Mardi 3 juin 2 03 /06 /Juin 17:50

J’étais allongé sur mon lit d’hôpital depuis une semaine la jambe droite dans le plâtre suspendue en l’air. Je me morfondais là conséquence d’une stupide chute de vélo dans les bois. Les journées étaient longues dans cette position inconfortable. Et de plus je partageais la chambre avec un vieux grincheux, qui le jour râlait sans cesse et la nuit ronflait fort ou gémissait. Autant dire que je dormais mal, et j’essayai d’oublier mes insomnies par la masturbation. J’associais dans mes rêves lubriques Mireille l’aide soignante un peu rondelette, qui me faisait souvent ma toilette le matin. Elle avait un très beau visage, des lèvres pulpeuses, et un cul proéminent. A chaque déhanchement je me demandais si son pantalon n’allait pas craquer. Mais bon elle m’excitait, elle me faisait bander. J’avais envie qu’elle me suce, de la prendre en levrette, et de l’enculer. Ma libido était sens dessus dessous, il faut dire que je n’avais pas consommé depuis trois semaines, ce qui pour moi était assez rare.

Cette nuit-là, j’étais dans un demi-sommeil, quand elle entra dans la chambre accompagnée d’une collègue, que je n’eus pas le temps de voir dans l’obscurité, mais dont la voix m’alerta et me rappela quelqu’un. Je repassais sans cesse dans ma tête cette voix qui m’obsédait car j’étais certain de la connaitre. Au bout d’une heure, j’avais trouvé, j’en étais sur. C’était Régine, que j’avais connu plusieurs années auparavant, à une époque ou j’avais plusieurs liaisons. Elle était aide-soignante, mais ne travaillait dans cette clinique à l’époque. Elle m’avait largué quand elle s’était doutée de ne pas être la seule dans ma vie intime. Sexuellement c’était un super coup, gourmande, coquine, et la levrette était un régal avec ses rondeurs sensuelles.

Le lendemain c’est elle qui vint faire ma toilette, bien sur elle m’avait reconnu, mais elle était un peu gênée de me retrouver dans ces circonstances. Je lui fis comprendre que notre différent était oublié, elle me raconta qu’elle s’était mariée, mais je compris très vite qu’elle avait fait une mauvaise pioche et que ce n’était pas la joie dans son couple. Cela me faisait plaisir de la revoir, je ne me gênais pas pour bander pendant la toilette et lui montrer qu’elle me faisait toujours de l’effet, j’attirai sa main vers mon sexe tendu lui proposant de me masturber. Mon voisin était sorti pour des examens, on était seuls dans la chambre, Régine m’agitait fébrilement se retournant fréquemment pour guetter la porte de peur que quelqu’un n’entre à l’improviste. J’étais tellement excité et en manque que je jouis en un temps record sous son regard amusé.

Je proposai plus tard à Régine de me faire une pipe, elle ne dit pas non, mais à la condition seulement que Mireille fasse le guet pour la protéger. Ce n’est que la semaine suivante, que l’occasion se présenta, mon affreux voisin était parti, j’étais seul dans la chambre et elles travaillaient de nouveau de nuit en binôme. Régine qui était copine avec Mireille lui avait bien sur raconté la scène de la masturbation, et depuis je la trouvais plus amicale, plus complice, au petit soins pour moi, prête à tout pour me faire plaisir. Mireille était d’accord, mais elle voulait sa part du gâteau et exigea de me sucer en premier pour être sure de profiter de ma queue bien dure. J’acceptai et lui mis mes conditions, je voulais voir sa chatte, la lécher, la masturber. Mireille céda à mes exigences et Régine fit le guet dans le couloir la porte ouverte pour mieux communiquer en cas de visite inopportune, mais la nuit elles ne risquaient rien. C’était calme, très calme. Je l’apercevais même de temps en temps qui matait Mireille en pleine action. Mireille avait baissé son pantalon et sa petite culotte, et m’exhibait son gros cul, qui m’excitait tant. D’une main je lui caressais la chatte, de l’autre les fesses et son trou du cul, pendant qu’elle me pompait. Ses lèvres pulpeuses serraient ma bite et sa langue râpeuse me limait avec délice. Je dus faire des acrobaties pour pouvoir lui lécher la chatte au gout acidulé. Je me contorsionnais pour enfiler ma langue dans son vagin. Finalement elle s’installa en 69 sur moi, et je pus aisément lécher son con trempé de mouille. J’étais tellement en manque , je lui bouffai le cul , lui mordillai le clitoris, et lui devorai la chatte à m'en couper la respiration. Son cul se tremoussait de plaisir sous mes coups de langue, elle aussi paraissait affamée de sexe et de jouissance. 

Plusieurs fois dans la nuit, elles se relayèrent à mon chevet pour me pomper, j’essayai de résister le plus longtemps possible, finalement je crachai la purée dans la bouche de Mireille, elle y mettait tout son cœur pour me faire gicler dans sa bouche et eut droit à cette récompense tant méritée. Régine récolta les miettes en nettoyant mon outil. Mais bon elle avait eu le plaisir de me gouter plus intensément il y a quelques années.

A ma sortie d’hôpital, Mireille me laissa son numéro de téléphone me proposant de me faire quelques séances de rééducation sexuelle. Ce fut un bonheur de défoncer son gros cul en feu. Et puis elle acceptait tout ce que je lui demandais, rien n’était tabou chez elle, elle me permit de réaliser nombre de fantasmes. Les bons coups ne sont pas toujours les femmes canons bien au contraire.






Par kamasoutra
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés