kamasoutra-facile

J’avais rencontré Christine en boite, elle n’avait pas 18a moi 25, très vite nous avons fais l’amour chez moi dans mon studio. Elle était amoureuse et gourmande, je ne fus pas son 1^er amant, mais sa première relation qui dure intensément, alors elle vivait chaque instant en ma compagnie comme sur un nuage. Je pouvais lui demander ce que je voulais, elle ne disait jamais non. Bien sur j’en profitai et j allai au fond de mes envies avec elle. Un jour, elle me présenta sa mère, une belle femme de 40a très bcbg à l’air aussi coquin que sa fille. Le lendemain Christine fut fière de me dire que j’avais plu à sa mère, elle m’avait trouvé beau garçon et très sexy.

Quelques semaines plus tard, je devais passer la chercher chez elle, car nous avions convenu de passer l’après-midi ensemble. J’arrivai un peu en avance espérant que Christine ne soit pas encore rentrée de ses cours. Je voulais me trouver un petit moment seul avec sa mère. Celle ci fut un peu surprise de me voir arriver si tôt, elle me proposa un café, et quand elle revint avec, je vis qu’elle s’était arrangée : retouche de maquillage, le corsage un peu plus ouvert sur ses seins magnifiques, elle s’était parfumée, manifestement elle voulait se montrer sexy et attirante. Pendant que nous buvions le café elle me posa quelques questions sur mon job, ma vie et ma relation avec Christine. Je la sentis me flatter et je vis nettement qu’elle essayait de m’aguicher.

Quelques minutes plus tard le téléphone sonna : elle décrocha et je l’entendis dire "justement il vient d’arriver, explique-lui toi-même ". Elle vint me chercher et me dit  que Christine qui voulait me parler. Elle m’expliqua qu’elle avait un empêchement pour cet après-midi. Je lui répondis alors que l’on pouvait se voir en fin de journée.
Je lui repassai sa mère, qui manifestement n’était pas très d’accord pour qu’elle sorte le soir. Elle lui rétorqua  : on verra ce soir. Me montrant enjôleur je lui posai la question pourquoi elle n’était pas d’accord pour laisser sortir Christine ce soir. Elle me dit avec un petit malicieux qu’elle voulait bien, mais à 2conditions :
La première : elle me demanda de lui rendre un petit service de bricolage à faire dans sa cuisine. Ce fut vite fait et dura 10minutes pendant lesquels je sentis son regard coquin me détailler. Je lui demandai alors quelle était la 2ème condition. Alors elle me dit en m’enlaçant et m’embrassant qu’elle aimerait se rendre compte si j’étais un bon amant pour sa fille. Tellement surpris par cette réponse je ne sus que répliquer, je ne m’attendais pas à une telle proposition. Face à mon silence, elle décida de prendre les devants, déboutonna mon pantalon, caressa mon slip qui était déjà bien gonflé, le flaira et le titilla à travers le tissu, puis en sortit mon sexe qui gonflait de plus en plus. Elle se mit à l’embrasser et le lécher délicatement, il bavait excité, le bout luisant de mouille, moi je me laissais toujours faire. Comme je ne prenais aucune initiative elle se déshabilla petit à petit tout en me suçant Quand elle fut nue elle enleva le reste de mes vêtements, sa bouche abandonnait de temps en temps mon sexe pour me lécher le corps et pour m’embrasser sur la bouche. Je sentis l’odeur de ma queue sur ses lèvres et sur sa langue.
J’étais toujours passif, je profitais au maximum de ce moment délicieux, de temps en temps je lui caressai les seins, les fesses et la chatte. Elle était surexcitée et me parlait cru. 
Elle m’embrassa sur le bouche, me regarda dans les yeux et me dit : Oh j’aime ta grosse bite, pine moi dans la bouche, je veux te gouter. Jamais une femme ne m’avait fait une telle déclaration. Je l’embrassai sur la bouche à mon tour lui montrant mon assentiment. Je la serrai fort contre moi. ma verge frottait contre sa chatte.
Elle s’est activée sur mon sexe, le léchant de toute part, le suçant langoureusement, puis violemment, l’avalant jusqu’à la hampe, et quand je sentis le désir qui montait, je me mis à l’encourager par des oh!! Oui c’est bon !, Continue, je vais jouir. Alors je la sentis s’appliquer à pomper ma queue, et quand je jouis agité de violents soubresauts elle se délecta savourant mon sperme. Elle lécha ma queue comme affamée pour récupérer la dernière goutte.

Ensuite elle m’emmena dans sa chambre, m’attira sur son lit, m’embrassa amoureusement et me dit à l’oreille : à toi maintenant de me faire jouir, et elle s’étira passive offrant son corps aux formes généreuses et sa chatte ouverte et mouillée.
A mon tour je me mis à caresser et à embrasser, son corps lascif, ses lèvres, son cou, ses seins, son ventre, puis son sexe humide et chaud. De temps en temps ma langue continuait son chemin jusqu’à son anus, qui se contractait sous la caresse. Elle m’encourageait de la voix avec des râles et des petits cris plaintifs.
Elle jouit très vite sous ma langue, ses mains maintenaient ma tête entre ses cuisses avec une forte pression. Elle tressaillait, et sursautait par moments tout en gémissant.
Quand je sentis qu’elle allait jouir, je la retournai et la prit en levrette. Mes deux mains lui cramponnaient les seins, elle se masturbait violemment le clitoris et m’encourageait de la voix. Elle donnait de violents coups de reins et j’avais beaucoup de mal à synchroniser les allées et venues de ma queue dans sa chatte trempée. Alors elle me dit : "  encule mon petit cul, défonce-moi ". Sa main prit mon sexe et lui montra le chemin, je m’enfonçai au plus profond d’elle-même sans difficultés, j’étais bien calé, et la je pus la ramoner en cadence. Elle agitait ses fesses avec frénésie, sa ma main droite frottait sa chatte et de temps en temps tripottait mes couilles.
Au bout d’un long moment, elle réussit à me faire jouir une seconde fois. Je lui lachai une petite giclée dans son cul. Je la sentis se raidir en poussant un petit cri suivi d’un long râle. Mon sexe resta prisonnier de ses fesses de longues minutes. Ensuite nous restâmes une bonne heure allongés à nous reposer de cet après-midi de folies en nous échangeant des caresses et des baisers tendres.

Elle tint sa promesse et accepta que sa fille vienne passer la soirée et la nuit chez moi. Elle amena Christine elle-même chez moi s’amusant je pense de voir ma gêne face à Christine. Ce soir là nous fîmes l’amour sans grandes folies. Christine était fatiguée, cela m’arrangeait. Je me fis tendre. Elle ne se douta pas ce qui s’était passé l’après-midi.

Quelques semaines plus tard, je rompis ma liaison avec Christine. Sa mère profita pour venir chez moi me faire des câlins régulièrement pendant 2ans. Je ne sus jamais si Christine fut au courant.