Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 18:07

Ce week-end a été particulièrement chaud. Réjouissons-nous car dans l’est de la France ce n’est hélas pas si courant. Alors pour Pascale et moi tous deux des adeptes du barbecue en plein air, ce fût un régal. Je connais un petit coin tranquille au bord d'une petite rivière, où on peut sans risques y faire un feu de camp même à la saison chaude. C'était très agréable de faire cuire des merguez et des gambas en plein air tout en se tripotant la saucisse et la moule. Samedi dernier, il faisait doux et chaud, et malgré l'orage menaçant, nous avions décidé de passer la nuit à se faire des câlins  autour du feu et sous les étoiles. Nous portions tous les deux une tenue décontractée, moi un short large, ce qui permettait à Pascale de venir facilement entretenir le feu en moi par des caresses masturbatoires et des petites sucettes. Elle était super sensuelle avec sa petite minijupe ras le cul et son boléro qui laissait une totale liberté à ses petits seins fermes arrogants avec ses tétons pointus. Elle aimait s'allonger sur la couche m'excitant en écartant les cuisses et me montrant ses charmes. Son plaisir était aussi de se masturber sous mon regard excité et tenté. L'endroit était à priori calme et désert, et nous pensions être seuls au monde. Pascale et moi faisions en plein air ce que chacun de nous fait dans l'intimité sans aucune retenue. Pour l'instant nous en étions aux préliminaires tout en savourant un petit rosé conservé bien au frais dans la rivière. Elle me provoquait me montant sa chatte et ses seins. Nous avions décidé de faire l’amour à la nuit noire. S'il y avait des mateurs cachés derrière les fourrés, qu’ils patientent. Nous étions des habitués de cet endroit, cela nous excitait aussi d’imaginer que quelqu’un avait deviné notre manège et nous espionnait.

Nos sexes étaient dégustés à toutes les sauces. Entre deux merguez Pascale me suçait la saucisse au ketchup, moi je lui léchais la moule à la mayonnaise, le cul au chocolat liquide, elle enchaina par une pipe à la chantilly, le rosé aussi eut la faveur d’être savouré en accompagnement de nos sexes. J’utilisai la bouteille presque vide comme godemiché pour le plus grand bonheur de Pascale, qui se trémoussait sous mes coups de langue. Le restant du vin se déversait dans son sexe et lui donnait une odeur fruitée dont je m’enivrais avec délice.

Nous avions fini de manger quand des grosses gouttes de pluie se mirent à tomber, accompagnées de superbes éclairs annonçant l’orage alors on rangea notre matériel plutôt déçus de finir ainsi, il restait la possibilité de faire l'amour dans la voiture sous la pluie, mais bon on l'avait fait déjà tant de fois. Alors comme il faisait chaud on se déshabilla, on s'allongea nus sur notre serviette et on commença à faire l'amour sous la pluie. Un long baiser tendre et passionné pour commencer, puis un 69 fougueux pour se mettre en appétit, la pluie qui s'intensifia ne refroidit pas nos ardeurs au contraire elle mouilla nos corps qui devenaient de plus en plus lisses et glissants, une odeur de terre mouillée nous enveloppa et nous excita. Nos origines animales se réveillaient dans cette ambiance nature.


J'avais pris Pascale debout et je la faisais aller et venir sur ma queue en la soulevant par les fesses quand un bruit de branches qui craquaient stoppa nos ébats. On se regarda surpris, et si il y avait quelqu'un caché dans les fourrés, qui nous observait. Puis plus rien, plus le moindre bruit, sauf le bruit de la pluie et des gouttes d’eau qui crépitaient dans la braise. Une bête sauvage surement attirée par le feu qui résistait à l'averse. Pascale n'était pas trop rassurée, je lui annonçai que j'avais invité une bande de potes à venir nous mater, et qu'ils allaient la faire jouir chacun à leur tour. Elle me frappa de rage, mais moi je continuai à lui faire l'amour amusé par ma réflexion et la prit en levrette, je l’avais bien en main. On frissonnait de plaisir sous l’averse, qui redoublait de violence. Ma queue s’enfonça dans son cul avec facilité. Pascale était une adepte de la sodomie, son cul était en folie quand elle avait une bite qui la défonçait. Ses hanches s’agitaient comme pour grignoter ma queue, notre jouissance ne tarda pas à se manifester. Quand je déchargeai ma semence chaude dans son petit cul serré, elle se raidit comme si elle avait prit la foudre. Et tous les deux nous lançâmes en cœur un cri de bête en rut. Nos corps restèrent encore collés l’un contre l’autre pendant quelques minutes, haletants du plaisir consommé. Et puis ma queue, qui ramollissait se remit à aller et venir lentement dans son cul lubrifié par ma semence. Je sentis Pascale avoir des convulsions et des soubresauts et je l’entendis gémir à nouveau, signe de l’approche d’un nouvel orgasme, ma queue durcissait et se faisait de plus en plus rapide. Je m’agitais de plus en plus vite tout en lui masturbant le sexe. Elle retarda son plaisir le plus longtemps possible et soudain explosa, plaintes cris mêlés à des gestes vifs désordonnés.

Nous étions seuls au monde, seuls avec la nature, seuls avec les éléments. Le retour aux sources. La pluie lava nos corps haletants

L’orage passé on se sécha et on se réchauffa autour de la douce chaleur des braises du feu, qui avaient résisté.

Par kamasoutra
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