Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 18:24

J’avais une collègue mariée, que j’essayai de séduire depuis quelques mois, mais elle m’avait fait comprendre à de nombreuses reprises qu’elle était fidèle. J’étais assez déçu, car nous étions très complices, elle ne refusait jamais une discussion coquine et j’avais souvent le sentiment qu’elle m’allumait.
Un jour alors que nous allions à Strasbourg par le train, j’avais une nouvelle fois essayé de la brancher sexe, nous avions deux heures à tuer, et une fois de plus, elle entretenait la conversation par des allusions excitantes. Je tentai de connaître ses fantasmes, elle me répondit laconiquement : faire l’amour le long d’une voie ferrée lors du passage d’un train, mais personne ne veut le réaliser avec moi. Je crus à une plaisanterie.

Je n’y avais pas pensé et cela m’excita, me donna envie de le réaliser, alors je lui dis OK je suis d’accord pour le faire avec toi à condition de passer une nuit d’amour avec toi.
Elle accepta à ma grande surprise, et me posa comme autre condition que cela se passe le jeudi suivant vers 19h à un endroit qu’elle aurait défini elle-même. J’étais assez intrigué, et la laissai conduire les opérations du déroulement de son fantasme.

Il avait fait chaud ce jour la, nous étions en juin, elle avait choisi un pré fraichement coupé au bord de la voie ferrée, d’où nous étions nous pouvions voir le train arriver, j’étais super excité. Quelques minutes avant l’arrivée du train on se déshabilla, et se mit nus. Élisabeth se mit à me caresser les couilles, à me branler et me suça avec fougue. Je frémis sous ses folles caresses. Puis elle s’allongea et me dit lèche moi le minou pendant que je guette le train, je te préviens de son arrivée, et quand je te le dis, prends moi en levrette. Je m’exécutai, et plongeai avec plaisir vers sa foufoune soignée mouillée d’excitation. Une odeur suave s’en dégageait et se mélangeait à l’air aux senteurs d’herbes sèches.
Je la broutais avec délices, lapant ses lèvres, aspirant son clitoris, fouillant de ma langue l’intérieur de son sexe, tout en lui caressant les fesses. Elle se tenait jambes écartées remuant du bassin, et gémissant de plus en plus bruyamment. Brusquement elle se retourna et me dit : le voilà, vite pénètre-moi, défonce-moi. Elle se mit en position à quatre pattes, je l’enfilai et je m’activai tout en la maintenant par les seins. J’avais du mal à suivre le rythme fou de ses coups de reins.




Et puis un grand bruit, le train passait à notre hauteur, nous sentîmes un courant d’air chaud balayer nos corps unis dans l’acte sexuel. Je me laissai aller ne contrôlant pas ma jouissance, je déchargeai mon jus sans pouvoir me retenir et sans me soucier du plaisir d’Elisabeth. L’excitation avait été trop forte, elle aussi avait joui très fort. Je fus rassuré sur ce point par sa manière gloutonne de me sucer après avoir repris ses esprits.

 La semaine suivante Élisabeth m’offrit la nuit d’amour promise, avec une surprise à la suite. Alors que nous nous remettions de nos ébats fougueux, elle me fit visionner une cassette vidéo. On pouvait voir le paysage défiler filmé depuis un train, et soudain un homme et une femme nus en train de faire l’amour à cinquante mètres de la voie ferrée. L’action dura seulement quelques secondes, mais je reconnus sans hésitations nos deux silhouettes de dos enlacées. Il est évident que de nombreuses personnes dans le train ont pu apercevoir cette vision fugitive.

Elle avait fait un pari avec une copine, et bien sur avait gagné.

Par kamasoutra
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