Mardi 29 juillet 2 29 /07 /Juil 18:11

L’été 98 a été mémorable à cause de la victoire de l’équipe de France de football. Mais pour moi il s’y rattache d’autres souvenirs. La semaine qui suivit cet événement, je fus surpris par la folie sexuelle qui régnait. Depuis quelque temps, j’essayai vainement de rencontrer un couple et de satisfaire ce fantasme. Cette semaine là, celle du 14juillet j’eus la chance d’en rencontrer cinq. Ce fut un vrai feu d’artifice. J’avais été contacté sur mon site de rencontres Minitel par Thierry, qui voulait offrir une double pénétration à son amie Sandra. Nous avions convenu par téléphone d’un 1er contact visuel au parc de la Pépinière à Nancy. Ce samedi après-midi de   juillet le soleil était resplendissant. Les femmes étaient habillées légères et sexy, il régnait un air de vacances, d’insouciance et d’envie de liberté.


Thierry me présenta son amie Sandrine, une belle jeune femme brune cheveux  longs ressemblant à Vanessa Demouy, elle portait une robe légère, qui lui arrivait mi-cuisses et laissait entrevoir ses formes. J’appréciai de suite son visage souriant affichant  bonne humeur et joie de vivre.
Nous nous installâmes en terrasse un peu à l’écart des autres groupes, Sandra était placée face à moi, je fus vite troublé par  son  charme, emoustillé par ses belles jambes qu’elle croisait et décroisait pour m’exciter et me montrer qu’elle ne portait pas de petite culotte. J’apercevais de temps en temps sa toison brune, qui se détachait de ses cuisses bronzées. Thierry me reprécisa les envies de Sandra, qui fantasmait sur les quadras et avait envie d’une double pénétration. Pas de fellation, pas de cunnilingus, pas de French kiss, cela limitait les variantes, mais bon elle était si craquante, que je  sus m’en contenter  . Et évidemment le port du préservatif obligatoire, cela me rassurait, et me permettrait d’avoir une érection plus longue. C’est elle qui devait diriger les ébats, et seul son plaisir comptait. Le but à atteindre était de la satisfaire, de la faire jouir. Notre plaisir était secondaire. J’acceptai avec joie leur  proposition qui était une aubaine malgré les conditions imposées.

 

Après avoir bu une bière blanche rafraîchissante Thierry nous amena dans son  studio sous les combles d’un immeuble tout proche. En un éclair Sandra se retrouva  nue,  me déshabilla en silence prenant le temps de découvrir mon corps , me prit la main et m’entraîna sous la douche.

Elle me lava avec sensualité, ses mains jouaient sur mon corps avec douceur telle des caresses. Elle trouva vite mes points sensibles et les fis frémir sous l’eau fraîche. Je me laissais faire, mes mains  n’osaient  s’aventurer sur son corps ferme. Je craignais d’enfreindre une des règles sous le coup du désir. Me voyant timide, elle prit mes mains et les dirigea vers ses seins et son sexe m’incitant à les faire vibrer et les offrant à mes caresses. Nos corps enduis de savon glissaient l’un contre l’autre avec volupté, j’étais derrière elle l’entourant de mes bras, mes mains se promenaient sur son corps, mon sexe tendu entre ses cuisses frottait son sexe sans le pénétrer. Nous restâmes quelques minutes sous l’eau à nous imprégner l’un de l’autre et à nous masturber mutuellement.

 

Le studio était bien ventilé d’un air chaud qui nous sécha rapidement enlacés tendrement sous une douce musique pendant que Thierry se douchait. Sandrine se montrait sensuelle sans vulgarité. Ses caresses faisaient monter la sève en moi, mon sexe bavait dans sa main, qui l’agitait avec dexterité.

 Thierry insista pour me poser lui-même le préservatif. Sentir les mains d’un homme toucher mon sexe et mes couilles, les manipuler  pendant qu’il faisait glisser le condom fut pour moi une découverte, une sensation nouvelle et inattendue. J’en rêvais depuis longtemps et fantasmait sur cette situation. Il s’aperçut de mon trouble et de mon plaisir qu’il accentua en aspirant le bout avec sa bouche pendant quelques secondes.

-Pour que tu donnes du plaisir à Sandra me dit-il

 

Je m’allongeai sur leur grand lit, Sandra s’empara de mon sexe sous cellophane, le lécha à son tour avec le bout de la langue et vint le frotter sur son sexe, qu’elle masturbait lentement. Elle le dirigea habilement dans son trou et l’enfonça délicatement dans sa chatte mouillée par nos échauffements.


Elle était accroupie au dessus de moi, ses seins fermes pointaient dans ma direction. J’avais envie de les aspirer dans ma bouche et de les sucer. Elle se blottit contre mon corps et commença un lent déhanchement. Au bout de quelques minutes, elle dégagea mon sexe et se mit à le masturber, pendant ce temps Thierry avait pris position derrière elle et l’avait pris en levrette. Il s’agita dans sa chatte mouillée pour lubrifier sa queue, massa son trou du cul avec de la mouille, lui présenta sa bite qu’il enfonça sans difficulté. Sandra remit de nouveau ma bite dans sa chatte serrée  du fait de la présence de Thierry dans son petit cul. Je sentais ses allées et venues.


 

Sandra ne s’agitait plus, elle subissait les assauts de nos deux sexes, qui la pénétraient en alternance. Thierry la maintenait aux fesses, moi par le haut des cuisses. Nous avions trouvé le bon rythme. Elle était couchée sur moi, je sentais son haleine chaude me souffler sur le visage et la peau douce de son visage caressait le mien. Elle gémissait, grimaçait sous nos coups de pioche  de plus en plus désordonnés. De temps en temps j’avais un téton à portée de bouche, je l’aspirais goulûment et profitais de sa lascivité. Je sentais le plaisir et l’orgasme monter, j’étais sans cesse à la recherche d’un calmant pour retarder cette envie imminente de jouissance.

Sandrine me libéra quand je l’entendis crier crescendo : « OH OUI OUI OUI OUI OUI OUI OUI  OUIIIIIIIIIIIII »

Elle se raidit, et se laissa tomber sur mon corps. Je m’agitai en elle violemment tout comme Thierry que je sentis lui donner des coups de boutoir dans le cul. Elle me cramponnait tout en gémissant de plaisir acceptant les giclées de chaleur de notre sperme dans sa chatte et dans son cul. Thierry continuait de s’agiter en elle, moi je ne pouvais plus bouger, j’étais prisonnier de leurs deux corps.

Thierry se retira  et m’abandonna Sandrine qui se remettait de ses émotions blottie contre ma poitrine. On n’entendait que le bruit sourd de nos cœurs, qui peinaient à retrouver leur  rythme normal. Par moments je sentais son sexe se contacter et comprimer le mien. Cela nous fit rire.  Elle me remercia d’un petit baiser tendre pendant que Thierry se calmait sous la douche. J ’eus enfin le plaisir de déguster le goût sucré de sa bouche. Je ne l’espérais plus. J’aurais aimé lécher sa chatte, mais hélas je n’osai pas le faire et rompre le charme de cet instant magique.

 

Je rentrai le cœur léger pensant à Catherine, qui m’avait invité à un barbecue le soir même. Pourvu que son mari Laurent ait prévu des merguez épicées pour redonner du tonus à ma libido éteinte par Sandra. J’étais un peu inquiet car j’avais promis à Catherine et Laurent une soirée candauliste. Et il me faudra assurer seul sans compter sur Laurent, qui  sera spectateur.

Par kamasoutra
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