Lundi 11 août 1 11 /08 /Août 18:49

France avait préparé un café bien serré que nous étions en train de boire tendrement enlacés. Elle était assise sur mes genoux la tête couchée contre mon épaule. Je la caressais lascivement savourant d’avance son corps que j’allais faire jouir. Elle portait une robe boutonnée sur le devant, qui me permettait de glisser ma main à l’intérieur sur sa peau douce. Je me rendis vite compte qu’elle était complètement nue dessous et cela m’excita encore plus. Cela me rappela ce soir où je l’avais rencontrée en boite. Elle m’avait tellement chauffé par ses trémoussements que j’avais joui dans mon slip en me frottant contre elle lors de ce slow d’enfer. Sentir ce corps nu sous la robe si fine et si légère m’avait mis hors de moi et je m’étais laissé aller. J’avais cette fois-ci l’intention de me contrôler pour la faire jouir le plus longtemps possible. Alors je prenais mon temps, je ne voulais rien précipiter, je savourais les minutes et les secondes qui passaient. J’avais l’impression d’avoir un ange endormi dans mes bras.

 

Je l’embrassais tendrement dans le cou , quand tout à coup elle se redressa brutalement, elle venait de voir passer la voiture de son mari devant la fenêtre du salon ou nous étions installés. Affolée elle débarrassa les tasses vides et les petits gâteaux secs en s’écriant :
- Je ne comprends pas, il devait travailler jusque 18h.
Heureusement, elle avait fermé la porte à clef et retiré celle-ci. Elle m’entraîna dans le large couloir de la maison et nous nous cachâmes dans une large penderie masquée par un rideau.
- France ma biche tu es là ?
Il monta à l’étage répétant sa question.
N’ayant pas de réponse, il prit son portable et composa son numéro. Heureusement France l’avait mis en silence pour ne pas être dérangée, et nous le sentîmes vibrer dans sa poche. Elle et moi nous retenions notre souffle plaqués l’un contre l’autre. Il laissa un message sur le répondeur.
- Allô ma bibiche t’es ou ? Je voulais te faire une surprise, je suis à la maison, j’ai envie de lécher ta petite chatte et de te faire un gros câlin, rappelle-moi vite ma chérie, je reprends le travail à 16h.
France me susurra à l’oreille:
- Ne t’inquiète pas, il ne vient jamais dans cette penderie, il n’y a que des vieux habits, il n’a aucune affaire
et elle ajouta tendrement :
- Fais-moi plutôt l’amour en attendant qu’il s’en aille.

Mais mes envies étaient tombées. Elle par contre avait enlevé les boutons de sa robe, et se mit à la recherche de mon sexe dans mon pantalon. Je me retrouvai debout avec le pantalon baissé aux chevilles, France essayait de réveiller mon chibre endormi par la situation.
Elle était à genoux, me le léchait de la pointe jusqu'aux couilles avec gourmandise. Au bout de quelques minutes je retrouvai mon érection habituelle, France m'avait promis qu'elle était une super pipeuse, sur ce point elle ne m'avait pas menti. Je me mordais les lèvres de peur de laisser échapper un petit gémissement. Mon cœur battait à tout rompre car de temps en temps son mari passait dans le couloir en sifflotant ou en chantonnant. Mes yeux fixaient droit devant moi de peur de voir le rideau s'écarter. Et pendant ce temps France continuait de me pomper, de me branler, de me caresser les couilles, de me doigter l'anus. Je lui tenais la tête pour refréner ses succions tellement elle mettait du cœur à l’ouvrage.

Ma jouissance fut un vrai supplice, j'avais envie de crier mon plaisir, mais quand je giclai dans sa bouche, j'étais totalement tétanisé, et complètement plaqué contre France pour essayer de la maintenir immobile. Mais le goût du sperme la fit repartir à un rythme endiablé. Je dus m'abandonner à la voracité de ses envies. Heureusement qu'entre temps son mari avait mis de la musique, qui a du couvrir mes gémissements et mes râles inévitables ainsi que les bruits de succions de France. Ce fut la pipe la plus interminable de ma vie, O combien délicieuse

Bien sur après cela France me demanda de la faire jouir, ce qui était bien naturel, la je dois avouer que je dus être un bien piètre amant. C'était la première fois que je lui faisais l'amour, je ne savais pas comment elle se comporterait. Je craignais ses débordements oraux. Alors je commençai par la caresser sur tout le corps lentement sans précipitation, je n'étais pas pressé de la faire jouir. J’espérais que son mari parte rapidement mais hélas il y avait encore une heure à tenir jusque 16h. Elle se laissait faire et semblait plus sage. Alors je me mis à la lécher. Sa chatte était trempée d'un jus acide. C’était délicieux mais j’aurais aimé le voir ce minou dont le duvet me caressai le visage. Elle me maintenait la tête entre ses cuisses et se déhanchait pour accompagner et accentuer mes mouvements de langue. Moi je la plaquai contre le mur pour lui éviter de bouger et de faire du bruit.

Je l'entendis gémir. Son mari aussi je crois dut entendre ses cris plaintifs car il baissa la musique brusquement. Je me relevai et l'embrassai à pleine bouche c'était la meilleure façon de lui éviter de faire du bruit en jouissant.
France toujours aussi affamée et excitée partit à la recherche de mon sexe en semi érection. Après quelques caresses expertes il avait repris sa rigidité habituelle.
Elle se l'enfila dans la chatte. Tout en continuant de nous embrasser nos corps se déhanchaient et s’agitaient lentement. Mon sexe coulissait dans sa chatte trempée avec un lent va et vient. Je sentais sa jouissance monter, sa poitrine gonflait et ses tétons devenaient durs. Je la maintenais fermement, elle avait ses bras enroulés autour de mon cou. Nos bouches étaient toujours avides l’une de l’autre. Seules nos oreilles étaient en alerte.

Son mari décida enfin à quitter la maison pour reprendre son travail, il était temps , le bruit de la porte qui claque déclencha le début de l’orgasme de France, qui m’enserra les reins avec ses jambes et se mit a s’agiter sur mon pieu telle une furie.

 

Moi je la pris sauvagement en levrette sur son lit lui défonçant la chatte et le cul encouragé par ses cris qu'elle avait réprimé dans la penderie. J’avais aussi besoin de libérer ma tension nerveuse.

 

Je ne revis jamais France, cette expérience m'avait calmé pour un moment des femmes mariées rencontrées au domicile conjugal.
Mais elle m’avoua quelques mois plus tard lors d'une discussion au téléphone qu'elle et son mari avait combiné ce scénario. Je n'avais été que le jouet de leur excitation.

Par kamasoutra
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