retarder cette envie imminente de jouissance.

Sandrine me libéra quand je l’entendis crier crescendo : « OH OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI  OUIIIIIIIIIIIII »

Elle se raidit, et se laissa tomber sur mon corps. Je m’agitai en elle violemment tout comme Thierry que je sentis lui donner des coups de boutoir dans le cul. Elle me cramponnait tout en gémissant de plaisir acceptant les giclées de chaleur de notre sperme dans sa chatte et dans son cul. Thierry continuait de s’agiter en elle, moi je ne pouvais plus bouger, j’étais prisonnier de leurs deux corps.

Thierry se retira  et m’abandonna Sandrine qui se remettait de ses émotions blottie contre ma poitrine. On n’entendait que le bruit sourd de nos cœurs, qui peinaient à retrouver leur  rythme normal. Par moments je sentais son sexe se contacter et comprimer le mien. Cela nous fit rire.  Elle me remercia d’un petit baiser tendre pendant que Thierry se calmait sous la douche. J ’eus enfin le plaisir de déguster le goût sucré de sa bouche. Je ne l’espérais plus. J’aurais aimé lécher sa chatte, mais hélas je n’osai pas le faire et rompre le charme de cet instant magique.

 

Je rentrai le cœur léger pensant à Catherine, qui m’avait invité à un barbecue le soir même. Pourvu que son mari Laurent ait prévu des merguez épicées pour redonner du tonus à ma libido éteinte par Sandra. J’étais un peu inquiet car j’avais promis à Catherine et Laurent une soirée candauliste. Et il me faudra assurer seul sans compter sur Laurent, qui  sera spectateur.

Par kamasoutra
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Vendredi 11 juillet 5 11 /07 /Juil 17:55

J’avais fais la connaissance de Patricia sur le site minitel dialoguez. Elle était mariée toujours prête à délirer et se définissait comme une libertine sans tabous. Au téléphone elle m’avait raconté ses multiples aventures dans les lieux de rencontres chauds de Nancy en compagnie de son mari ou de copains. Je brulais d’envie de la rencontrer pour partager un moment de plaisir avec elle et qui sait de la faire frissonner. Un soir d’hiver, elle était seule et me téléphona me proposant de l’inviter dans mon cocon à déguster champagne, saumon et sucreries comme nous l’avions convenu un jour passé.

Quand j’ouvris la porte je fus éblouis, j’avais devant moi une ravissante blonde au sourire rayonnant et éclatant, qui correspondait à l’image idéalisée que je m’en étais faite avec nos délirantes discussions téléphoniques. Sous son manteau, je découvris une chemise décolleté rouge satinée et une jupe fendue noire. Le rouge et le noir, elle avait bien choisit ses couleurs pour me mettre en excitation maximale. Je lorgnais avec envie sur ses jambes galbées et sur sa poitrine provocante. Elle multipliait les positions aguichantes, croisait les jambes et écartait les cuisses pour me montrer sa petite culotte. Mais à chacune de mes tentatives pour l’approcher et la caresser, elle se faisait fuyante ou retirait ma main trop entreprenante. Pendant deux heures tout en buvant champagne et dégustant nos amuse-gueules, j’avais tenté ma chance à maintes reprises, j’avais essayé de l’attirer à moi, elle se refusait comme si elle prenait plaisir à m’exciter et à me résister.

J’étais plutôt déçu, je ne pensais pas avoir affaire à une allumeuse, après tout ce qu’elle m’avait raconté, j’étais frustré de n’avoir pas ma part de plaisir avec son corps appétissant. Même mes tentatives de caresses de ses seins et de ses cuisses avaient avortées, je n’avais pu que les deviner à travers le tissu.
Subitement une idée coquine germa dans ma tête, je décidai de forcer un peu le destin, et de jouer ma dernière carte. J’avais trop envie de faire l’amour avec elle. Alors je lui proposai une banana split comme dessert, je savais que c’était son dessert favori, mais je l’accommodai à ma façon. Je lui resservis du champagne pour qu’elle patiente le temps de ma préparation.

 

Je revins de la cuisine tout nu avec une banana split dans une main et dans l’autre une assiette contenant mes couilles, ma banane bien gonflée barbouillée de glace, de crème chantilly, de chocolat chaud, avec par-ci par-là quelques morceaux de fraise, de bananes et d’amandes. Je m’installai à ses cotés et lui offrit son dessert.
Elle était morte de rire, stupéfaite elle ne s’attendait vraiment pas à cela. Une fois remise de sa surprise elle décida de gouter, timidement pour commencer, prenant la crème chantilly avec la cuillère, qui raclait mon sexe, puis jouait avec la fourchette qui se mit à titiller ma queue.
Je m’efforçais de rester en érection, pas facile avec la glace qui me refroidissait, mais ses piques me redonnaient de temps en temps de la vigueur et redonnait du tonus à mon érection. Quand il ne resta plus que ma queue dans l’assiette, elle fit comme tous les gourmands, elle se mit à lécher les restes de crème et de chocolat sur l’assiette et sur ma queue pour mon plus grand bonheur. L’appétit vient en mangeant, bien sur elle ne se contenta pas de la nettoyer, elle me montra ses dons pour la pipe. Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter en moi tant ses caresses, ses succions, ses aspirations étaient délicieuses. Elle alternait des mouvements lents et doux avec des violents et rapides pénétrations jusqu’au fond de sa gorge.
Et puis mes mains purent enfin aller s’aventurer sous sa jupe et dans son soutien gorge constater la peau douce de ses cuisses et la fermeté de ses seins. Mais hélas je constatai que la porte du bonheur était bien fermée pour cause d’inondation. J’abandonnai l’idée de lui faire l’amour et me consacrai égoïstement au plaisir de la fellation, qu’elle pratiquait à merveille. Je réussis à dégrafer sa chemise et à libérer ses seins gonflés d’excitation, que je pus caresser à volonté. Je titillai ses tétons durcis comme pour lui communiquer ma satisfaction.

 

Quand elle sentit ma jouissance approcher, elle se retira, tira sur mon prépuce, dirigea ma lance vers moi, et tout en me massant vigoureusement les couilles, me masturba énergiquement. Je m’abandonnai de plaisir, me raidis tout en exprimant bruyamment ma jouissance et je reçus les giclées de sperme sur le cou et la poitrine. Alors elle s’empara de nouveau de mon bout luisant, aspira avec gourmandise le restant de sperme qui s’écoulait. Je sentis mon gland aspiré et poli dans sa bouche chaude et humide. Puis elle me lécha le corps à la recherche de toutes les giclées répandues ici et la. Cette pipe se termina par une étreinte ardente et un long baiser fougueux partage buccal de ma jouissance.

 

Par kamasoutra
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Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 18:07

Ce week-end a été particulièrement chaud. Réjouissons-nous car dans l’est de la France ce n’est hélas pas si courant. Alors pour Pascale et moi tous deux des adeptes du barbecue en plein air, ce fût un régal. Je connais un petit coin tranquille au bord d'une petite rivière, où on peut sans risques y faire un feu de camp même à la saison chaude. C'était très agréable de faire cuire des merguez et des gambas en plein air tout en se tripotant la saucisse et la moule. Samedi dernier, il faisait doux et chaud, et malgré l'orage menaçant, nous avions décidé de passer la nuit à se faire des câlins  autour du feu et sous les étoiles. Nous portions tous les deux une tenue décontractée, moi un short large, ce qui permettait à Pascale de venir facilement entretenir le feu en moi par des caresses masturbatoires et des petites sucettes. Elle était super sensuelle avec sa petite minijupe ras le cul et son boléro qui laissait une totale liberté à ses petits seins fermes arrogants avec ses tétons pointus. Elle aimait s'allonger sur la couche m'excitant en écartant les cuisses et me montrant ses charmes. Son plaisir était aussi de se masturber sous mon regard excité et tenté. L'endroit était à priori calme et désert, et nous pensions être seuls au monde. Pascale et moi faisions en plein air ce que chacun de nous fait dans l'intimité sans aucune retenue. Pour l'instant nous en étions aux préliminaires tout en savourant un petit rosé conservé bien au frais dans la rivière. Elle me provoquait me montant sa chatte et ses seins. Nous avions décidé de faire l’amour à la nuit noire. S'il y avait des mateurs cachés derrière les fourrés, qu’ils patientent. Nous étions des habitués de cet endroit, cela nous excitait aussi d’imaginer que quelqu’un avait deviné notre manège et nous espionnait.

Nos sexes étaient dégustés à toutes les sauces. Entre deux merguez Pascale me suçait la saucisse au ketchup, moi je lui léchais la moule à la mayonnaise, le cul au chocolat liquide, elle enchaina par une pipe à la chantilly, le rosé aussi eut la faveur d’être savouré en accompagnement de nos sexes. J’utilisai la bouteille presque vide comme godemiché pour le plus grand bonheur de Pascale, qui se trémoussait sous mes coups de langue. Le restant du vin se déversait dans son sexe et lui donnait une odeur fruitée dont je m’enivrais avec délice.

Nous avions fini de manger quand des grosses gouttes de pluie se mirent à tomber, accompagnées de superbes éclairs annonçant l’orage alors on rangea notre matériel plutôt déçus de finir ainsi, il restait la possibilité de faire l'amour dans la voiture sous la pluie, mais bon on l'avait fait déjà tant de fois. Alors comme il faisait chaud on se déshabilla, on s'allongea nus sur notre serviette et on commença à faire l'amour sous la pluie. Un long baiser tendre et passionné pour commencer, puis un 69 fougueux pour se mettre en appétit, la pluie qui s'intensifia ne refroidit pas nos ardeurs au contraire elle mouilla nos corps qui devenaient de plus en plus lisses et glissants, une odeur de terre mouillée nous enveloppa et nous excita. Nos origines animales se réveillaient dans cette ambiance nature.


J'avais pris Pascale debout et je la faisais aller et venir sur ma queue en la soulevant par les fesses quand un bruit de branches qui craquaient stoppa nos ébats. On se regarda surpris, et si il y avait quelqu'un caché dans les fourrés, qui nous observait. Puis plus rien, plus le moindre bruit, sauf le bruit de la pluie et des gouttes d’eau qui crépitaient dans la braise. Une bête sauvage surement attirée par le feu qui résistait à l'averse. Pascale n'était pas trop rassurée, je lui annonçai que j'avais invité une bande de potes à venir nous mater, et qu'ils allaient la faire jouir chacun à leur tour. Elle me frappa de rage, mais moi je continuai à lui faire l'amour amusé par ma réflexion et la prit en levrette, je l’avais bien en main. On frissonnait de plaisir sous l’averse, qui redoublait de violence. Ma queue s’enfonça dans son cul avec facilité. Pascale était une adepte de la sodomie, son cul était en folie quand elle avait une bite qui la défonçait. Ses hanches s’agitaient comme pour grignoter ma queue, notre jouissance ne tarda pas à se manifester. Quand je déchargeai ma semence chaude dans son petit cul serré, elle se raidit comme si elle avait prit la foudre. Et tous les deux nous lançâmes en cœur un cri de bête en rut. Nos corps restèrent encore collés l’un contre l’autre pendant quelques minutes, haletants du plaisir consommé. Et puis ma queue, qui ramollissait se remit à aller et venir lentement dans son cul lubrifié par ma semence. Je sentis Pascale avoir des convulsions et des soubresauts et je l’entendis gémir à nouveau, signe de l’approche d’un nouvel orgasme, ma queue durcissait et se faisait de plus en plus rapide. Je m’agitais de plus en plus vite tout en lui masturbant le sexe. Elle retarda son plaisir le plus longtemps possible et soudain explosa, plaintes cris mêlés à des gestes vifs désordonnés.

Nous étions seuls au monde, seuls avec la nature, seuls avec les éléments. Le retour aux sources. La pluie lava nos corps haletants

L’orage passé on se sécha et on se réchauffa autour de la douce chaleur des braises du feu, qui avaient résisté.

Par kamasoutra
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Vendredi 13 juin 5 13 /06 /Juin 17:59

 

J’étais en déplacement professionnel dans la région parisienne en compagnie de Michel mon responsable hiérarchique un homme pas très amusant, trop sérieux, qui de plus connaissait bien ma femme, alors je ne pouvais pas me laisser aller à séduire les quelques femmes charmantes qui hantaient l’hôtel et qui me plaisaient bien. La semaine s’annonçait tristounette et frustrante.

Il y avait match de foot ce mercredi soir, alors j’en profitai pour me retrouver seul dans ma chambre et téléphoner à quelques copines. Marc avait horreur du foot, j’avais une bonne excuse pour l’abandonner à ses dossiers. J’étais à peine dans ma chambre depuis cinq minutes que j’entendis frapper. Je pensais que c’était Michel. J’ouvre la porte, personne. Après avoir refermé j’aperçois un papier plié qui avait été glissé sous la porte.
" Je vous trouve très mignon Marc, aimeriez vous passer la soirée en ma compagnie ? Magali 068865.... "

C’était trop beau pour être vrai, qui était cette farceuse, qui me tentait ? J’avais croisé plusieurs regards enjôleurs dans un groupe de femmes au restaurant. Était-ce une d’entre elles, qui m’avait remarqué et qui avait une envie. Au buffet l’une d’entre elles m’avait abordé me laissant l’impression de me draguer. Ou alors elles avaient décidé de me tendre un piège et de s’amuser à leur manière. J’étais perplexe, il fallait s’attendre à tout de la part d’un groupe de femmes excitées. Et puis il y avait cette blonde ravissante qui me matait discrètement, mais j’avais l’impression qu’elle était avec son mari. Je regrettais franchement que Michel ait voulu m’accompagner cette semaine dans ma tournée. D’habitude c’était beaucoup plus calme dans les hôtels que je fréquentais. Cette fois-ci j’avais le sentiment d’avoir plusieurs opportunités, mais j’étais coincé à cause de la présence de mon chef.

Finalement je me décidai : le plus simple était de l’appeler, et j’aviserai en fonction de ses réponses. Après tout je ne risquais rien. Comme d’habitude cette situation troublante me grisait et m’excitait. Je composai son numéro tout en prenant la précaution de cacher le mien. Au bout de quelques sonneries son répondeur m’accueillit par : "  vous êtes bien sur le répondeur de Magali, laissez moi un message ". Je me contentai de dire : Bonsoir c’est Marc, je vous rappelle plus tard. Sa voix était douce et agréable, assez jeune, plutôt sensuelle, elle me fit rêver à une soirée câline, mais j’étais vraiment intrigué car elle connaissait mon prénom. Ce n’était pas la patronne de l’hôtel, ni une des serveuses, elles étaient occupées au restaurant. Et je n’avais reconnu personne ici depuis le début de notre séjour. Bizarre, vraiment bizarre, j'étais intrigué.
Au deuxième appel, Magali répondit et me remercia d’avoir persévéré. Sa voix m’était totalement étrangère, j’en étais sur. Alors qui  pouvait-elle être? Je la questionnai mais elle se mit à jouer au chat et à la souris avec moi. J’entrai volontiers dans son jeu et me mis discrètement à la questionner sur ses envies, ses fantasmes, son physique. Mais elle resta sans réponses, qui m’éclairent sur elle. Je lui proposai alors de se voir, mais elle n’accepta qu’à la condition que j’accepte de faire l’amour avec elle. J’étais pris au piège, mais après tout j’avais fait l’amour avec des inconnues dans le noir sans les connaître à plusieurs reprises. La situation ne me déplaisait pas, d’autant plus que j’avais exigé d’avoir carte blanche sur elle. Elle devait être soumise. Alors je l’invitai à venir me rejoindre dans ma chambre en espérant que Michel ne me sollicite pas.


 Magali était une petite brune au teint mat, les yeux très clairs. Je me souvins alors de l’avoir aperçue le jour de notre arrivée, elle était juste derrière nous et avait entendu mon nom et prénom et mon numéro de chambre. Elle était mariée comme moi, je lui rappelais un ancien amant. C’était son dernier soir à l’hôtel, et elle avait décidé de se jeter dans la gueule de loup. Elle portait un tailleur noir avec élégance, je devinai une poitrine lourde sous sa veste. Ses fesses étaient bien arrondies, je rêvai de suite à une superbe levrette mes mains bien cramponnées à son 95C. Son parfum subtil m’envouta, et me fit perdre la tête. Je crus le reconnaître :"Angedemon".


A peine avait-elle franchit et refermé la porte, je l’attirai vers moi, la prit dans mes bras, me jetai sur elle tel un loup affamé et l’embrassai avec fougue. Ce baiser passionné dura quelques minutes pendant lesquelles nos mains firent le tour du propriétaire. Quelques minutes plus tard nous étions nus sur le lit, nos vêtements éparpillés dans la chambre. Ma queue raide pilonnait sa chatte baveuse encouragée par les cris des supporters du match de football. Je la pris dans toutes les positions. Elle me suça , je la léchai, il n'y eut aucune mi-temps dans nos ébats, et nous n'entendirent pas l'arbitre siffler la fin du match. Nous avons joué  les prolongations et après les tirs aux buts.
On s'endormit exténués,  enlacés et c'est elle qui me réveilla par une pipe amoureuse.


Le lendemain, elle prit son petit déjeuner assise juste derrière Michel. Elle était dans mon champ de vision, et offrait à ma vue ses charmes, que j'avais tant apprécié. Son décolletté provocant allait exciter aujourd’hui des dizaines d’hommes, et je vis distinctement quand elle écartait les jambes, qu’elle n’avait pas mis de culotte comme elle me l’avait indiqué. La tache sombre de sa toison touffue se détachait nettement de sa peau claire et de ses bas foncés. Après m’avoir fait jouir toute la soirée, elle avait décidé d’exciter les hommes toute la journée et de jouer les allumeuses.

   Je suis toujours épaté quand une femme provoque la réalisation de ses envies.

 

Par kamasoutra - Publié dans : Fantasmes
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Mardi 3 juin 2 03 /06 /Juin 17:50

J’étais allongé sur mon lit d’hôpital depuis une semaine la jambe droite dans le plâtre suspendue en l’air. Je me morfondais là conséquence d’une stupide chute de vélo dans les bois. Les journées étaient longues dans cette position inconfortable. Et de plus je partageais la chambre avec un vieux grincheux, qui le jour râlait sans cesse et la nuit ronflait fort ou gémissait. Autant dire que je dormais mal, et j’essayai d’oublier mes insomnies par la masturbation. J’associais dans mes rêves lubriques Mireille l’aide soignante un peu rondelette, qui me faisait souvent ma toilette le matin. Elle avait un très beau visage, des lèvres pulpeuses, et un cul proéminent. A chaque déhanchement je me demandais si son pantalon n’allait pas craquer. Mais bon elle m’excitait, elle me faisait bander. J’avais envie qu’elle me suce, de la prendre en levrette, et de l’enculer. Ma libido était sens dessus dessous, il faut dire que je n’avais pas consommé depuis trois semaines, ce qui pour moi était assez rare.

Cette nuit-là, j’étais dans un demi-sommeil, quand elle entra dans la chambre accompagnée d’une collègue, que je n’eus pas le temps de voir dans l’obscurité, mais dont la voix m’alerta et me rappela quelqu’un. Je repassais sans cesse dans ma tête cette voix qui m’obsédait car j’étais certain de la connaitre. Au bout d’une heure, j’avais trouvé, j’en étais sur. C’était Régine, que j’avais connu plusieurs années auparavant, à une époque ou j’avais plusieurs liaisons. Elle était aide-soignante, mais ne travaillait dans cette clinique à l’époque. Elle m’avait largué quand elle s’était doutée de ne pas être la seule dans ma vie intime. Sexuellement c’était un super coup, gourmande, coquine, et la levrette était un régal avec ses rondeurs sensuelles.

Le lendemain c’est elle qui vint faire ma toilette, bien sur elle m’avait reconnu, mais elle était un peu gênée de me retrouver dans ces circonstances. Je lui fis comprendre que notre différent était oublié, elle me raconta qu’elle s’était mariée, mais je compris très vite qu’elle avait fait une mauvaise pioche et que ce n’était pas la joie dans son couple. Cela me faisait plaisir de la revoir, je ne me gênais pas pour bander pendant la toilette et lui montrer qu’elle me faisait toujours de l’effet, j’attirai sa main vers mon sexe tendu lui proposant de me masturber. Mon voisin était sorti pour des examens, on était seuls dans la chambre, Régine m’agitait fébrilement se retournant fréquemment pour guetter la porte de peur que quelqu’un n’entre à l’improviste. J’étais tellement excité et en manque que je jouis en un temps record sous son regard amusé.

Je proposai plus tard à Régine de me faire une pipe, elle ne dit pas non, mais à la condition seulement que Mireille fasse le guet pour la protéger. Ce n’est que la semaine suivante, que l’occasion se présenta, mon affreux voisin était parti, j’étais seul dans la chambre et elles travaillaient de nouveau de nuit en binôme. Régine qui était copine avec Mireille lui avait bien sur raconté la scène de la masturbation, et depuis je la trouvais plus amicale, plus complice, au petit soins pour moi, prête à tout pour me faire plaisir. Mireille était d’accord, mais elle voulait sa part du gâteau et exigea de me sucer en premier pour être sure de profiter de ma queue bien dure. J’acceptai et lui mis mes conditions, je voulais voir sa chatte, la lécher, la masturber. Mireille céda à mes exigences et Régine fit le guet dans le couloir la porte ouverte pour mieux communiquer en cas de visite inopportune, mais la nuit elles ne risquaient rien. C’était calme, très calme. Je l’apercevais même de temps en temps qui matait Mireille en pleine action. Mireille avait baissé son pantalon et sa petite culotte, et m’exhibait son gros cul, qui m’excitait tant. D’une main je lui caressais la chatte, de l’autre les fesses et son trou du cul, pendant qu’elle me pompait. Ses lèvres pulpeuses serraient ma bite et sa langue râpeuse me limait avec délice. Je dus faire des acrobaties pour pouvoir lui lécher la chatte au gout acidulé. Je me contorsionnais pour enfiler ma langue dans son vagin. Finalement elle s’installa en 69 sur moi, et je pus aisément lécher son con trempé de mouille. J’étais tellement en manque , je lui bouffai le cul , lui mordillai le clitoris, et lui devorai la chatte à m'en couper la respiration. Son cul se tremoussait de plaisir sous mes coups de langue, elle aussi paraissait affamée de sexe et de jouissance. 

Plusieurs fois dans la nuit, elles se relayèrent à mon chevet pour me pomper, j’essayai de résister le plus longtemps possible, finalement je crachai la purée dans la bouche de Mireille, elle y mettait tout son cœur pour me faire gicler dans sa bouche et eut droit à cette récompense tant méritée. Régine récolta les miettes en nettoyant mon outil. Mais bon elle avait eu le plaisir de me gouter plus intensément il y a quelques années.

A ma sortie d’hôpital, Mireille me laissa son numéro de téléphone me proposant de me faire quelques séances de rééducation sexuelle. Ce fut un bonheur de défoncer son gros cul en feu. Et puis elle acceptait tout ce que je lui demandais, rien n’était tabou chez elle, elle me permit de réaliser nombre de fantasmes. Les bons coups ne sont pas toujours les femmes canons bien au contraire.






Par kamasoutra
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Vendredi 16 mai 5 16 /05 /Mai 18:27

Un de mes collègues se vanta un jour à la cantine d’avoir une femme médecin super canon. Je fus évidemment intéressé d’en savoir plus. Discrètement je le questionnai à son propos et je réussis à lui faire avouer l’adresse de son cabinet. Le lendemain je prenais rendez-vous pour la consulter m’inventant une crise hémorroïdaire.

Il y avait plusieurs personnes avant moi dans la salle d’attente, j’eus donc la possibilité de l’apercevoir avant qu’elle ne me fasse pénétrer dans son cabinet. Mon collègue n’avait pas menti, elle était classe, vraiment bien foutue, une superbe blonde à lunettes l’air intellectuelle, vraiment excitante. Ne me connaissant pas parmi ses patients, je lui expliquai que j’étais à Nancy depuis quelques mois seulement. Je l’informai sur mon souci, et elle me posa quelques questions personnelles, m’invita à me déshabiller et me fit d’abord une auscultation classique avec stéthoscope et prise de tension. Je savourai la douceur de ses mains sur ma peau, et humai son parfum délicat, qui excita mes sens. Discrètement je l’observai à la dérobée et appréciai ses charmes. Je l’imaginai nue devant moi me provocant avec son corps de déesse.Venant au fait de ma problème, elle m’interrogea sur mes pratiques sexuelles, bien sur je lui dis la vérité sur mes nombreuses conquêtes féminines, sur les trios avec des couples que j’avais eu le bonheur de pratiquer, mais je mentis et m’inventai quelques relations physiques avec des hommes. Elle s’inquiéta de savoir je me protégeai bien. Je la rassurai.
Elle me demanda alors d’enlever mon slip pour me faire une inspection complète. Elle avait mis des gants de protection en vinyle, mais malgré tout j’eus vite une belle érection. Je ne résiste pas quand une femme me tripote les couilles et me touche la verge, médecin ou pas, une belle femme me fait bander, et là plus que jamais j’avais envie de lui montrer l’effet qu’elle me faisait. Devant mon attirail déployé, elle me fit ce commentaire : je comprends que vos aventures soient si nombreuses, mais je me retins de lui répondre même si j’en avais très envie : " prenez la queue. "
Elle me donna l’impression d’apprécier mon petit jeu, alors je décidai de la provoquer au maximum, c’est elle qui avait la position dominante, moi j’étais obéissant. Les hommes sont très pudiques avec les femmes médecins c’est ce que m’avait raconté Marianne un toubib rencontrée sur internet. Elle me demanda ensuite de monter sur sa table, de m’accroupir et de pencher le corps en avant afin de pouvoir inspecter mon anus. J’offrais mes fesses bien écartées à sa vue, avec en prime les couilles pendantes. J’avais l’impression de faire ma prière, et je me disais : doigte moi, fais moi jouir. Je l’imaginais excitée matant mon cul et mon sexe à l’abri de mon regard. Elle m’indiqua qu’elle allait me faire un toucher rectal m’enfiler un doigt dans l’anus pour tâter d’éventuelles hémorroïdes et qu’elle en profitera pour inspecter ma prostate. Cela peut être douloureux, m’avertit-telle. Bien sur je savais ce qui m’attendait, j’en étais ravi, j’en palpitais de plaisir et mon anus se dilatait d’avance.

Âpres avoir enduit son doigt d'un gel, j’eus le bonheur de le sentir me pénétrer avec douceur, j’avais le feu aux joues tellement elle me faisait de l’effet. Mon cul n’offrait aucune résistance à son doigt glissant en moi avec agilité. Par moments je sursautai et gémissais feignant une petite douleur que je lui localisai à l’entrée de l’anus, elle repassa plusieurs fois son doigt cherchant vainement quelque chose. Ma tige se redressa sous l’effet de ses caresses anales. J’avais le feu aux joues, le cul en feu, je me retenais pour ne pas me trémousser. J’appréciai chaque toucher comme une caresse, chaque pénétration comme une jouissance. Je ne me retenais pas de lui montrer le plaisir de ses attouchements, ce qui lui laissa paraître un regard coquin et amusé.
Elle me demanda alors si j’avais mal quand je me faisais enfiler, je lui répondis que je n’avais encore jamais essayé, je sentis une gêne de sa part et je la vis même rougir en s’excusant d’avoir mal interprété mes propos. Elle ne me trouva que quelques rougeurs à l’orifice de mon anus, j’avais juste un peu abusé quelques heures avant la consultation du vibro de ma copine, il fallait bien que je justifie mes douleurs par du visible. En tout cas voila une bonne idée pour se faire tripoter les parties et vivre un moment excitant.

 

 Depuis Isabelle est devenu mon médecin personnel, je lui suis resté fidèle comme patient plusieurs années jusqu’à ce qu’elle décide de partir vivre dans le sud. Je raconterai une autre fois dans quelles circonstances j’ai eu le bonheur de jouir avec elle.

Par kamasoutra
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Vendredi 9 mai 5 09 /05 /Mai 13:19

J’avais contacté Vanessa par petite annonce sur internet. Elle me proposait un moment de relaxation sensuel à base d’huile dans un cadre reposant terminé par une fellation complète. Je devais être totalement passif, c’étaient ses conditions.
Je profitai d’un passage professionnel à Paris pour lui rendre visite. Il faisait un temps splendide ce jour de juin, une chaleur un peu écrasante même, et j’avais eu une journée épuisante. J’étais tenté de me laisser câliner, d’offrir mon corps et de m’abandonner à des caresses expertes. Je l’avais appelé le matin pour lui confirmer mon rendez-vous vers 19h. Sa voix chaude et sensuelle m’avait retourné les sens et toute la journée j’eus à l’esprit ce moment tant espéré.

Elle m’accueillit en tenue légère avec son sourire mi-ange mi-démon, les yeux pétillants de sensualité. A son premier regard, je sentis le désir et l’excitation monter en moi. Mon cœur battait la chamade quand elle me fit la bise. Son parfum était envoutant. Vanessa était une ravissante blonde aux yeux verts de 30a, aux mensurations idéales 1m73 58kg 90C, un corps ferme, une allure féline, une plastique de sportive.
J’eus tout de suite le sentiment d’être en tendre compagnie, elle savait vous mettre en confiance. La conversation s’engagea très vite entre nous sur divers sujets comme deux vieux amis qui se retrouvaient et ont des tas de choses à se dire et à se demander. Le feeling entre nous fut immédiat. Je baignais dans une douce quiétude.
Après m’avoir offert une boisson rafraichissante, je lui offris le cadeau convenu . Elle me proposa de prendre une douche pour être plus à l’aise, j’acceptai avec joie. Alors elle se mit à me déshabiller lentement avec des gestes sensuels comme si elle ouvrait l’emballage de son cadeau. Je me laissais faire. Une fois complètement nu, elle m’entraine dans sa douche ou l’eau tiède me rafraichit les idées. Elle me savonne le dos, les reins, les fesses, le ventre, la poitrine . Mes parties intimes ne sont pas oubliées et elle déclenche un début d’érection, qui la ravit. Le savon liquide au parfum de noix de coco permet à nos corps de glisser l’un contre l’autre. Elle me donne un petit aperçu de ses talents de masseuse.

 

 Une fois allongé sur le ventre, elle m’enduit le corps d’une huile parfumée, qu’elle répandit avec douceur, évitant mes parties génitales, Je fermai les yeux essayant de me détendre, et savourant ce moment de bonheur, bercé par une musique douce et par le chant des oiseaux venant de la cour voisine. Ses mains massaient avec délicatesse et glissaient sur ma peau, de temps en temps s’attardaient sur les parties de mon corps tendues, où elle alternait des effleurements voluptueux avec des pressions glissées. Son corps luisant ondulait sur le mien avec légèreté, ses tétons pointaient et me caressaient. Aucun muscle n’échappa à ses palpations. Ma nuque raide et mon dos retrouvèrent rapidement leur souplesse.
Son massage de type californien était un vrai moment de bonheur.
Quand elle me demanda de me retourner et de me mettre sur le dos, j’étais comme un cerf en rut. Elle évita de me toucher les parties génitales qu’elle frôlait avec jeu notant les réactions brusques avec amusement. Mon corps était sous pression, j’essayai de me détendre, de m’abandonner totalement, mais j’avais une folle envie d’être actif. Je devais la laisser faire. Ses mains vagabondèrent sur tout mon être, provocant frissons et émois, j’accompagnai ses caresses d’ondulations et de gémissements de plaisir. J’étais en admiration devant ce corps svelte, qui me donnait tant de délices. Puis elle s’installa à califourchon sur moi me tournant le dos. Sa chatte presque entièrement épilée frôlait mon visage. Des effluves épicées excitaient mes narines. Quelques touffes de poils me caressaient les joues. Son petit cul excitant se trémoussait devant mon visage. J’avais une vue superbe sur ce sexe ouvert qui me faisait envie et que je ne pouvais lécher. Ses lèvres luisantes de mouille, son clitoris gonflé, sa fente qui m’attirait, son anus aussi qui palpitait, me guettait et me faisait des clins d’œil mutins. J’aurais voulu qu’elle s’asseye sur mon visage, qu’elle masse mon visage avec ses fesses. Elle me tentait et attisait mes envies tout en me massant le reste du corps tête bêche. Je penchai ma tête en avant pour humer au plus près ses fruits défendus. Mon corps était parcouru de frissons, qui me donnaient la chair de poule. Et puis elle mit à effleurer mon sexe toujours tendu pour le faire réagir. A chaque fois le soubresaut était immédiat et il se dressait tétanisé et gonflé de désir. Vanessa d’une main me caressait les couilles, de l’autre actionnait ma verge avec délicatesse, sa bouche allait et venait en cadence sur mon bout, qu’elle aspirait, engloutissait profondément, suçait et léchait avec cérémonial. Elle me félicita sur mon engin, qu’elle trouvait appétissant et soigné. Je me suis dis : elle me flatte pour me faire plaisir, mais j’appréciai, elle sait que les hommes sont fiers de leur queue, un petit éloge plaît toujours.

Je gémissais de plaisir, mes râles s’amplifiaient au fur et à mesure qu’elle m’astiquait le bout. Par moments ce sont ses tétons pointus qui me titillaient les couilles, laissant derrière eux une peau frissonnante. Vanessa passa la vitesse supérieure, le rythme de mes halètements et de mes soupirs lui confirmèrent que j’étais proche de la mise sur orbite. La jouissance finale montait, mes fesses se soulevaient à la même cadence que sa bouche absorbait mon sucre d’orge. Nous étions synchrones. Le bouquet final du feu d’arficice fut magique, Vanessa accueillit mes gerbes de sperme dans sa bouche maintenant fermement ma lance sous pression de ses deux mains avalant avec délection mon nectar qu’elle lécha jusqu’à la dernière goutte en aspirant mont bout tétanisé me provoquant des tremblements de plaisir. Mon réflexe immédiat fut de saisir son bassin à bras le corps oubliant nos convenances premières, et ma tête s’enfouit dans sa chatte trempée, que je léchai goulûment. Ma langue tournoyait comme folle et ivre dans ce puits de plaisir. Vanessa essayait de se dégager mais je la maintenais fermement décidé à la faire jouir allant de son clitoris à son œillet anal parfumé sans relâche. Elle céda sous mes succions vigoureuses, s’abandonna tout en suçotant mon biberon en relâche et émit quelques cris aigus de plaisir. Son sexe s’agita frénétiquement pendant quelques secondes, puis retomba inerte sur ma bouche trempée de sa mouille mielleuse.

 

Alors un conseil pour vous messieurs qui aimez l’évasion, la détente, le plaisir dans un cadre laissez vous tenter par Vanessa ou par une de ses nombreuses amies.
Et vous mesdames, si vous n’êtes pas jalouse et souhaitez faire plaisir à votre homme offrez-lui ce moment de détente sensuel. C’est magique, la vie est si courte sachons profiter des bons moments de plaisir.

Par kamasoutra
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Mercredi 30 avril 3 30 /04 /Avr 18:05

Le 1er mai évoque est pour moi tous les ans l’occasion de me remémorer une cueillette de muguet très sensuelle. Quand je rencontrai Violaine pour la première fois, elle me confirma comme le disait l’annonce qu’elle avait passé sur internet, qu’elle cherchait un amant. J’étais divorcé à l’époque, et malgré de nombreuses aventures sans suites, j’étais tenté d’avoir une liaison régulière avec une femme mariée. L’idée d’être l’homme de cœur d’une bourgeoise m’excitait terriblement, surtout de la séduire et de la subtiliser à son mari. Certes Violaine cherchait un amant, la moitié du chemin était fait.

J’avais été très prudent lors de notre premier contact, je ne voulais pas que Violaine me considère comme un séducteur, qui l’aurait abandonné après avoir couché avec. Comme elle manifesta l’envie de me revoir, c’était la veille du 1er mai, je m’en souviens bien, car je lui proposai d’aller cueillir du muguet dans un bois aménagé en parc. Le muguet était très en avance cette année là, et je savais que nous en trouverions sans difficulté.

Violaine était une ravissante brune de 35a, mince de corps, avec des superbes jambes, qu’elle mettait en valeur avec sa robe légère. Nous nous promenions dans les allées du parc, de temps en temps nos corps se frôlaient, se touchaient involontairement ou volontairement. Chacun attendant un signe d’approche de l’autre tout en faisant connaissance. J’avais envie de lui prendre la main, de la caresser, de la prendre dans mes bras, de l'embrasser passionément.J'attendai un peu , et puis soudain je me décidai à prendre ma chance avec le muguet pour porte-bonheur. Sa main ne se déroba pas  au contraire , elle s'accrocha fermement à  la mienne et me sourit montrant son envie. Son regard profond me pénétra et fit battre mon cœur, une poussée de désir m’envahit. Ses yeux bleus exprimaient une envie folle et m’invitaient à prendre possession d’elle. Je l’attirai dans mes bras et la serrai tendrement.
Nos bouches se rapprochèrent et se mélangèrent. Un doux et long baiser tendre avec pour musique de fond le chant joyeux des oiseaux .
J’entendais son cœur battre, mes mains caressaient son corps par-dessus sa robe, je la pressai contre moi avec passion, je ne sentis rien sous sa robe, ni soutien gorge, ni slip. Elle était nue sous sa robe légère. Je lui fis remarquer agréablement surpris et excité, elle répondit en souriant : oui j’aime sentir le vent coquin faire frissonner mon corps. Elle avait un visage d'ange, mais je me rendis vite compte qu’en elle bouillonnait une belle amante.

Je me penchai vers ses tétons durcis, que j’aspirai à travers sa robe. Je me baissai, m’agenouillai, relevai sa robe, admirai sa toison brune soigneusement taillée, plongeai ma tête entre ses cuisses sous sa robe, une odeur excitante et suave m’attira vers sa chatte que je léchai avec délice. Elle maintenait ma tête contre son sexe avec ses mains. Elle mouillait comme une belle salope. Avec elle j'allais de surprise en surprise, Violaine portait une boucle à une de ses grandes lèvres. Un petite coquetterie personnelle me dit-elle.

 

Nous étions au bout du chemin du parc, on entendait crier des enfants qui jouaient au loin. On devinait leurs silhouettes comme eux devaient voir la notre. J’avais peur que quelqu’un nous surprenne, et cela ajoutait de l’excitation à mon plaisir. Nos corps  ondulaient debout, elle haletait .

Je me suis relevé avec l’odeur de sa chatte sur mes lèvres, lui ai fait partager par un nouveau baiser. Pendant ce temps Violaine fouillait dans mon pantalon à la recherche de mon sexe qui bandait, l’extirpa par la braguette, et l’enfila dans sa chatte mouillée. Nous sommes restés de longues minutes pendant lesquelles mon sexe coulissait lentement dans son ventre, elle m’accompagnait en remuant des hanches. Et puis ses coups de reins se sont accentués. Elle s’accrochait à moi de plus en plus fort et gémissait bruyamment, alors mon gland fut pris de spasmes. Je jouis très vite, Violaine aussi excités tous les deux par la situation et par l’envie qui sommeillait en nous s’est réveillé brutalement et a explosé tel un volcan.


Je bandais toujours, de temps en temps je sortais ma queue raide et la prenais quelques minutes debout parderrière. Sa chatte mouillée accueillait mon membre avec plaisir.Ou alors on s’agenouillait pour ramasser du muguet et elle me suçait le bout ou alors j’en profitai pour la pénétrer accroupi tout en surveillant les alentours.





Par kamasoutra
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Jeudi 24 avril 4 24 /04 /Avr 18:06

J’avais rendez-vous avec ma Laure chérie dans sa chambrette d’étudiante pour lui faire l’amour. C’était une première, elle s’était enfin décidée à sauter le pas et j’étais excité comme un jeune homme allant perdre son pucelage. Enfin j’allais donner du plaisir à cette ravissante coquine, qui m'excitait sur internet et me faisait bander en solitaire depuis des années. Elle avait décidé de sécher les cours cet après-midi là sachant que je serai disponible.
Quand je suis arrivé, elle m’accueillit avec un regard timide et tourmenté. L’inquiétude se lisait sur son visage, son cœur devait battre à 200 à l’heure. J’essayai de la mettre en confiance la complimentant sur sa tenue séduisante et excitante. Elle portait un tee-shirt moulant laissant apparaître son ventre gracieux et une jupe volante avec dessous des collants noirs mi-cuisses et un string en dentelle noire.

J’avais amené une petite bouteille de champagne pour fêter cet heureux événement et pour la décontracter, chacun connaît son  pouvoir euphorisant et aphrodisiaque . Laure se laissa faire comme nous en avions convenu lors de nos dialogues sur internet. Je la déshabillai lentement savourant la fraicheur de son corps de jeune femme, que je découvrais à pas mesurés. Je la sentais frémir, se tortiller et se raidir sous mes douces caresses, je l’entendais gémir, quand je léchais sa toison blonde .
Elle avait les yeux fermés quand je le lui présentai ma queue raide, elle la tata, la caressa, je dus l’approcher de sa bouche pour qu’elle se décide à la gouter. Je ne voulais pas la brusquer, juste l’inciter, lui proposer, l’encourager à la prendre en bouche. Quand elle y consentit, ce fut un vrai bonheur se sentir ses lèvres douces et sa langue chaude et humide aspirer mon bout.
Je m’allongeai sur son corps et pris possession de sa chatte. Ses soupirs exhalaient de l’air chaud sur ma bite. Ma langue labourait sa chatte avec gourmandise, j’allais et venais entre ses lèvres, plongeait dans son vagin , y récoltait son nectar acide, titillait son anus, humait ses effluves subtiles.

  Je lui faisais découvrir toutes les positions, que j’aimais. Elle docile et lascive me laissait seul maître à bord de son corps. De temps en temps ma queue sortait de sa chatte pour calmer mon excitation et ma jouissance montante, allait frotter contre son clito, ou tentait de pénétrer son petit trou du cul. Elle se contactait. Laure n’aime pas la sodomie, mais je lui avais promis de ne pas lui faire. C’était juste une petite taquinerie.
Laure voulut goûter mon sperme, alors je m’abandonnai totalement à elle, la laissant me sucer à sa guise. Ses petits tétons durcis frottaient contre mes couilles. Elle me léchait  avec maladresse, par à coups, je vis très vite qu’elle manquait d’expérience, alors je la guidai pour me faire jouir. Elle eut un petit mouvement de recul, surprise quand mon jus chaud arrosa sa bouche par saccades. Elle ria contente de cette première pipe consommée et  goûta ensuite avec gourmandise le sperme qui s’écoulait de ma queue inerte.

En fait, c’est ma femme qui me suçait pendant mon sommeil, elle s’était réveillée aux premières lueurs du matin et n’arrivait plus à dormir. Elle était venue se blottir contre mon corps chaud, a senti mon sexe en érection, cela lui a donné envie de me caresser pendant mon sommeil, doucement pour commencer pour ne pas me réveiller, elle voulait noter mes réactions par rapport à ses caresses, elle adore caresser mes couilles épilées. Je me suis réveillé pendant mon éjaculation surpris de trouver ma Chérie entre mes cuisses suçant ma queue.
Mais aussitôt j’eus droit à une petite scène de jalousie, j’avais parlé pendant mon rêve et avait crié en jouissant " Oh OUI Laure !!! ". Je lui expliquai, que je rêvais que je faisais l’amour avec Laure, une de mes collègues, connaissant celle-ci et son physique ingrat, sa jalousie tomba aussitôt.
Je la remerciai pour ce délicieux rêve par un  cunnilingus avec un orgasme violent.

Par kamasoutra
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